Finalement, après tout ça et après tous
Les poèmes échangés, les dits, les non dit,
On a quand même fini par se gâcher, nous.
Wagner à fond, je suis colère et tragédie.
Est-ce qu’il faut regretter ces moments de magie ?
Revenir en arrière et tout recommencer
Si c’était possible, pour que je me plagie…
Il n’y aurait rien, rien que je veuille changer.
Nier la vérité n’est pas dans mes principes.
Y a-t-on cru vraiment ? Moi oui, pourtant, tu vois,
Oublier, je ne peux, ni ne veux. Je dissipe
Un malentendu malheureux : je n’ai pas de
Remords, je le ferais encore, et ma seule
Honte est de t’avoir blessé, et d’avoir gâché
En jouant à ce jeu, les merveilleux instants,
Aimables, délicieux, où l’on ne savait pas
Duquel, encore, de nous, viendrait le premier feu.
Pleurer sur le passé ne sert à rien, je sais.
Alors je vais devoir me faire une raison.
Rêver de ces moments qui ont fait mon bonheur,
Désormais, les garder là, tout contre mon cœur,
Obsédants, mais si doux et si réconfortants.
Ne te force pas puisque tu n’as pas envie,
Ne viens plus, vis ta vie, je te fais mes adieux.
Et si un jour tu souhaites avoir de mes nouvelles,
Mon cœur est grand ouvert, il saura t’accueillir.
Orgueilleux prince charmant, impossible amant,
Il y a une vie qui t’attend, sois heureux !
Les poèmes échangés, les dits, les non dit,
On a quand même fini par se gâcher, nous.
Wagner à fond, je suis colère et tragédie.
Est-ce qu’il faut regretter ces moments de magie ?
Revenir en arrière et tout recommencer
Si c’était possible, pour que je me plagie…
Il n’y aurait rien, rien que je veuille changer.
Nier la vérité n’est pas dans mes principes.
Y a-t-on cru vraiment ? Moi oui, pourtant, tu vois,
Oublier, je ne peux, ni ne veux. Je dissipe
Un malentendu malheureux : je n’ai pas de
Remords, je le ferais encore, et ma seule
Honte est de t’avoir blessé, et d’avoir gâché
En jouant à ce jeu, les merveilleux instants,
Aimables, délicieux, où l’on ne savait pas
Duquel, encore, de nous, viendrait le premier feu.
Pleurer sur le passé ne sert à rien, je sais.
Alors je vais devoir me faire une raison.
Rêver de ces moments qui ont fait mon bonheur,
Désormais, les garder là, tout contre mon cœur,
Obsédants, mais si doux et si réconfortants.
Ne te force pas puisque tu n’as pas envie,
Ne viens plus, vis ta vie, je te fais mes adieux.
Et si un jour tu souhaites avoir de mes nouvelles,
Mon cœur est grand ouvert, il saura t’accueillir.
Orgueilleux prince charmant, impossible amant,
Il y a une vie qui t’attend, sois heureux !