Poème insensé ou un sans « C»
Ho ! Rage ! (au bide du pastis "che")….
Don piège, toute similitude est volontaire mais simplement pour sourire.
Orage ! Haut mes espoirs ! Ho, vieille avanie !
Neige fond sur d’abus que toutes les femmes nient,
Et ne suis-je transi dans mes travaux hautains
Que de voir en le jour flétrir mon beau thym ?
Mon bras qui d’un rejet fou, mon ex femme mire,
Mon bras, qui tant de fois, s’en va de mal en pire,
Tant de fois raffermi le troll de sa voix,
Ebahit ! Dont toutes nos belles, elles ne font rien pour moi ?
Ô duel devenir de ma foire dépassée !
Oeuvre de tant de fours en un jour dégradée !
Telle l’indignité qui étale tous mes malheurs !
Est la bâtisse élevée qui plombe mes honneurs !
Faut-il par nos ébats voir retomber nos pontes,
Et sourire comme l’élégante, ou rire en mes fontes ?
Honte, sois en ma pinte le présent souteneur ;
Le bas rang n'omet point de l’homme son bonheur ;
Un bon jaloux effeuille quand l’exquis lui fait signe
Malgré sa foie sans droit, a su en prendre une bigne.
Et toi, de mes exploits fade aux dieux, souvent ment,
Quand mon déport se gâte de futiles ors déments,
Faire, pardi ! Tant à plaindre, et qui, en fête dépense,
M'as servi de parade, sans son, sans offense,
Va, réédite mes ors, met le denier dans mes mains,
Repasse,pour me ranger, pour de bons lendemains.
Ho ! Rage ! (au bide du pastis "che")….
Don piège, toute similitude est volontaire mais simplement pour sourire.
Orage ! Haut mes espoirs ! Ho, vieille avanie !
Neige fond sur d’abus que toutes les femmes nient,
Et ne suis-je transi dans mes travaux hautains
Que de voir en le jour flétrir mon beau thym ?
Mon bras qui d’un rejet fou, mon ex femme mire,
Mon bras, qui tant de fois, s’en va de mal en pire,
Tant de fois raffermi le troll de sa voix,
Ebahit ! Dont toutes nos belles, elles ne font rien pour moi ?
Ô duel devenir de ma foire dépassée !
Oeuvre de tant de fours en un jour dégradée !
Telle l’indignité qui étale tous mes malheurs !
Est la bâtisse élevée qui plombe mes honneurs !
Faut-il par nos ébats voir retomber nos pontes,
Et sourire comme l’élégante, ou rire en mes fontes ?
Honte, sois en ma pinte le présent souteneur ;
Le bas rang n'omet point de l’homme son bonheur ;
Un bon jaloux effeuille quand l’exquis lui fait signe
Malgré sa foie sans droit, a su en prendre une bigne.
Et toi, de mes exploits fade aux dieux, souvent ment,
Quand mon déport se gâte de futiles ors déments,
Faire, pardi ! Tant à plaindre, et qui, en fête dépense,
M'as servi de parade, sans son, sans offense,
Va, réédite mes ors, met le denier dans mes mains,
Repasse,pour me ranger, pour de bons lendemains.
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