À l'heure où il ne fait ni beau ni froid
Où il ne fais ni trop jours ni trop nuit
J'écris délicatement un poème pour moi
Une seule vérité : Moi-même, moi qui jouit
À l'heure où il commence à pleuvoir
L'eau ruisselle, les puis se remplissent
Trop peu de beauté pour émouvoir
Fasse que ma vérité grandisse
À l'heure où le soleil se lève
Qu'il sèche, réchauffe le glacé
Je serai seul, il y aura rien devant
Hormis une vérité, peu à peu renforcé
À l'heure où l'on ferme les volets
Je serai dans mon lit tout épanoui
Et quand les églises, les château résisteraient
Je sera avec mon esprit totalement endormi
À l'heure où les pierres tombent
Je serai aveugle comme Homère
Les murailles, les océans succombent
Je verrai l'invisible, Je verrai les Chimères
Je garde à jamais ma vérité
Ma joie, mes pensées, mes secrets
Il ne faut les oublier
Je le dit pour moi-même
J'en garde pour moi-même
Je suis une raison qui garde un secret
Pour un part de mystérieux
Je suis dons je pense
Je rend louange à ma vérité
Et le monde n'existera plus...
Où il ne fais ni trop jours ni trop nuit
J'écris délicatement un poème pour moi
Une seule vérité : Moi-même, moi qui jouit
À l'heure où il commence à pleuvoir
L'eau ruisselle, les puis se remplissent
Trop peu de beauté pour émouvoir
Fasse que ma vérité grandisse
À l'heure où le soleil se lève
Qu'il sèche, réchauffe le glacé
Je serai seul, il y aura rien devant
Hormis une vérité, peu à peu renforcé
À l'heure où l'on ferme les volets
Je serai dans mon lit tout épanoui
Et quand les églises, les château résisteraient
Je sera avec mon esprit totalement endormi
À l'heure où les pierres tombent
Je serai aveugle comme Homère
Les murailles, les océans succombent
Je verrai l'invisible, Je verrai les Chimères
Je garde à jamais ma vérité
Ma joie, mes pensées, mes secrets
Il ne faut les oublier
Je le dit pour moi-même
J'en garde pour moi-même
Je suis une raison qui garde un secret
Pour un part de mystérieux
Je suis dons je pense
Je rend louange à ma vérité
Et le monde n'existera plus...