Prose audit!
Que cette journée d’hier
était attirante avec un soleil
étirant ses attraits au plus juste
de la terre ! Retirant de ses pinceaux
quelques poils de l’été ajustant un
printemps pour nous faire ses
clins d’œil avertis, pour nous
Redorer cher blason en
non âme en sorcelée
d’ultra sons !
Que vais-je faire ?
Je devais tondre cette herbe étonnée
de se voir coiffée, toute fraîche et pourtant
fière d’être si fréquentée et embrouillée !
Laissez-moi sauvage mon naturel à moi !
C’est ainsi que mes idées entremèlent
mes désirs, mes pensées variées !
Je vois le marteau
de mon père, cet auguste
outil faisant panoplie avec vis et
clous ! Je décide de réparer dehors
des planches à tout faire, tombées en lambeaux !
Une grande table assiste la nature, montée par
moi-même il y a des lustres et me permet de
bricoler au chant de la nature !Se mêlent
à coups de force, un kilo entre doigts,
aiguisent le silence à se taire !Je
n’entends presque rien de la
chasuble qui se tricote sur
mon dos ! je fixe mes
yeux en parfait chut !
faisant l’accord en
recors !
Le soleil caressant
M’annonce la veilleuse
Et je range le tout à l’abri
Range mes outils, scie comprise !
Et je rentre,
en désaccord avec le bruit
dans la maison ! je ne montre pas
mon impatience, m’installe devant la
télé, pour une fois que je l’ai malgré les
tentatives d’un virus qui s’entête d’être plus fort
que moi ! mais j’arrive enfin à me maîtriser
sentant un brise lame sur mes oreilles
jusque toute la nuque !Il n’a fallu
qu’une parole : « Et maintenant
criez si je vous fait mal ?
S’en est trop
Je lance
un
Hurlement qui fend les murs et la voix crachée de ma gorge
m’a étonnée plus qu’alentours, les larmes son venues
Soulager la blessure, ne sont pas tombées pour
amoindrir le mal persistant !mes nerfs en bons
Soutiens mais ne calmaient rien ! j’ai dû me
Servir de mes mains tout en compresses !
Les yeux protégés de la loupe faite en
larme, restaient fixés sur l’écran !
J’ai eu soit disant le tort
De répéter avant-hier !
« Vous faite partie
de la guestapo,
Le geste à peau »!
Il a voulu de
ce fait me
le prouver!
Le fait de la douleur est
tout autre ! Il donne ce qu’il ne veut pas dire
ou faire, à une autre personne qui agit pour
lui, mais limite toute souffrance pour moi !
Il s’est aperçu qu’ils étaient deux
A m’offrir la souffrance car
Mon mercenaire appuyait
Sans le dire sur un
Maximum à donner
chose qui n’était nullement prévue !
Il lui a lancé : "vous êtes un salaud"!
J’ai vu les informations et me suis
tournée vers la fenêtre pour lancer :« Voici la guerre civile,
vous en voyez l’effet ! C’est ce que vous faites ici à saint lys !
Nous sommes obligés de nous museler pour ne pas y parvenir !
Il y a dix jours que je n’avais vu les informations et ce monsieur
ne veut pas comprendre qu’entre, lire et voir, un monde nous sépare !
J’ai commenté hier soir jusqu’à4h du matin, me suis levée à 8h
N’en pouvant plus du bruit insoutenable dans la chambre !
Et cela continue à m’occuper les tympans !
Ce n’est pas grave ! il faut de "l’enduitrance" !!!!!!!
____
Une prose joyeuse, aérée, finit sous gens d'armes!
Polymnie2, ce 25 Novembre 2020
Que cette journée d’hier
était attirante avec un soleil
étirant ses attraits au plus juste
de la terre ! Retirant de ses pinceaux
quelques poils de l’été ajustant un
printemps pour nous faire ses
clins d’œil avertis, pour nous
Redorer cher blason en
non âme en sorcelée
d’ultra sons !
Que vais-je faire ?
Je devais tondre cette herbe étonnée
de se voir coiffée, toute fraîche et pourtant
fière d’être si fréquentée et embrouillée !
Laissez-moi sauvage mon naturel à moi !
C’est ainsi que mes idées entremèlent
mes désirs, mes pensées variées !
Je vois le marteau
de mon père, cet auguste
outil faisant panoplie avec vis et
clous ! Je décide de réparer dehors
des planches à tout faire, tombées en lambeaux !
Une grande table assiste la nature, montée par
moi-même il y a des lustres et me permet de
bricoler au chant de la nature !Se mêlent
à coups de force, un kilo entre doigts,
aiguisent le silence à se taire !Je
n’entends presque rien de la
chasuble qui se tricote sur
mon dos ! je fixe mes
yeux en parfait chut !
faisant l’accord en
recors !
Le soleil caressant
M’annonce la veilleuse
Et je range le tout à l’abri
Range mes outils, scie comprise !
Et je rentre,
en désaccord avec le bruit
dans la maison ! je ne montre pas
mon impatience, m’installe devant la
télé, pour une fois que je l’ai malgré les
tentatives d’un virus qui s’entête d’être plus fort
que moi ! mais j’arrive enfin à me maîtriser
sentant un brise lame sur mes oreilles
jusque toute la nuque !Il n’a fallu
qu’une parole : « Et maintenant
criez si je vous fait mal ?
S’en est trop
Je lance
un
Hurlement qui fend les murs et la voix crachée de ma gorge
m’a étonnée plus qu’alentours, les larmes son venues
Soulager la blessure, ne sont pas tombées pour
amoindrir le mal persistant !mes nerfs en bons
Soutiens mais ne calmaient rien ! j’ai dû me
Servir de mes mains tout en compresses !
Les yeux protégés de la loupe faite en
larme, restaient fixés sur l’écran !
J’ai eu soit disant le tort
De répéter avant-hier !
« Vous faite partie
de la guestapo,
Le geste à peau »!
Il a voulu de
ce fait me
le prouver!
Le fait de la douleur est
tout autre ! Il donne ce qu’il ne veut pas dire
ou faire, à une autre personne qui agit pour
lui, mais limite toute souffrance pour moi !
Il s’est aperçu qu’ils étaient deux
A m’offrir la souffrance car
Mon mercenaire appuyait
Sans le dire sur un
Maximum à donner
chose qui n’était nullement prévue !
Il lui a lancé : "vous êtes un salaud"!
J’ai vu les informations et me suis
tournée vers la fenêtre pour lancer :« Voici la guerre civile,
vous en voyez l’effet ! C’est ce que vous faites ici à saint lys !
Nous sommes obligés de nous museler pour ne pas y parvenir !
Il y a dix jours que je n’avais vu les informations et ce monsieur
ne veut pas comprendre qu’entre, lire et voir, un monde nous sépare !
J’ai commenté hier soir jusqu’à4h du matin, me suis levée à 8h
N’en pouvant plus du bruit insoutenable dans la chambre !
Et cela continue à m’occuper les tympans !
Ce n’est pas grave ! il faut de "l’enduitrance" !!!!!!!
____
Une prose joyeuse, aérée, finit sous gens d'armes!
Polymnie2, ce 25 Novembre 2020
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