C’est un mot tendre et magique, glissant sur mes lèvres émues…
Que j’aurais aimé encore dire avec passion et fierté…
Dans le silence profond d’un papa s’étant perdu…
S’en allant à jamais dans l’incompréhension d’une triste vérité…
Sentiment étrange de solitude, de disgrâce, et de douleur impénétrable…
Quel est ce bruit sourd frappant le carrelage, soudainement expressif…
Et cette famille courant partout, atmosphère lourde et intouchable…
Criant et se débattant, dans la violence d’un moment rendu inexpressif…
Quelle est cette émotion grandissante, assourdissante et dépressive…
Quand simplement du haut de l’escalier, je vis un regard approché et désemparé…
M’amenant plus loin dans une chambre, substance triste et affective…
Quelle est cette réalité atroce et impersonnelle, simplement bafouée…
D'où vient la douloureuse matinée, le malheur d’une mort certaine…
Quelle est cette sensation, en traversant le couloir blanc et noir…
Au plus profond de moi, quelque chose m’enchaîne…
Pourquoi je ne peux aller voir… Pourquoi...
C’est un mot tendre et magique, glissant sur mes lèvres émues…
Que j’aurais aimé encore dire avec amour et volupté…
Dans le silence et la lumière d’un papa froid et allongé, très bien vêtu…
S’en allant à jamais dans l’écrin d’une infinité…
Que j’aurais aimé encore dire avec passion et fierté…
Dans le silence profond d’un papa s’étant perdu…
S’en allant à jamais dans l’incompréhension d’une triste vérité…
Sentiment étrange de solitude, de disgrâce, et de douleur impénétrable…
Quel est ce bruit sourd frappant le carrelage, soudainement expressif…
Et cette famille courant partout, atmosphère lourde et intouchable…
Criant et se débattant, dans la violence d’un moment rendu inexpressif…
Quelle est cette émotion grandissante, assourdissante et dépressive…
Quand simplement du haut de l’escalier, je vis un regard approché et désemparé…
M’amenant plus loin dans une chambre, substance triste et affective…
Quelle est cette réalité atroce et impersonnelle, simplement bafouée…
D'où vient la douloureuse matinée, le malheur d’une mort certaine…
Quelle est cette sensation, en traversant le couloir blanc et noir…
Au plus profond de moi, quelque chose m’enchaîne…
Pourquoi je ne peux aller voir… Pourquoi...
C’est un mot tendre et magique, glissant sur mes lèvres émues…
Que j’aurais aimé encore dire avec amour et volupté…
Dans le silence et la lumière d’un papa froid et allongé, très bien vêtu…
S’en allant à jamais dans l’écrin d’une infinité…
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