Ce matin j’ai dessiné les traits de ta peau
Sous un rayon de soleil qui t’illuminait.
Le vert pâle de tes yeux reflétait le flot
Du furieux torrent qui près de toi dévalais.
Tu restes là, imperturbable et si pensif
Les sourcils froncés pourtant le visage doux.
Bouche parfois pincée, un sourire expressif,
Une peau rosée par la fraîcheur des remous.
J’ai peint tes yeux en eau, je t’ai dépeint en rêve.
Tu sembles né de cette nature sauvage.
Les roses qui naissent ont la couleur de tes lèvres,
Les roches polies sont lignes de ton visage.
La force torrentielle et tes cheveux se mêlent.
Teint apaisant, frêle, teint juvénile en somme.
Tes petits doigts effleurent cette eau qui s’écoule.
A quoi peut-il penser ce charmant petit homme ?
Sous un rayon de soleil qui t’illuminait.
Le vert pâle de tes yeux reflétait le flot
Du furieux torrent qui près de toi dévalais.
Tu restes là, imperturbable et si pensif
Les sourcils froncés pourtant le visage doux.
Bouche parfois pincée, un sourire expressif,
Une peau rosée par la fraîcheur des remous.
J’ai peint tes yeux en eau, je t’ai dépeint en rêve.
Tu sembles né de cette nature sauvage.
Les roses qui naissent ont la couleur de tes lèvres,
Les roches polies sont lignes de ton visage.
La force torrentielle et tes cheveux se mêlent.
Teint apaisant, frêle, teint juvénile en somme.
Tes petits doigts effleurent cette eau qui s’écoule.
A quoi peut-il penser ce charmant petit homme ?