Toi qui travailles tel un asservi
Sans pitié, été comme hiver
Dans un champ entièrement dépourvu
Sous un ciel assombri et pas clair.
Toi qui sues tout le temps
Tu te réveilles tôt le matin
Avec ta sueur, tu arroses ton petit champ
Et dans ta main un pain !
Pauvre laboureur, tu souffres vraiment
Saches que Tu fais le bonheur des gens
Pauvre paysan,
La terre est ton unique lien
Le monde appartient à celui qui n’a rien
Le ciel est généreux continue
De Prier notre bon Dieu.
Il est vrai, Ton firmament sera couvert
De gros nuages
Porteurs d’un message sans ambages
Avec ton endurance,
Ta récolte sera mieux !
Toi paysan courageux !