De temps à autre, j'aime à partager les anecdotes du quotidien, de façon détournée ou plus profonde en général mais une fois n'est pas coutume.
Aujourd'hui, sans compter que nous avons crever les plafonds d'embouteillages et atteint un nouveau record "historique" : wahoo!!; j'ai pris le bus pour me rendre au travail, il y avait dû en avoir un qui n'a pas daigné rouler entre deux puisque ce que l'on nomme bétaillère portait parfaitement son nom ce matin
Blindé de blindé, comme très souvent mais à cet horaire d'habitude (comme quoi les habitudes ne sont pas bonnes mais s'installent en contrepartie si rapidement) il y a l'espace vital propre à chacun...
Et là, une femme de fière allure, qui le semblait en tout les cas (oui car il est bien connu qu'il ne faut pas se fier à l'apparence et que les gens qui se donnent des airs ne sont pas rares, le concept du "briller en société" était tranquillement assise au niveau des places réservées en train de bouquiner (c'est parfois plus simple d'avoir la tête baissée pour éviter les regards squattait deux places sans aucun scrupule ni gêne, la place à ses côtés était prise par son sac à main et son manteau : très chère!
Je me suis demandé si j'allais faire ma "connasse" et lui demander pour m'asseoir auprès d'elle mais je fus indulgente...encore une fois.
Elle fut dérangé par un monsieur, qui lui était debout car à un moment de freinage de l’engin, cet être l'a frôlé, elle s'est tourné vers lui et lui a jeté un regard qui voulait tout dire, je vous laisse imaginer...Ce monsieur quant à lui lisait paisiblement le livre que cette fameuse femme parcourait, pour autant il faut bien s'occuper
Le parcours continue, nous voilà sur l'autoroute, j'ai aperçu en montant à mon arrêt tout à l'heure un repère humain, qui se trouve être quelqu'un qui travaille au même endroit que moi; nous avançons sûrement sur la passerelle d'autoroute que nous empruntons avant d'atteindre notre sortie, qui est la première.
Entre parenthèses, il faut savoir qu'en temps "normal" (je n'apprécie pas ce mot et l'emploie le moins possible mais...quelques exceptions nous mettons 15 minutes.
Bref...Donc ce jeune homme qui se tenait à la barre où justement il y avait le bouton arrêt a attendu bien sagement, quit à louper l'arrêt que quelqu'un daigne appuyer sur le bouton pour lui et comme nous avions eu un échange de regard, il semble logique que c'est mon geste qu'il attendait.
J'aurais pu, là aussi, faire l'abrutie et attendre sagement à mon tour pour voir qu'elle était sa limite de bêtise; simplement cela ne m'intéresse et ne m'amuse pas.
Des exemples comme ça, il y en a à la pèle, dans la rue, dans les transports, dans les magasins, enfin partout quoi
Alors parce qu'il y a des jours comme ça et les anecdotes qui vont avec, par moment, je vous offrirais en partage ces petits instants où on prend sur soi par civisme en premier je dirais mais on le remarque aussi, c'est entre autre une des choses qui se perd.
Une chance que je ne sois pas, comme certains êtres humains en mode "cerveau reptilien" non stop, autrement vous vous doutez comme moi de ce qui pourrait se passer.
Voilà...Parce qu'il y a des jours comme ça…
The Smile
Aujourd'hui, sans compter que nous avons crever les plafonds d'embouteillages et atteint un nouveau record "historique" : wahoo!!; j'ai pris le bus pour me rendre au travail, il y avait dû en avoir un qui n'a pas daigné rouler entre deux puisque ce que l'on nomme bétaillère portait parfaitement son nom ce matin
Blindé de blindé, comme très souvent mais à cet horaire d'habitude (comme quoi les habitudes ne sont pas bonnes mais s'installent en contrepartie si rapidement) il y a l'espace vital propre à chacun...
Et là, une femme de fière allure, qui le semblait en tout les cas (oui car il est bien connu qu'il ne faut pas se fier à l'apparence et que les gens qui se donnent des airs ne sont pas rares, le concept du "briller en société" était tranquillement assise au niveau des places réservées en train de bouquiner (c'est parfois plus simple d'avoir la tête baissée pour éviter les regards squattait deux places sans aucun scrupule ni gêne, la place à ses côtés était prise par son sac à main et son manteau : très chère!
Je me suis demandé si j'allais faire ma "connasse" et lui demander pour m'asseoir auprès d'elle mais je fus indulgente...encore une fois.
Elle fut dérangé par un monsieur, qui lui était debout car à un moment de freinage de l’engin, cet être l'a frôlé, elle s'est tourné vers lui et lui a jeté un regard qui voulait tout dire, je vous laisse imaginer...Ce monsieur quant à lui lisait paisiblement le livre que cette fameuse femme parcourait, pour autant il faut bien s'occuper
Le parcours continue, nous voilà sur l'autoroute, j'ai aperçu en montant à mon arrêt tout à l'heure un repère humain, qui se trouve être quelqu'un qui travaille au même endroit que moi; nous avançons sûrement sur la passerelle d'autoroute que nous empruntons avant d'atteindre notre sortie, qui est la première.
Entre parenthèses, il faut savoir qu'en temps "normal" (je n'apprécie pas ce mot et l'emploie le moins possible mais...quelques exceptions nous mettons 15 minutes.
Bref...Donc ce jeune homme qui se tenait à la barre où justement il y avait le bouton arrêt a attendu bien sagement, quit à louper l'arrêt que quelqu'un daigne appuyer sur le bouton pour lui et comme nous avions eu un échange de regard, il semble logique que c'est mon geste qu'il attendait.
J'aurais pu, là aussi, faire l'abrutie et attendre sagement à mon tour pour voir qu'elle était sa limite de bêtise; simplement cela ne m'intéresse et ne m'amuse pas.
Des exemples comme ça, il y en a à la pèle, dans la rue, dans les transports, dans les magasins, enfin partout quoi
Alors parce qu'il y a des jours comme ça et les anecdotes qui vont avec, par moment, je vous offrirais en partage ces petits instants où on prend sur soi par civisme en premier je dirais mais on le remarque aussi, c'est entre autre une des choses qui se perd.
Une chance que je ne sois pas, comme certains êtres humains en mode "cerveau reptilien" non stop, autrement vous vous doutez comme moi de ce qui pourrait se passer.
Voilà...Parce qu'il y a des jours comme ça…
The Smile