Quand viendra l'été!
Alors que le ciel dessine ses trésors,
Donne sa fièvre dans une mélange d’amour
Et que les oiseaux applaudissent leurs chants dehors !
Je ne sais plus distinguer ou se trouve le coucou
Si ce sont les sauvages envahissant l’entour
Imitant« Plaisir d’amour »
A la face d’un hibou !
Ou mésanges, tourterelles
Roucoulant leurs amoureux aidant leurs ailes !
Car en moi cent et mille solfèges
Ont fermé leurs pages tournées en pas de sauterelles
Je n’entends que le grillon
Au gré de la cigale
En "chant de l’heure"
Réchauffés d’un soleil qui fourmille
Sans cesse, sans repos !
Si ce sont les sauvages envahissant l’entour
Imitant« Plaisir d’amour »
A la face d’un hibou !
Ou mésanges, tourterelles
Roucoulant leurs amoureux aidant leurs ailes !
Car en moi cent et mille solfèges
Ont fermé leurs pages tournées en pas de sauterelles
Je n’entends que le grillon
Au gré de la cigale
En "chant de l’heure"
Réchauffés d’un soleil qui fourmille
Sans cesse, sans repos !
Est-ce là le bonheur
Avec ombelle en cadeau ?
Ou se trouve le picvert sans mirabelles ?
Quand nous tend tant de bras, la nature,
Tout un éventail en doux délices
Ses souvenirs en place
Qui perdurent la vie,
En ce printemps qui dure au pied de l’été
Patientant l’air miséricordieux !
Complainte refleurira cet hier
Devant ce futur encore tout frais
Aux couleurs diaprées
Si douces à devenir câlines !
Ce dehors évangélisé vaut bien une sacristie
Où se rangent et se multiplient
En un joyau d’orfèvre,
Les beautés ciselées
Du jamais vu encore
Car renouveau ne se rappelle!
Il est présent, jamais le même
Un radieux en nos regards fidèles,
Une patience d’ange remet ses ailes !
Cette corne d’abondance
Sont les mains peignant
L’endurance !
Un puits d’Amour qui ne se gèle
Cher présent tout de même
En nos âmes messagères !
Polymnie2, ce 20 juin 2019
Avec ombelle en cadeau ?
Ou se trouve le picvert sans mirabelles ?
Quand nous tend tant de bras, la nature,
Tout un éventail en doux délices
Ses souvenirs en place
Qui perdurent la vie,
En ce printemps qui dure au pied de l’été
Patientant l’air miséricordieux !
Complainte refleurira cet hier
Devant ce futur encore tout frais
Aux couleurs diaprées
Si douces à devenir câlines !
Ce dehors évangélisé vaut bien une sacristie
Où se rangent et se multiplient
En un joyau d’orfèvre,
Les beautés ciselées
Du jamais vu encore
Car renouveau ne se rappelle!
Il est présent, jamais le même
Un radieux en nos regards fidèles,
Une patience d’ange remet ses ailes !
Cette corne d’abondance
Sont les mains peignant
L’endurance !
Un puits d’Amour qui ne se gèle
Cher présent tout de même
En nos âmes messagères !
Polymnie2, ce 20 juin 2019