On me dit si souvent que je te ressemble, moi, je le sais
Je connais ce fluide pour que Mére enfantée m' ait portée
Si ta douceur m' emplissait confiante de bonheur la vie
Tu as mis chez ta fille les gonades d'un petit , Papa, Merci
Les fils à tordre ne me font pas peur, quand aux âneries
M'exprimer, tu me l'as appris, dire sa pensée sans s'écraser
Devant des titres ou des défis , Papa, Merci
Tes mains ont oeuvré, pour tes soeurs ,France guerroyait
Tu les as toujours protégées de l ' ennemi des pouilleries
Remplissant ton rôle de frère ainé, à tes périls les ennuis
Mais tu n'en avais que faire, tu volais l'envahisseur, le charbon
Et le couvert, les hivers étaient rudes et leurs maris en prison
Les enfants devenaient tes impératifs d' adulte responsable
Tes mains usées de raboter la planche de bois , la transformer
J'ai hérité de ton courage, mais les miennes ont tourné des pages
Pour semer la santé chez des gens indécemment abandonnés
Papa, Merci , pour ton sourire , pour tes chansons et ta musique
Pour ton coeur de toujours vingt ans, pour cet Amour magnétique
Lui aussi tu me l'as prescrit, sans ordonnance ,que par tes gestes
Des exemples que je suis , tête baissée et pour moyens , ta finesse
Il parait que je te ressemble, Oui , comme deux gouttes d'eau ,
Qui coulent identiques quand elles roulent sur une joue,
De peines ou de liesse , des émotions à fleur de peau
Que notre fierté n'en tâche pas , Papa, aux yeux du monde, nue
Je me dévoile en t'écrivant, Toi , tu le sais, que je suis ton portrait
Tu étais homme d'exception ,une belle âme , si beau , si bon
Je te pense , avec toi en effusion , je te reçois , t'écoute parler
Papa, disparu, toi? ; jamais...////mais tu me manques en ces saisons
Je connais ce fluide pour que Mére enfantée m' ait portée
Si ta douceur m' emplissait confiante de bonheur la vie
Tu as mis chez ta fille les gonades d'un petit , Papa, Merci
Les fils à tordre ne me font pas peur, quand aux âneries
M'exprimer, tu me l'as appris, dire sa pensée sans s'écraser
Devant des titres ou des défis , Papa, Merci
Tes mains ont oeuvré, pour tes soeurs ,France guerroyait
Tu les as toujours protégées de l ' ennemi des pouilleries
Remplissant ton rôle de frère ainé, à tes périls les ennuis
Mais tu n'en avais que faire, tu volais l'envahisseur, le charbon
Et le couvert, les hivers étaient rudes et leurs maris en prison
Les enfants devenaient tes impératifs d' adulte responsable
Tes mains usées de raboter la planche de bois , la transformer
J'ai hérité de ton courage, mais les miennes ont tourné des pages
Pour semer la santé chez des gens indécemment abandonnés
Papa, Merci , pour ton sourire , pour tes chansons et ta musique
Pour ton coeur de toujours vingt ans, pour cet Amour magnétique
Lui aussi tu me l'as prescrit, sans ordonnance ,que par tes gestes
Des exemples que je suis , tête baissée et pour moyens , ta finesse
Il parait que je te ressemble, Oui , comme deux gouttes d'eau ,
Qui coulent identiques quand elles roulent sur une joue,
De peines ou de liesse , des émotions à fleur de peau
Que notre fierté n'en tâche pas , Papa, aux yeux du monde, nue
Je me dévoile en t'écrivant, Toi , tu le sais, que je suis ton portrait
Tu étais homme d'exception ,une belle âme , si beau , si bon
Je te pense , avec toi en effusion , je te reçois , t'écoute parler
Papa, disparu, toi? ; jamais...////mais tu me manques en ces saisons
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