Petite fleur, mon amour !
Petite Mélodie,
Quand tu souris,
La vie fleurit,
Petite fleur d’amour,
Tu embellis mes jours.
Petit bébé tant désiré,
Quand ta petite graine a germé,
Un jour de Décembre,
Qu’il était doux de t’attendre.
Ma vie en a été bouleversée,
Je resplendissais de santé,
Comme une petite fleur, tu t’es épanouie,
Au grès de mon ventre, qui s’est arrondi,
La vie avait à nouveau du mordant,
Que nous croquions à pleines dents.
C’était le temps de l’hiver,
L’année de mes trente ans,
J’avais rajeunie de dix ans.
Je me sentais renaître,
J’avais laissé de côté, mon mal-être,
Transformée, je me trouvais à nouveau belle,
Dans cette robe blanche, toute en dentelle,
Que je m’étais offert,
Aux grands reproches de ton père.
Je vivais un grand rêve, toute éveillée,
Dans la nonchalance et la légèreté,
Dans l’espérance et la bonne humeur,
J’attendais que sonne l’heure,
De ta naissance programmée.
Un douze août, une journée embaumée de soleil,
Mon corps alourdi allait faire une merveille,
Au fil des mois, je t’ai imaginée,
Une jolie poupée aux yeux bleus
Avec tout ce qu’il faut,
Quoi rêver de mieux,
Du bonheur plus qu’il n’en faut !
Devant ce petit être tout neuf et charmeur,
Toute mère se sent un peu désarmée,
Mais bien vite rassurée,
Par le regard bienveillant de ta sœur aînée,
Qui ne voulait pas que tu pleures,
Elle te chantait ces petites chansons,
Que je lui avait apprises par cœur,
Qui ramenait sur tes lèvres, un joli sourire,
Et des petites mimiques qui nous faisaient bien rire.
Petite Mélodie,
Quand tu souris,
La vie fleurit,
Petite fleur d’amour,
Tu embellis mes jours.
Petit bébé tant désiré,
Quand ta petite graine a germé,
Un jour de Décembre,
Qu’il était doux de t’attendre.
Ma vie en a été bouleversée,
Je resplendissais de santé,
Comme une petite fleur, tu t’es épanouie,
Au grès de mon ventre, qui s’est arrondi,
La vie avait à nouveau du mordant,
Que nous croquions à pleines dents.
C’était le temps de l’hiver,
L’année de mes trente ans,
J’avais rajeunie de dix ans.
Je me sentais renaître,
J’avais laissé de côté, mon mal-être,
Transformée, je me trouvais à nouveau belle,
Dans cette robe blanche, toute en dentelle,
Que je m’étais offert,
Aux grands reproches de ton père.
Je vivais un grand rêve, toute éveillée,
Dans la nonchalance et la légèreté,
Dans l’espérance et la bonne humeur,
J’attendais que sonne l’heure,
De ta naissance programmée.
Un douze août, une journée embaumée de soleil,
Mon corps alourdi allait faire une merveille,
Au fil des mois, je t’ai imaginée,
Une jolie poupée aux yeux bleus
Avec tout ce qu’il faut,
Quoi rêver de mieux,
Du bonheur plus qu’il n’en faut !
Devant ce petit être tout neuf et charmeur,
Toute mère se sent un peu désarmée,
Mais bien vite rassurée,
Par le regard bienveillant de ta sœur aînée,
Qui ne voulait pas que tu pleures,
Elle te chantait ces petites chansons,
Que je lui avait apprises par cœur,
Qui ramenait sur tes lèvres, un joli sourire,
Et des petites mimiques qui nous faisaient bien rire.