Petit frère
Pour toi Prince, Conte des légendes,
Qui fut sur mes épaules, qui devint grand,
Toi qui me considère comme ton frère,
Comme un docteur, un sur efficient,
Pour toi qui me demanda conseil,
Sur ton avenir, et qui suivit le chemin,
Pour aujourd'hui être quelqu'un d'utile,
Qui m'écouta et réussit, tu es un grand,
Pour toi qui aujourd'hui me rends,
Sur ton temps, dans ma solitude,
Tu sais ce que c'est de trop penser,
Trop réfléchir, de vouloir apprendre,
Constamment, rester près des jeunes,
Qui étudient, car ils sont riches d'enseignements,
Comme tu es de bons conseils, petit frère,
Bien que parfois je déraille, je ne défaille,
Jamais, j'échange, j'apprends, je me trompe,
Aussi, malgré mes hyperboles, je ne suis,
Que ton frère de coeur, j'en suis honoré,
De mes erreurs, de mes élans, j'y pense,
Je ne suis qu'un surdoué à qui la vie,
N'a laissé aucune chance, ni à l'écrit,
Ni en étude, seuls le calme et la paix,
Un jour pourront peut être m'apaiser,
Mais je te sais grés, oh petit frère,
De penser à moi dans toute ta vie,
M'accepter, sache que je suis fier,
Tu ressemble tellement à mon fils,
Dans tes mots et nos discussions,
Dans ta vision et nos échanges,
Si fier d'être comme ton frère,
Heureux de voir nos allusions,
Corroborer malgré la distance,
Des certitudes et des questions,
Sans jamais dépasser, la Pangée.
Pour toi Prince, Conte des légendes,
Qui fut sur mes épaules, qui devint grand,
Toi qui me considère comme ton frère,
Comme un docteur, un sur efficient,
Pour toi qui me demanda conseil,
Sur ton avenir, et qui suivit le chemin,
Pour aujourd'hui être quelqu'un d'utile,
Qui m'écouta et réussit, tu es un grand,
Pour toi qui aujourd'hui me rends,
Sur ton temps, dans ma solitude,
Tu sais ce que c'est de trop penser,
Trop réfléchir, de vouloir apprendre,
Constamment, rester près des jeunes,
Qui étudient, car ils sont riches d'enseignements,
Comme tu es de bons conseils, petit frère,
Bien que parfois je déraille, je ne défaille,
Jamais, j'échange, j'apprends, je me trompe,
Aussi, malgré mes hyperboles, je ne suis,
Que ton frère de coeur, j'en suis honoré,
De mes erreurs, de mes élans, j'y pense,
Je ne suis qu'un surdoué à qui la vie,
N'a laissé aucune chance, ni à l'écrit,
Ni en étude, seuls le calme et la paix,
Un jour pourront peut être m'apaiser,
Mais je te sais grés, oh petit frère,
De penser à moi dans toute ta vie,
M'accepter, sache que je suis fier,
Tu ressemble tellement à mon fils,
Dans tes mots et nos discussions,
Dans ta vision et nos échanges,
Si fier d'être comme ton frère,
Heureux de voir nos allusions,
Corroborer malgré la distance,
Des certitudes et des questions,
Sans jamais dépasser, la Pangée.