Le poète exprime le caractère évanescent de sa pensée.
Le fruit le plus exquis des humanités n’est-Il pas une délicate bonté, un peu aveugle sur les travers inévitables, orientée vers le pardon et la tendresse.
Les poètes peuvent corriger l’âpreté idéaliste.
Le manque d’humour est une entrave à l’amour, le manque d’amour tue l’humour.
Tout ce qui dépasse dans la vie du cœur, dans l’action ou la pensée, le niveau ordinaire et moyen, relève directement de la poésie.
J’ai peint en larmes de sang un royaume où flottait un rêve, prisonnier d’une cruelle réalité.
L’âme tranchante saigne les cœurs.
Au diapason des âmes s’accordent harmonieusement les chœurs.
Je ne regrette pas le temps de l’antique jeunesse, aujourd’hui je sombre dans les faibles lueurs de ma vieillesse.
Les âmes aux revers tranchants lézardent les chœurs au rythme des sons organiques orchestrés, elles fustigent les lieux de culte malsains et souffle dans les travées bancales un courant d’air glacial purificateur.
Le temps tue un à un tous nos beaux jours.
Mon imagination dévore la vie, mon cœur maudit tous les délais.
Penser aux ombres offre à notre esprit un abri sous ailes.
On me dit souvent tu n’es pas la moitié d’un con, pourtant je fais des efforts!.
Quand le poéte devient musicien la symphonie des mots encensent des pensées mélodieuses présentes au paradis.
J’ai vécu une jeunesse pathétique à l’ombre de la folie.
Le chemin de mon enfance aux mille tourments a dérouté mon âme, ceux qui l’ont croisé aux contours des tournants ont feint de ne pas la voir, d’autres enseignants l’ont saignée.
Oh!...ans saignants de ma jeunesse flingueurs d’âme, je vous maudis.
Odieuse jeunesse,
Ô! mon cœur meurtri
si dieu me confesse
loin du corps flétri,
je crierai la détresse
d’une âme sans vie!.
Le fruit le plus exquis des humanités n’est-Il pas une délicate bonté, un peu aveugle sur les travers inévitables, orientée vers le pardon et la tendresse.
Les poètes peuvent corriger l’âpreté idéaliste.
Le manque d’humour est une entrave à l’amour, le manque d’amour tue l’humour.
Tout ce qui dépasse dans la vie du cœur, dans l’action ou la pensée, le niveau ordinaire et moyen, relève directement de la poésie.
J’ai peint en larmes de sang un royaume où flottait un rêve, prisonnier d’une cruelle réalité.
L’âme tranchante saigne les cœurs.
Au diapason des âmes s’accordent harmonieusement les chœurs.
Je ne regrette pas le temps de l’antique jeunesse, aujourd’hui je sombre dans les faibles lueurs de ma vieillesse.
Les âmes aux revers tranchants lézardent les chœurs au rythme des sons organiques orchestrés, elles fustigent les lieux de culte malsains et souffle dans les travées bancales un courant d’air glacial purificateur.
Le temps tue un à un tous nos beaux jours.
Mon imagination dévore la vie, mon cœur maudit tous les délais.
Penser aux ombres offre à notre esprit un abri sous ailes.
On me dit souvent tu n’es pas la moitié d’un con, pourtant je fais des efforts!.
Quand le poéte devient musicien la symphonie des mots encensent des pensées mélodieuses présentes au paradis.
J’ai vécu une jeunesse pathétique à l’ombre de la folie.
Le chemin de mon enfance aux mille tourments a dérouté mon âme, ceux qui l’ont croisé aux contours des tournants ont feint de ne pas la voir, d’autres enseignants l’ont saignée.
Oh!...ans saignants de ma jeunesse flingueurs d’âme, je vous maudis.
Odieuse jeunesse,
Ô! mon cœur meurtri
si dieu me confesse
loin du corps flétri,
je crierai la détresse
d’une âme sans vie!.
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