Peu importe le vent au sommet des montagnes
Glaçant les cœurs meurtris exposés aux rafales
Même si les poissons ont déserté les fagnes
L’instinct pour la survie est la force animale
Tant pis pour la chaleur dans ce désert aride
Asséchant la bouche qui réclame un baiser
Même si les gourdes sont devenues trop vide
L’oasis n’est pas loin, il faut la retrouver
Peu importe les cris aux abords des forêts
Bref avertissement pour les aventuriers
Même si le milieu est vraiment très hostile
La vie est un cadeau quand la terre est fertile
Tant pis pour notre amour échoué sur la plage
Que la mer a chassé par une ultime vague
Même si nos projets n’étaient que des mirages
Je me noie encore, retenu par les algues