Pauline, ton innocence me fascine.La distance entre nous m’assassine.
Ton absence fait de moi une victime.
Par décence, je cache mes larmes et me résigne.
Pauline, tes gestes, je les devine.
Au téléphone, j’entends ta petite voix,
Et je me souviens du temps où l’on était trois.
Pauline, ton sourire désormais je l’imagine.
Pauline, tu manques énormément.
Je te regarde souvent dans mon écran.
Les jours passent sans toi mais pas un moment,
sans une pensée pour toi mon enfant.
Pauline, qui est l’inconnu que tu dessines ?
Qui est parti depuis un an de ta vie.
Mais ne crois pas qu’il t’oublie.
De mon film c’est toi la héroïne.
Pauline, conserve ce poème dans ta boîte à images,
Tu le liras par toi-même, plus tard au passage,
Comme un bien que l’on aurait en partage.
Dans le livre de ma vie, tu resteras à la première page.
Ton absence fait de moi une victime.
Par décence, je cache mes larmes et me résigne.
Pauline, tes gestes, je les devine.
Au téléphone, j’entends ta petite voix,
Et je me souviens du temps où l’on était trois.
Pauline, ton sourire désormais je l’imagine.
Pauline, tu manques énormément.
Je te regarde souvent dans mon écran.
Les jours passent sans toi mais pas un moment,
sans une pensée pour toi mon enfant.
Pauline, qui est l’inconnu que tu dessines ?
Qui est parti depuis un an de ta vie.
Mais ne crois pas qu’il t’oublie.
De mon film c’est toi la héroïne.
Pauline, conserve ce poème dans ta boîte à images,
Tu le liras par toi-même, plus tard au passage,
Comme un bien que l’on aurait en partage.
Dans le livre de ma vie, tu resteras à la première page.