On y chemine,
le coeur léger,
désir ultime,
d'aimer...
le vent qui gémit,
ou le soleil,
c'est toujours le paradis,
dans ce monde irréel,
j'aime à contempler le couchant,
le soir,
quand tu m'attends,
quel espoir...
comment douter de toi,
la tendresse est là;
douce joie...
déjà,
je rêve de sentir,
tes lèvres contre les miennes,
comme un désir,
qui m'amène...
m'entends-tu,
si j'ai mal,
l'absolu,
est mon idéal...
je t'aime...
...sylvain...
le coeur léger,
désir ultime,
d'aimer...
le vent qui gémit,
ou le soleil,
c'est toujours le paradis,
dans ce monde irréel,
j'aime à contempler le couchant,
le soir,
quand tu m'attends,
quel espoir...
comment douter de toi,
la tendresse est là;
douce joie...
déjà,
je rêve de sentir,
tes lèvres contre les miennes,
comme un désir,
qui m'amène...
m'entends-tu,
si j'ai mal,
l'absolu,
est mon idéal...
je t'aime...
...sylvain...