A LA VIE A LA MORT
Si ce sang ce soir se glace si seule parmi l'ombre sentence de la nuit
Devant ce mur souffrant empli d'écrits qui hante mon désespoir
En ce sombre mois de novembre où naissent que des cendres
Et que le coeur suit,c'est que le ciel est si noir qu'aucun astre
N'éclaire cette maudite chaumière de misère.
Tant de jours à essayer Mon ange de comprendre,
Mal de savoir Ô si mal de réagir ,coupable
De n'avoir pas su t'aimer comme tu aurais dû l'être,
D'un mal oui pourtant l'on puise toujours un bien,
Apprendre à aimer les siens moi qui n'ai pas su, guider
Le chemin de tes demains,disparaître d'un simple geste
Quand l'autre reste sans toi je ne suis plus moi,déracinée j'erre
Parmi l'humain,ce temps ces heures qui défilent
Dans le néant n'ont même plus de valeur de sentiments
Même si je sais que les regrets flinguent le coeur,
Que la Beauté ne résorbe pas les plaies,qu'on peut mourir
Dans des je t'Aime ou des non dits,que le souffle naît
Fragile et se consume à force de morsures,sache où que tu
Sois que mon âme calcinée d'ire,dort près de ton si beau corps,
Ô si près que tu pourrais qui sait sentir la chaleur de mon Amour
Réchauffer tes chairs sacrifiées,m'entendre hurler comme l'animal enchaîné.
Sache aussi que sous les décombres de ton toit saccagé
Trace est l'éphémère battement d'aile en ce gouffre amer,
De tout mon for intèrieur écorché, nos chairs
Se fendent de la race ravagée,d'âme animée plus que jamais,
Telle cette pépite divine fascine un chercheur d'or,
Toi ce tsunami d'énergie qui crachais Le feu de la Vie
Désormais tu m'es Flamme immortelle.
Ma Vivi toi là-bas moi ici à chaque instant
De ma vie terrestre s'attend un signe de toi
Avec la folie de l' impatience.
Si ce sang ce soir se glace si seule parmi l'ombre sentence de la nuit
Devant ce mur souffrant empli d'écrits qui hante mon désespoir
En ce sombre mois de novembre où naissent que des cendres
Et que le coeur suit,c'est que le ciel est si noir qu'aucun astre
N'éclaire cette maudite chaumière de misère.
Tant de jours à essayer Mon ange de comprendre,
Mal de savoir Ô si mal de réagir ,coupable
De n'avoir pas su t'aimer comme tu aurais dû l'être,
D'un mal oui pourtant l'on puise toujours un bien,
Apprendre à aimer les siens moi qui n'ai pas su, guider
Le chemin de tes demains,disparaître d'un simple geste
Quand l'autre reste sans toi je ne suis plus moi,déracinée j'erre
Parmi l'humain,ce temps ces heures qui défilent
Dans le néant n'ont même plus de valeur de sentiments
Même si je sais que les regrets flinguent le coeur,
Que la Beauté ne résorbe pas les plaies,qu'on peut mourir
Dans des je t'Aime ou des non dits,que le souffle naît
Fragile et se consume à force de morsures,sache où que tu
Sois que mon âme calcinée d'ire,dort près de ton si beau corps,
Ô si près que tu pourrais qui sait sentir la chaleur de mon Amour
Réchauffer tes chairs sacrifiées,m'entendre hurler comme l'animal enchaîné.
Sache aussi que sous les décombres de ton toit saccagé
Trace est l'éphémère battement d'aile en ce gouffre amer,
De tout mon for intèrieur écorché, nos chairs
Se fendent de la race ravagée,d'âme animée plus que jamais,
Telle cette pépite divine fascine un chercheur d'or,
Toi ce tsunami d'énergie qui crachais Le feu de la Vie
Désormais tu m'es Flamme immortelle.
Ma Vivi toi là-bas moi ici à chaque instant
De ma vie terrestre s'attend un signe de toi
Avec la folie de l' impatience.
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