Pour tes mots
T'as voulu le bonheur, au parvis des églises,
Et aussi la bonne heure aux caprices d'Elise,
Je suis un moins que rien, un chacal, profiteur,
Je ne suis que le lien entre haine et voleurs,
Tu sais que j'excessive, mes mots et mes apprêts,
Que je franchis souvent, la limite tu le sais,
Au bal du collège, moi je t'aurais parlé,
Et j'aurais fait un slow, mais je sais pas danser,
Y'aurait eu des lumières, et de tous les côtés,
Qui aurait bien caché ma tête traumatisée,
De la musique partout, je me cache jamais,
Tu mets un projecteur, sans honte, moi, j'apparais,
Mes défauts sont les autres, là où ils ont déviés,
Je ferais pas l'erreur de me tromper d'histoire,
Quand à la guérison, un jour ou bien un soir,
Une chose est certaine, car j'adore t'écouter.
T'as voulu le bonheur, au parvis des églises,
Et aussi la bonne heure aux caprices d'Elise,
Je suis un moins que rien, un chacal, profiteur,
Je ne suis que le lien entre haine et voleurs,
Tu sais que j'excessive, mes mots et mes apprêts,
Que je franchis souvent, la limite tu le sais,
Au bal du collège, moi je t'aurais parlé,
Et j'aurais fait un slow, mais je sais pas danser,
Y'aurait eu des lumières, et de tous les côtés,
Qui aurait bien caché ma tête traumatisée,
De la musique partout, je me cache jamais,
Tu mets un projecteur, sans honte, moi, j'apparais,
Mes défauts sont les autres, là où ils ont déviés,
Je ferais pas l'erreur de me tromper d'histoire,
Quand à la guérison, un jour ou bien un soir,
Une chose est certaine, car j'adore t'écouter.