RÊVERIES NOCTURNES
Mon regard valse sur les ondulations des montagnes
Enivré de senteurs, divague sur des sentiers sans retour
De collines en vallées, monte, descend, marche, court
De paysage en découverte une forte émotion me gagne
Vers d’autres contrées inconnues ma prunelle s’aventure
Elle pénètre les spectres sombres d’une forêt luxuriante
Depuis son cocon, mon âme perçoit la nature souriante
Là où s’épanouit une fleur, s’embellit un coin de verdure
J’ai dans le fond des yeux le cours chantant d’une rivière
Où les embarcations au gré du vent, dansent en pagaille
Sur ses rives, des ruisseaux tapotent, lustrent la pierraille
Comme s'ils lavaient les chagrins mieux qu’une lavandière
Dans un sommeil profond, au-delà des sphères de la réalité
Fenêtres entre-baillées, mes paupières plissent lentement
Pour entrevoir un monde où tout devient enchantement
Le temps d’un rêve, je voyage au cœur de la virtualité…
PHILALY // MARS 2018
Mon regard valse sur les ondulations des montagnes
Enivré de senteurs, divague sur des sentiers sans retour
De collines en vallées, monte, descend, marche, court
De paysage en découverte une forte émotion me gagne
Vers d’autres contrées inconnues ma prunelle s’aventure
Elle pénètre les spectres sombres d’une forêt luxuriante
Depuis son cocon, mon âme perçoit la nature souriante
Là où s’épanouit une fleur, s’embellit un coin de verdure
J’ai dans le fond des yeux le cours chantant d’une rivière
Où les embarcations au gré du vent, dansent en pagaille
Sur ses rives, des ruisseaux tapotent, lustrent la pierraille
Comme s'ils lavaient les chagrins mieux qu’une lavandière
Dans un sommeil profond, au-delà des sphères de la réalité
Fenêtres entre-baillées, mes paupières plissent lentement
Pour entrevoir un monde où tout devient enchantement
Le temps d’un rêve, je voyage au cœur de la virtualité…
PHILALY // MARS 2018
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