Assis sur ce banc tagué délavé, je me blase ...
Dans ses veines usées son regard me lasse.
Posé là... son dos me glace.
Devant moi sans vie tous ces êtres sans veine qui passent.
Dont la peine discrète les trace..
Ces passants qui cherchent en vain leur place.
Comme cette vague qui pousse l'autre pour la regarder s'échouer..
Ce soleil qui se couche sans jamais se retourner.
Comme si son levé allez nous faire oublier.
Les yeux fermés ce banc sera à jamais marqué.
De cette l'arme inconnue qu'il efface...ra.
Et si il pouvait nous raconter.
De tout ce qu'on lui a confié.
De tout ce qu'il a enduré.
Du poids des clochards et des câlins.
Des traces de vin et de crachat.
Il pourrait à tout moment craquer.
Nous laisser tomber sans jamais devoir se s'excuser.
Solo
Dans ses veines usées son regard me lasse.
Posé là... son dos me glace.
Devant moi sans vie tous ces êtres sans veine qui passent.
Dont la peine discrète les trace..
Ces passants qui cherchent en vain leur place.
Comme cette vague qui pousse l'autre pour la regarder s'échouer..
Ce soleil qui se couche sans jamais se retourner.
Comme si son levé allez nous faire oublier.
Les yeux fermés ce banc sera à jamais marqué.
De cette l'arme inconnue qu'il efface...ra.
Et si il pouvait nous raconter.
De tout ce qu'on lui a confié.
De tout ce qu'il a enduré.
Du poids des clochards et des câlins.
Des traces de vin et de crachat.
Il pourrait à tout moment craquer.
Nous laisser tomber sans jamais devoir se s'excuser.
Solo
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