Je me sens prisonnière d’un endroit inconnu
Ligotée à des barreaux que je ne reconnais plus,
Agitée,malmenée,par des mains malhabiles
Qui pensent que je ne suis quune sombre débile
Apeurée je ne comprends rien à ce qui m'entoure
Je ferme un peu les yeux, et c'est déjà un nouveau jours
Chaque jour,je lutte contre mes frayeurs
Nocturnent ou de jours, peu leur importe l'heure
Je voudrai pouvoir hurler, brandir une arme
Mais mes yeux ne font que ruisseler de larmes.
Comment dire à ces étranger qui disent me connaitre
Que je me fiche d’eux, et que je veux disparaitre?
D’eux je ne garde pas d’images nettes et claires
Alors qu’ils me fichent la paix et me laissent faire
Faire les choses à ma façon, pour reprendre le chemin
faire une pose, soufflé et me relever avec plus d’entrain
Mais non, ils restent là à grenouiller de bons ou mauvais plans
Car pour tous aujourd’hui sans mots je suis une enfant
Ce sont mes douleurs,mes peines et mes larmes
Les derniers sentiments dont on me désarme
Alors je sens cogner fort,encore et encore
Cette pitoyable femme qui dort en mon corps
Elle tape contre mon coeur à tort et à raison
Car elle sait que Mon corps sera Sa triste prison....
.
Ligotée à des barreaux que je ne reconnais plus,
Agitée,malmenée,par des mains malhabiles
Qui pensent que je ne suis quune sombre débile
Apeurée je ne comprends rien à ce qui m'entoure
Je ferme un peu les yeux, et c'est déjà un nouveau jours
Chaque jour,je lutte contre mes frayeurs
Nocturnent ou de jours, peu leur importe l'heure
Je voudrai pouvoir hurler, brandir une arme
Mais mes yeux ne font que ruisseler de larmes.
Comment dire à ces étranger qui disent me connaitre
Que je me fiche d’eux, et que je veux disparaitre?
D’eux je ne garde pas d’images nettes et claires
Alors qu’ils me fichent la paix et me laissent faire
Faire les choses à ma façon, pour reprendre le chemin
faire une pose, soufflé et me relever avec plus d’entrain
Mais non, ils restent là à grenouiller de bons ou mauvais plans
Car pour tous aujourd’hui sans mots je suis une enfant
Ce sont mes douleurs,mes peines et mes larmes
Les derniers sentiments dont on me désarme
Alors je sens cogner fort,encore et encore
Cette pitoyable femme qui dort en mon corps
Elle tape contre mon coeur à tort et à raison
Car elle sait que Mon corps sera Sa triste prison....
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