Muse de mes amours, immobile et rêveuse,
Que vous me semblez belle, au cœur du nouveau soir !
Mon inspiration, porteuse de l’espoir,
Sur mon esprit perdu, ô dernière danseuse.
Menuet de votre âme, éternelle cadence,
Vos robes de satin en une ultime danse,
Prenant pour cavalier le poète anobli.
Ô femme de toute œuvre, ô ma seule et unique,
Qui murmure à l’aurore, au reflet onirique,
La grandeur d’écrivains qui tombent dans l’oubli.
Mon souhait temporel, ma prière pieuse,
Vous en êtes l’objet, vous de blanc et de noir !
Et je me damnerais, si je ne peux vous voir
Magnifique à jamais sous la blanche poudreuse.
Que vous me semblez belle, au cœur du nouveau soir !
Mon inspiration, porteuse de l’espoir,
Sur mon esprit perdu, ô dernière danseuse.
Menuet de votre âme, éternelle cadence,
Vos robes de satin en une ultime danse,
Prenant pour cavalier le poète anobli.
Ô femme de toute œuvre, ô ma seule et unique,
Qui murmure à l’aurore, au reflet onirique,
La grandeur d’écrivains qui tombent dans l’oubli.
Mon souhait temporel, ma prière pieuse,
Vous en êtes l’objet, vous de blanc et de noir !
Et je me damnerais, si je ne peux vous voir
Magnifique à jamais sous la blanche poudreuse.