Ma fenêtre est maculée de sang
Un poignard traîne sur le divan
Dehors une colombe prend son envol
Un cadave est allongé sur le sol
Dans ses yeux de pierre
Se reflête la lumière
De sa vie depuis longtemps damnée
Que le fléaut de la mort est venu achever
De sa peau blanche et refroidie
Par le temps passé sans vie
S'élève déja le fantôme de l'âme
Et bientôt sur le corps tombent les larmes
Les larmes du ciel qui lui rendent homage
Les larmes de dieu qui regarde sur son nuage
Le monde s'autodétruir
Cette création qu'il a mit tant de temps à réussir
Et moi je regarde impassible
Le corps gisant devant moi
Et il me prend l'envie irresistible
De mettre fin à mes jours sans toi
Quand je me présente une fois de plus devant la mort
Elle rigole de mon âme et de mon sort
Elle dit que beaucoup m'aiment dans le monde du soleil
Mais je sais que personne ne pleurera sur mon etrenel sommeil
… Partir c'est mourir un peu, mourir c'est partir beaucoup …
Un poignard traîne sur le divan
Dehors une colombe prend son envol
Un cadave est allongé sur le sol
Dans ses yeux de pierre
Se reflête la lumière
De sa vie depuis longtemps damnée
Que le fléaut de la mort est venu achever
De sa peau blanche et refroidie
Par le temps passé sans vie
S'élève déja le fantôme de l'âme
Et bientôt sur le corps tombent les larmes
Les larmes du ciel qui lui rendent homage
Les larmes de dieu qui regarde sur son nuage
Le monde s'autodétruir
Cette création qu'il a mit tant de temps à réussir
Et moi je regarde impassible
Le corps gisant devant moi
Et il me prend l'envie irresistible
De mettre fin à mes jours sans toi
Quand je me présente une fois de plus devant la mort
Elle rigole de mon âme et de mon sort
Elle dit que beaucoup m'aiment dans le monde du soleil
Mais je sais que personne ne pleurera sur mon etrenel sommeil
… Partir c'est mourir un peu, mourir c'est partir beaucoup …