Ce sont à jamais refermées
Les portes du pénitencier
A cette star si confirmée
Aux accents parfois outranciers.
Il entreprit son long périple
Sur les planches de l’Olympia
Devant ses multiples disciples,
Témoignent ces clichés sépia.
Sous un barnum près de la Seine
Je le vis la première fois,
A genoux la bête de scène,
Sous les sunlights, les bras en croix.
Il n’y a pas que Gabrielle
Qui brûlait souvent son esprit
Derrière l’amour avec elles
Il ne pensait pas au mépris.
De la rock and roll attitude
Il conservait le blouson noir
Pour mieux prendre de l’altitude
Comme certains aigles le soir.
Ses fans gardent toujours l’envie
De se donner à ce show man
Des chansons qui rythment leurs vies
Par les écouteurs du walkman.
Au-delà de la différence
On se ressemble sang pour sang,
Un témoignage d’éloquence
Dit par son fils sorti du rang.
Toute la musique que j’aime
Elle vient de là sûrement,
Les mots ne sont jamais les mêmes
Pour exprimer ce sentiment.
Des yéyés, il en fût l’idole
Le seul debout sur la photo*,
Aujourd’hui tête de gondole
De ces vieux bikers à motos.
*La photo de J.M. Périer « Salut les copains »
Les portes du pénitencier
A cette star si confirmée
Aux accents parfois outranciers.
Il entreprit son long périple
Sur les planches de l’Olympia
Devant ses multiples disciples,
Témoignent ces clichés sépia.
Sous un barnum près de la Seine
Je le vis la première fois,
A genoux la bête de scène,
Sous les sunlights, les bras en croix.
Il n’y a pas que Gabrielle
Qui brûlait souvent son esprit
Derrière l’amour avec elles
Il ne pensait pas au mépris.
De la rock and roll attitude
Il conservait le blouson noir
Pour mieux prendre de l’altitude
Comme certains aigles le soir.
Ses fans gardent toujours l’envie
De se donner à ce show man
Des chansons qui rythment leurs vies
Par les écouteurs du walkman.
Au-delà de la différence
On se ressemble sang pour sang,
Un témoignage d’éloquence
Dit par son fils sorti du rang.
Toute la musique que j’aime
Elle vient de là sûrement,
Les mots ne sont jamais les mêmes
Pour exprimer ce sentiment.
Des yéyés, il en fût l’idole
Le seul debout sur la photo*,
Aujourd’hui tête de gondole
De ces vieux bikers à motos.
*La photo de J.M. Périer « Salut les copains »
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