Par ce "donnez-moi", tu sais bien animer.
d'après : Pardonnez-moi, je ne sais pas aimer de Lilasys
Pour cette mission d'épouvantail juste à la frange,
Délier les humbles et les animer sur ces petites pages,
A repasser d'un fer à friser pour en faire des archanges,
Ouvrant des yeux de complice aux copains de tout âge.
Tu décomptes les secondes comme une franc-comtoise,
Répondant à tous, d'un sourire, d'un rire ou d'un délire,
Ajoutant les musiques que tu aimes, surtout Québecquoises,
Offrant les frémissements d'estime pour plus de plaisir.
Déversant tous les songes de ses rêveries en à coup,
Recherchant seulement des écrits riches et tendres,
Pour entrer dans l'intimité d'amis virtuels d'un coup,
Ici chacun connait les différences de ta révérence à entendre.
Sur cette montagne sacrée, tout en haut tu t'élèves,
Les alpages en deviennent avec toi belle félicité,
Des arômes naturels se répandent en bons élèves,
Se mélangeant à la douceur suave de tes petits motets.
Avec tes armes, tu nous emportes dans ton monde peu rose,
Qui se transforme peu à peu sous les chaleurs de ta prose,
Il te suffit de ces fleurs d'enlever les épines, met ça à l'étude,
Tes petits troubadours sont là pour plus de plénitude.
d'après : Pardonnez-moi, je ne sais pas aimer de Lilasys
Pour cette mission d'épouvantail juste à la frange,
Délier les humbles et les animer sur ces petites pages,
A repasser d'un fer à friser pour en faire des archanges,
Ouvrant des yeux de complice aux copains de tout âge.
Tu décomptes les secondes comme une franc-comtoise,
Répondant à tous, d'un sourire, d'un rire ou d'un délire,
Ajoutant les musiques que tu aimes, surtout Québecquoises,
Offrant les frémissements d'estime pour plus de plaisir.
Déversant tous les songes de ses rêveries en à coup,
Recherchant seulement des écrits riches et tendres,
Pour entrer dans l'intimité d'amis virtuels d'un coup,
Ici chacun connait les différences de ta révérence à entendre.
Sur cette montagne sacrée, tout en haut tu t'élèves,
Les alpages en deviennent avec toi belle félicité,
Des arômes naturels se répandent en bons élèves,
Se mélangeant à la douceur suave de tes petits motets.
Avec tes armes, tu nous emportes dans ton monde peu rose,
Qui se transforme peu à peu sous les chaleurs de ta prose,
Il te suffit de ces fleurs d'enlever les épines, met ça à l'étude,
Tes petits troubadours sont là pour plus de plénitude.