Je me souviens de cette image répétitive,
De cet hiver, comme de l’eau vive,
Du froid glacial, et de l’immense orgue,
Un silence noir et sombre, telle une morgue…
Paroisse inexpressive, rude et bilatérale,
Défiant le dédale d’une vie anormale…
Je me souviens de ses incommensurables vitraux,
Et ce jeu d’ombre sous la peau…
Et de ces statues sanguines,
Une chorale totalement ailleurs, et divine…
Là où l’aube, elle est verticale,
Berçant un tout autre original…
Je me souviens de ces quelques fissures,
Du temps à contempler ce jardin, et ces mûres…
De cet endroit ombilical, de cet espace…
De ces jours avec spasme, que je retrace…
De cette période transversale et transcendantale…
Poussant à prier sur une simple pierre tombale…
De cet hiver, comme de l’eau vive,
Du froid glacial, et de l’immense orgue,
Un silence noir et sombre, telle une morgue…
Paroisse inexpressive, rude et bilatérale,
Défiant le dédale d’une vie anormale…
Je me souviens de ses incommensurables vitraux,
Et ce jeu d’ombre sous la peau…
Et de ces statues sanguines,
Une chorale totalement ailleurs, et divine…
Là où l’aube, elle est verticale,
Berçant un tout autre original…
Je me souviens de ces quelques fissures,
Du temps à contempler ce jardin, et ces mûres…
De cet endroit ombilical, de cet espace…
De ces jours avec spasme, que je retrace…
De cette période transversale et transcendantale…
Poussant à prier sur une simple pierre tombale…