Présentement Lui. (D’après infiniment Elle de Lilasys)
Mes premières pauses contemplent tes adages,
Quand l'abîme me ronge, ma sœur envoie,
L'agneau pour un humour plisse d’une belle joie,
Ma chef est ancrée pour ses soins sans ravage.
L’élève colporte son doux petit surnom,
Il était enfuis quand ses peines calent,
Comme un vin testé perdu dans ce dédale,
Aussi droit, qu'un décor couvert à ma façon.
J’épingle son choix comme un endos ajouté,
Aucun jouet ne la fera plier, jolie qui me dévore,
Elle prête, j’entreprend cette chance qui l’honore,
De la belle prose de ma copine, j’ai effeuillé.
Elle guida mes petits appas en nombre par sa tendresse,
Comme des graffitis endiablés et sans foi,
Mon premier souffle restera à jamais, un tour, quoi !
Celui d'une folie d’acteur syncopant la face de mon altesse.
(avec toutes mes excuses)
Infiniment Elle .
Les paupières closes contemplent son visage
Dans l'abîme des songes, son coeur se broie
L'anneau de cet amour glisse entre ses doigts
La clef l'a cloîtré dans un coin sans rivage
Ses lèvres chuchotent son doux petit prénom
Il est enfoui dans ses veines pâles
Comme ce sein resté nu dans un râle
Aussi froid, qu'un corps recouvert de glaçons
Qui épingle cette croix sur son dos voûté ?
Aucun fouet, me fera nier, cette folie qui dévore
Quel prêtre entend ce silence des plus sonores
Quand cette couronne d'épines l'a endeuillé
Elle guidera ses petits pas dans l'ombre de ses faiblesses
Contre tout crucifix, Diables et toutes lois
Son dernier souffle demeurera à jamais, ce tournoi
Celui, d'une jolie fleur triomphante face à la mère vieillesse.
LILASYS
Mes premières pauses contemplent tes adages,
Quand l'abîme me ronge, ma sœur envoie,
L'agneau pour un humour plisse d’une belle joie,
Ma chef est ancrée pour ses soins sans ravage.
L’élève colporte son doux petit surnom,
Il était enfuis quand ses peines calent,
Comme un vin testé perdu dans ce dédale,
Aussi droit, qu'un décor couvert à ma façon.
J’épingle son choix comme un endos ajouté,
Aucun jouet ne la fera plier, jolie qui me dévore,
Elle prête, j’entreprend cette chance qui l’honore,
De la belle prose de ma copine, j’ai effeuillé.
Elle guida mes petits appas en nombre par sa tendresse,
Comme des graffitis endiablés et sans foi,
Mon premier souffle restera à jamais, un tour, quoi !
Celui d'une folie d’acteur syncopant la face de mon altesse.
(avec toutes mes excuses)
Infiniment Elle .
Les paupières closes contemplent son visage
Dans l'abîme des songes, son coeur se broie
L'anneau de cet amour glisse entre ses doigts
La clef l'a cloîtré dans un coin sans rivage
Ses lèvres chuchotent son doux petit prénom
Il est enfoui dans ses veines pâles
Comme ce sein resté nu dans un râle
Aussi froid, qu'un corps recouvert de glaçons
Qui épingle cette croix sur son dos voûté ?
Aucun fouet, me fera nier, cette folie qui dévore
Quel prêtre entend ce silence des plus sonores
Quand cette couronne d'épines l'a endeuillé
Elle guidera ses petits pas dans l'ombre de ses faiblesses
Contre tout crucifix, Diables et toutes lois
Son dernier souffle demeurera à jamais, ce tournoi
Celui, d'une jolie fleur triomphante face à la mère vieillesse.
LILASYS