Rouge colère dans le bleu du ciel,
Mon coeur brisé fait comme des étincelles,
Mes ailes frôlent le feu d'un horizon noir,
Papillon de nuit, dans un vol sans bruit, tu te caches dans l'obscurité du désespoir,
J'imagine le paysage de tes rêves,
Toutes les barrières, aussi, que tu soulèves,
A mes lettres mortes, répondent quelques accords,
La mélodie des maux joue les notes de la mélancolie,
Avec le temps s'effacent les remords,
La source continue de couler dans les rivières de l'oubli,
Je t'ai promis l'éclat d'un amour sincère,
Dans un champ de soupirs s'éparpillent les étoiles de naguère,
Je suis ce que tu voudrais que je sois,
Mais dans un univers qui n'appartient qu'à toi.
L'amour ne tient parfois qu'à un fil,
Quand tu t'en vas, je ne suis qu'un funambule.
Je ne voudrais retenir que tes sourires,
Se perdant dans les méandres du désir.
Je vis à la lumière de tes regards, à l'ombre de ce que tu aspires,
Quand les masques tombent, je sais que tu respires.
Mon coeur brisé fait comme des étincelles,
Mes ailes frôlent le feu d'un horizon noir,
Papillon de nuit, dans un vol sans bruit, tu te caches dans l'obscurité du désespoir,
J'imagine le paysage de tes rêves,
Toutes les barrières, aussi, que tu soulèves,
A mes lettres mortes, répondent quelques accords,
La mélodie des maux joue les notes de la mélancolie,
Avec le temps s'effacent les remords,
La source continue de couler dans les rivières de l'oubli,
Je t'ai promis l'éclat d'un amour sincère,
Dans un champ de soupirs s'éparpillent les étoiles de naguère,
Je suis ce que tu voudrais que je sois,
Mais dans un univers qui n'appartient qu'à toi.
L'amour ne tient parfois qu'à un fil,
Quand tu t'en vas, je ne suis qu'un funambule.
Je ne voudrais retenir que tes sourires,
Se perdant dans les méandres du désir.
Je vis à la lumière de tes regards, à l'ombre de ce que tu aspires,
Quand les masques tombent, je sais que tu respires.