Il est marié et père de deux jeunes filles,
Ses origines latines se lisent dans ses pupilles,
Ses cheveux bruns sont poivrés de maturité,
De grands yeux mais un regard plein de complexité.
Je suis la moitié d’un autre depuis sept années,
Plus vraiment amoureuse et pourtant fiancée,
Inconsciemment je recherche mon protecteur,
Un homme plus mûr, plus fort, plus séducteur.
Un matin il me susurre des mots doux lors d’un baisé,
En subtilité pour ne pas, des autres, se faire remarquer,
Le lendemain il prend ses distances et ne m’observe plus,
Plus de compliment, il s’est retiré seul, je l’ai perdue.
Il me décontenance et je perds mes moyens,
Il m’intrigue car je n’arrive pas à lire en cet italien,
Il est un mystère et j’aime l’effet que cela me fait,
J’ai envie de jouer ce jeu de séduction imparfait.
Depuis que mon esprit se perd, je ne dors plus,
Je l’imagine dans ma chambre, debout à demi-nue,
Et lorsque mon compagnon par faire du vélo,
Je file mettre un casque audio, regarder un porno.
Dans un moment de lucidité je me dis que c’est mal,
Mais avec le temps cet instant devient paranormal,
Et désormais, seules parlent, des hormones animales,
Qui provoquent en moi une faim et une soif bestiale.
Depuis ce matin, j’espère un signe de lui,
Je surveille mon téléphone et je m’ennuie,
Je repense à ce repas partagé vendredi en extra,
Je l’imagine déjà dans un uniforme marcel et bermuda.
Il est avant tout mon collègue et de loin mon ainée,
Je ne devrais pas me laisser aller à ce genre d’idées,
Mais depuis un an déjà je me consume,
Alors, seul par écrit, je trompe de ma plume.
Ses origines latines se lisent dans ses pupilles,
Ses cheveux bruns sont poivrés de maturité,
De grands yeux mais un regard plein de complexité.
Je suis la moitié d’un autre depuis sept années,
Plus vraiment amoureuse et pourtant fiancée,
Inconsciemment je recherche mon protecteur,
Un homme plus mûr, plus fort, plus séducteur.
Un matin il me susurre des mots doux lors d’un baisé,
En subtilité pour ne pas, des autres, se faire remarquer,
Le lendemain il prend ses distances et ne m’observe plus,
Plus de compliment, il s’est retiré seul, je l’ai perdue.
Il me décontenance et je perds mes moyens,
Il m’intrigue car je n’arrive pas à lire en cet italien,
Il est un mystère et j’aime l’effet que cela me fait,
J’ai envie de jouer ce jeu de séduction imparfait.
Depuis que mon esprit se perd, je ne dors plus,
Je l’imagine dans ma chambre, debout à demi-nue,
Et lorsque mon compagnon par faire du vélo,
Je file mettre un casque audio, regarder un porno.
Dans un moment de lucidité je me dis que c’est mal,
Mais avec le temps cet instant devient paranormal,
Et désormais, seules parlent, des hormones animales,
Qui provoquent en moi une faim et une soif bestiale.
Depuis ce matin, j’espère un signe de lui,
Je surveille mon téléphone et je m’ennuie,
Je repense à ce repas partagé vendredi en extra,
Je l’imagine déjà dans un uniforme marcel et bermuda.
Il est avant tout mon collègue et de loin mon ainée,
Je ne devrais pas me laisser aller à ce genre d’idées,
Mais depuis un an déjà je me consume,
Alors, seul par écrit, je trompe de ma plume.
~ LadyHamilton ~