Dans mon petit village perdu il y avait beaucoup de cocus
Je vais vous les passer en revue presque a chaque coin de rue
Et chaque chaud lapin avait une attribution de petit coin
Réservez a l’autre et a l’un pour leurs jeux coquins
Je vais commencer par la Marie qui trompait Léon, son mari
Avec André qui est mort d’asphyxie Victor l’a remplacé dans son lit
Dont sa femme Bernadette qui tapait dans la canette
L’ivrognesse savait se faire coquette pour son amant Paul, la mitraillette
Il y avait Geneviève, la grâce comme surnom biberette femme de Stanislas
Dont elle devait être un peu lasse elle faisait cocu avec le garde chasse
Marie Josée la femme de mon frère couchée avec le polak, le Saint Hubert
Alors lui il était coucou Eté comme hiver deux, trois à la fois une santé de fer
Après a qui le tour ah oui la Mauricette alors elle avait René, le maire sans étiquette
Comme dit le proverbe femme a lunettes comment dit on déjà ah oui femme a quéquette
Allez une petite avant dernière pour la route vous adorez ça les histoires de biroutes
Il y avait l’alsacienne, Louloutte qui n’aimait pas que la saucisse de choucroute
Elle raffolait aussi de celle du libanais de Beyrouth il était monté comme un mammouth
Elle avait de grosses gougouttes c’était la reine de la branlette espagnole point j’en doute
Et pour finir au nom de rasoir, Gillette vu son look c’était loin d’être une minette
Elle était peut être la reine de la sucette c’était Dédé président de foot qui lui faisait sa fête
Et les tromperies se passaient dans la joie et la bonne humeur sans cris et sans pleurs
Avec mon récit de culs et de cœurs je voulais aussi rendre hommage a ses francs tireurs
J’arrête mes histoires de chaudières il parait qu’il y aurait eu des pères qui ne seraient pas pères
Allez savoir ce ne sont pas mes affaires je laisses ses cancans aux vieilles langues de vipères
Je vais vous les passer en revue presque a chaque coin de rue
Et chaque chaud lapin avait une attribution de petit coin
Réservez a l’autre et a l’un pour leurs jeux coquins
Je vais commencer par la Marie qui trompait Léon, son mari
Avec André qui est mort d’asphyxie Victor l’a remplacé dans son lit
Dont sa femme Bernadette qui tapait dans la canette
L’ivrognesse savait se faire coquette pour son amant Paul, la mitraillette
Il y avait Geneviève, la grâce comme surnom biberette femme de Stanislas
Dont elle devait être un peu lasse elle faisait cocu avec le garde chasse
Marie Josée la femme de mon frère couchée avec le polak, le Saint Hubert
Alors lui il était coucou Eté comme hiver deux, trois à la fois une santé de fer
Après a qui le tour ah oui la Mauricette alors elle avait René, le maire sans étiquette
Comme dit le proverbe femme a lunettes comment dit on déjà ah oui femme a quéquette
Allez une petite avant dernière pour la route vous adorez ça les histoires de biroutes
Il y avait l’alsacienne, Louloutte qui n’aimait pas que la saucisse de choucroute
Elle raffolait aussi de celle du libanais de Beyrouth il était monté comme un mammouth
Elle avait de grosses gougouttes c’était la reine de la branlette espagnole point j’en doute
Et pour finir au nom de rasoir, Gillette vu son look c’était loin d’être une minette
Elle était peut être la reine de la sucette c’était Dédé président de foot qui lui faisait sa fête
Et les tromperies se passaient dans la joie et la bonne humeur sans cris et sans pleurs
Avec mon récit de culs et de cœurs je voulais aussi rendre hommage a ses francs tireurs
J’arrête mes histoires de chaudières il parait qu’il y aurait eu des pères qui ne seraient pas pères
Allez savoir ce ne sont pas mes affaires je laisses ses cancans aux vieilles langues de vipères