parce que cette histoire peut arriver et parcequ'une toute petite chose peut provoquer des catastrophes ...
Tu marches dans la rue,
En cherchant l'issue,
Y a des connards qui te sifflent,
Tu te retournes, va leur foutre une gifle,
Alors ils te traitent de pute,
Sans raison, sans but.
Tu t'en vas dégoûtée,
Lassée, Souillée.
Tu rentres chez toi, Il y a ce roi
Qui te gueules dessus
Sans même bouger son cul.
Tu te barres – alors,
Et tu râles, encore.
Tes amis te sortent,
Que tu es chiante. Tu claques la porte.
On te dit que tu es de mauvaise humeur,
Que t'as un caractère de chien,
Tu réponds à ces chieurs,
Qu'ils n'y comprennent rien.
Les gens te tournent le dos
Et hypocrites, parlent avec des mots
En se moquant.
Tu laisses passer, rageusement.
On se détourne de ce que tu es,
Car tu ne peux vivre comme les autres,
Il est trop lourd ton passé,
On te dit que c'est de ta faute.
Tu vas voir ta famille,
Ils croient qu'tu veux du fric,
Ils te traitent de pov fille
ET oncle Robert te nique.
Tu leur balance un cric,
Et tu te barres sans tes clac mais avec tes clic.
Tes parents te soûlent de reproches,
Tu vas dormir sous un porche,
Tu goûtes à la drogue, au vice
Tu tombes dans le précipice...
Tu fumes, tu vends ton corps,
Tu es proche de la mort,
Et tu maudis les enfoirés,
Qui y a pas longtemps te sifflaient,
Avec leur injures qui t'ont souillée,
Ils n'ont fait que prédire
La déchéance à venir...
Tu te trouves un mec,
Qui te frappes,
Tu fais avec,
Tu zappes.
Il prend l'argent que tu as,
Propose de te faire tourner à d'autres mecs
Ose parler d'amour, le gas !
Puis te fait tâter ses pecs,
En disant que tu aimes ça,
En te traitant de salope,
Puis te mets en cloque,
Et s'en va.
Puis tu rencontres ta mère,
En emm'nant le gamin à la crèche,
Elle te voit, se désespère,
Te dis que même si t'es en dèche,
« J'te donnerai pas un rond
T'avais qu'à pas baiser ce con ! »
Puis s'en va en crachant par terre,
Tu pleures. U ères.
Puis, tu vas voir un maque,
Qui te vend à d'autres,
Et ton gosse se prend des claques,
Par les hommes qui attendent à ta porte.
Il finit à la DASS,
Toi, tu bois la tasse,
Tu es une loque,
Tu sors plus sans ta clope.
Puis tu finis par apprendre
Que t'as le cancer,
Tu décides d'aller te pendre,
Sous les yeux de ta mère,
Qui jette ton corps à la rue...
Tu as finalement trouvé l'issue,
Petite gamine perdue ...
Tu marches dans la rue,
En cherchant l'issue,
Y a des connards qui te sifflent,
Tu te retournes, va leur foutre une gifle,
Alors ils te traitent de pute,
Sans raison, sans but.
Tu t'en vas dégoûtée,
Lassée, Souillée.
Tu rentres chez toi, Il y a ce roi
Qui te gueules dessus
Sans même bouger son cul.
Tu te barres – alors,
Et tu râles, encore.
Tes amis te sortent,
Que tu es chiante. Tu claques la porte.
On te dit que tu es de mauvaise humeur,
Que t'as un caractère de chien,
Tu réponds à ces chieurs,
Qu'ils n'y comprennent rien.
Les gens te tournent le dos
Et hypocrites, parlent avec des mots
En se moquant.
Tu laisses passer, rageusement.
On se détourne de ce que tu es,
Car tu ne peux vivre comme les autres,
Il est trop lourd ton passé,
On te dit que c'est de ta faute.
Tu vas voir ta famille,
Ils croient qu'tu veux du fric,
Ils te traitent de pov fille
ET oncle Robert te nique.
Tu leur balance un cric,
Et tu te barres sans tes clac mais avec tes clic.
Tes parents te soûlent de reproches,
Tu vas dormir sous un porche,
Tu goûtes à la drogue, au vice
Tu tombes dans le précipice...
Tu fumes, tu vends ton corps,
Tu es proche de la mort,
Et tu maudis les enfoirés,
Qui y a pas longtemps te sifflaient,
Avec leur injures qui t'ont souillée,
Ils n'ont fait que prédire
La déchéance à venir...
Tu te trouves un mec,
Qui te frappes,
Tu fais avec,
Tu zappes.
Il prend l'argent que tu as,
Propose de te faire tourner à d'autres mecs
Ose parler d'amour, le gas !
Puis te fait tâter ses pecs,
En disant que tu aimes ça,
En te traitant de salope,
Puis te mets en cloque,
Et s'en va.
Puis tu rencontres ta mère,
En emm'nant le gamin à la crèche,
Elle te voit, se désespère,
Te dis que même si t'es en dèche,
« J'te donnerai pas un rond
T'avais qu'à pas baiser ce con ! »
Puis s'en va en crachant par terre,
Tu pleures. U ères.
Puis, tu vas voir un maque,
Qui te vend à d'autres,
Et ton gosse se prend des claques,
Par les hommes qui attendent à ta porte.
Il finit à la DASS,
Toi, tu bois la tasse,
Tu es une loque,
Tu sors plus sans ta clope.
Puis tu finis par apprendre
Que t'as le cancer,
Tu décides d'aller te pendre,
Sous les yeux de ta mère,
Qui jette ton corps à la rue...
Tu as finalement trouvé l'issue,
Petite gamine perdue ...
