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Quand à Copenhague on se moque du monde

mohdio

Nouveau poète
#1
Quand ces putains de pollueurs se moquent de nos peuples,
Ils se croient tout permis et développent leurs industries.
Ils déversent des tonnes de gaz à effet de serre,
polluant sans souci toute notre planète.

Sous estimant leurs victimes qu’ils bafouent et divisent,
Ils traînent le pas aux grands rendez-vous de l’histoire.
À Copenhague où le sort de l’humanité devait se discuter,
Ils viennent tous excités, forts de toute impunité.
Et quant il faut agir pour unir les efforts,
ils s’unissent entre eux pour bannir tout effort.

Et quand il faut punir pour unir le monde,
ils caressent et dorlotent les tyrans de ce monde.
À Copenhague où ils devaient se hâter pour sauver le monde,
Ils proposent des miettes et refusent toute sagesse.
Ils cultivent la nuisance et demande plus d’essence

Tout en défiant bêtement nos émergences.
Réduire leurs nuisances pour nous laisser produire notre aisance,
Ils refusent la bienséance pour s’accaparer de nos essences.

Ils pillent nos richesses nous privant de notre aisance,
et récusent les conséquences qu’ils nous jettent en potence.
Ils bâtissent des usines qui polluent et étouffent,
se servant bien souvent de propres gens de leurs pays.
Des hommes et femmes qu’ils relèguent au second plan,
pour avoir été tout simplement moins nantis qu’eux.

Ils proposent des salaires de misère qu’ils leur jettent à la figure,
Des pères et mères de familles qu’ils jettent en pâture.
Donner de l’argent pour sauver des vies,
c’est si dur pour eux qu’ils ne savent que dire.
Ils polluent sans cesse la planète tout entière,
refusant sans cesse de ne pas émettre ou réduire.
Qu’ils sont cons! Ces cinglés de pollueurs malséants,
qui nous privent ici bas de l’oxygène bienfaisant.

Pauvres pécheurs ! Si vous saviez vous ranger,
vous auriez évité le courroux de l’éternel.
Car avec lui tout se paie ici bas, et c’est tant pis!
si nous n’arrivions à vous sauver demain.
Car quand vous vous mettrez à gueuler et étouffer,

plus personne ne viendra à vos côtés.
Alors hâtez-vous de tout réparer, vous qui vous êtes pressés de tout déranger.