Le temps est comme mon humeur,
Quand les larmes coulent sur mon visage,
Je peux détruire plus d'un paysage,
Le tonnerre et la foudre s'éveillent quand je pleur,
Je ne peux pas croire qu'aujourd'hui tu m'as laisser,
Je viens d'apprendre le sens du mot " délaisser"
Je pensait avoir la vie devant moi,
Mais une fois de plus j'ai eu tord,
Car subitement tu es mort,
La vie ne m'a pas laisser le choix,
Tu étais pour moi presque un étranger,
Loin et malade, difficile de te déranger,
Aujourd'hui quand je regarde tes proches,
Je vois que je ne suis plus que la petite fieulle abondonnée,
Attendant ton retour sur le porche,
Maintenant il me manque une part de moi,
Une partie que je ne connaissais pas,
Car le couteau de la tristesse en plein coeur m'a atteint,
Parce que tu es mort, toi mon parrain...
R.I.P 27.05.11
Espérence
Quand les larmes coulent sur mon visage,
Je peux détruire plus d'un paysage,
Le tonnerre et la foudre s'éveillent quand je pleur,
Je ne peux pas croire qu'aujourd'hui tu m'as laisser,
Je viens d'apprendre le sens du mot " délaisser"
Je pensait avoir la vie devant moi,
Mais une fois de plus j'ai eu tord,
Car subitement tu es mort,
La vie ne m'a pas laisser le choix,
Tu étais pour moi presque un étranger,
Loin et malade, difficile de te déranger,
Aujourd'hui quand je regarde tes proches,
Je vois que je ne suis plus que la petite fieulle abondonnée,
Attendant ton retour sur le porche,
Maintenant il me manque une part de moi,
Une partie que je ne connaissais pas,
Car le couteau de la tristesse en plein coeur m'a atteint,
Parce que tu es mort, toi mon parrain...
R.I.P 27.05.11
Espérence