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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Fripouillet n'était pas tellement content de ce que le Pépère lui disait. Il ne faisait que de parler et il l'accusait de le retarder.
- Écoute mon papa, si nous allions à Sancoins, j'en ai marre d'être dans ce bois. En plus, il y a peut-être des monstres.
- Avec moi mon petit Fripouillet, tu ne crains rien.
- Oui, mais on ne sait jamais, des fois que...
- Regarde, alors quand penses-tu ?
Fripouillet n'avait pas eu le temps de finir sa phrase, car son père avait sorti le chatmsung du chat ventre et il lui montrait une photo.
- il est énorme qu'est-ce que c'est que ce monstre ?
- C'est un Fioulorex gigantus.
- Qu'est-ce que c'est que cette bestiole mon papa.
- Hé bien, c'est un t-rex génétiquement modifié qui vit dans les champs de puits de pétrole et il mange le sable ou la terre qui est polluée de pétrole. Il boit du gazole en général.
- Mais celui-là est mort, on dirait.
- Oui, Fripouillet, terrassé à coups de queue par ton père qui est en face de toi.
- Ha oui, quand même, mais c'était quand ?
- Hé bien, c'était, il y a un moment déjà, laisse moi te raconter ça en roulant.
Le Pépère sortit un casque et puis deux du top-case derrière le scooter.
- Voilà, met ce casque, il y a un micro et un récepteur. C'est plus pratique que le croupion micro émetteur, chat chat chat.
Grace à ces casques, je pourrais te parler en roulant.
Monte sur le porte-bagages et ouvre bien tes oreilles mon petit Fripouillet.
Le Pépère monta sur le scooter et guidon en patte parti avec son petit derrière lui.
- Ça va Fripouillet, tu es bien installé ?
- Oui, mon papa, très bien, alors l'histoire du monstre ?
- Oui, j'y viens, donc déjà pour situer la chose, c'était au même moment que Manu attrapait une oreillose et le pape une cheuveuose aiguë.
- Ha, mais qu'est-ce que c'est que ça encore.
- Hé bien, je t'expliquerai plus tard. C'est à cause des croquettes du commissariat. Ils les avaient confondues avec des amuse-gueules pour l'apéritif.
Donc j'étais parti chercher Lolo chez lui pour le ramener à Sancoins avec moi pour m'aider à porter des sacs de croquettes.
C'était après avoir terrassé le Fioulorex gigantus. Lolo eut la même réaction que toi et me disait quel monstre, que fait-il ici.
- Oui, que je répondis, je sais mon copain, c'est moi qui l'ai terrassé à coup de queue avant de passer te chercher.
Il était sidéré et voulait comme toi Fripouillet en savoir plus.
Je lui expliquais donc l'affaire pour qu'il la comprit.
Voilà, avant d'avoir été cherché Lolo, j'étais passé chez mon décorné du képi par des girafes d'Israël. À peine arrivé, je l'entendais râler, il parlait de rupture de stock chez Thauvin, j'en passe et des meilleurs.
Puis, il sortit de son gourbi et me vit et vint me voir. Il me demanda ce que je faisais et je ne préférais pas lui répondre qu'il s'occupa de sa vinasse et du monstre Android qu'il fabriquait à l'époque et que je savais renfermé dans son capharnaüm et attendant derrière la porte pour qu'on lui donna du métal à manger. Je répondis que j'allais à Sancoins et il me demandait de lui rendre un service.
Je me voyais déjà affublé du harnais pour aller récupérer love artichaut dans un fossé, tombé par là. Non pas du tout, il me répondit de passer au commissariat pour voir ma love maîtresse, pour qu'elle me ramenât les bonnes croquettes que soi-disant j'aimais, car il n'en avait plus du tout. Là encore, je préférais me taire que de lui répondre qu'il n'avait qu'à s'en faire un clafoutis de ses croquettes pourries.
En fait, Fripouillet, il te faut savoir qu'il dort avec le sac à côté de son lit et la nuit, il en mange à outrance.
- Ha bon mon papa, à ce point-là !
- Oui comme elles sont remplies de cocaïne ça compense le manque d'alcool, qu'est ce que tu veux, c'est un alcoolique.
Donc, je commençais à partir et pour me remercier, il lâchait le monstre, ou bien était-il passé au travers de la porte pour s'évader. Quoi qu'il en fut, je le terrassais à coup de moustache. Arrivé au commissariat, love képi n'était pas là, elle était partie chez Atac pour aller acheter de la villageoise. Je me disais Pépère ça sent le harnais.
Un gars vint à ce moment-là porter plainte contre un certain Ferry et je me disais, ça doit être l'inventeur des rails Ferry d'où le trafic ferryvière, bref. L'autre lui répondit, je ne sais pas écrire et le gars s'en allait en posant un caca devant la porte que l'on me fit nettoyer affublé d'un gilet orange de cantonnier, la honte.
Love vin arriva et me demandait ce que je venais faire ici.
Je ne préférais pas lui répondre, et toi, tu as retrouvé le chemin de la gendarmerie, bref. Elle me dit attend, j'appelle l'hôpital pour avoir des nouvelles d'Emmanuel pour son oreillose et savoir si le pape a pu faire une teinture pour éliminer ses cheveux violets.
Donc, elle appela l'hôpital et demanda à leur parler. Elle mit le haut-parleur et je reconnaissais leurs voix et leur disais bonjour. Ils me répondirent, salut Pépère comment vas-tu.
Là, le pauvre Manu, m'apprit qu'un œil lui poussait sur le front. C'était à cause des fameuses croquettes.
Elle raccrocha et se servit un verre de vin, le téléphone sonnait à nouveau. Elle mit le haut-parleur. C'était le directeur d'Intermarcher qui avait un problème avec un monstre à la station essence. Elle fit tomber son verre de vin et lui disant, je m'en fous et elle lui raccrochait au nez. Je partis donc voir avant de ramener les croquettes au soûlard. C'était bien le monstre que tu as vu sur la photo Fripouillet. La bestiole qui se nourrit de gazole et le salopard n'avait qu'une carte bleue expirée. Il s'était mis à racketter les automobilistes et je partis le voir. Le monstre alors m'attaquais et je le poursuivis jusqu'au centre-ville. Bien qu'il crachait du feu et envoyait des rayons laser avec ses yeux, je fis face au danger et je le terrassais à coup de queue voilà mon petit Fripouillet.


IMG_20210725_221112.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
Fripouillet n'était pas tellement content de ce que le Pépère lui disait. Il ne faisait que de parler et il l'accusait de le retarder.
- Écoute mon papa, si nous allions à Sancoins, j'en ai marre d'être dans ce bois. En plus, il y a peut-être des monstres.
- Avec moi mon petit Fripouillet, tu ne crains rien.
- Oui, mais on ne sait jamais, des fois que...
- Regarde, alors quand penses-tu ?
Fripouillet n'avait pas eu le temps de finir sa phrase, car son père avait sorti le chatmsung du chat ventre et il lui montrait une photo.
- il est énorme qu'est-ce que c'est que ce monstre ?
- C'est un Fioulorex gigantus.
- Qu'est-ce que c'est que cette bestiole mon papa.
- Hé bien, c'est un t-rex génétiquement modifié qui vit dans les champs de puits de pétrole et il mange le sable ou la terre qui est polluée de pétrole. Il boit du gazole en général.
- Mais celui-là est mort, on dirait.
- Oui, Fripouillet, terrassé à coups de queue par ton père qui est en face de toi.
- Ha oui, quand même, mais c'était quand ?
- Hé bien, c'était, il y a un moment déjà, laisse moi te raconter ça en roulant.
Le Pépère sortit un casque et puis deux du top-case derrière le scooter.
- Voilà, met ce casque, il y a un micro et un récepteur. C'est plus pratique que le croupion micro émetteur, chat chat chat.
Grace à ces casques, je pourrais te parler en roulant.
Monte sur le porte-bagages et ouvre bien tes oreilles mon petit Fripouillet.
Le Pépère monta sur le scooter et guidon en patte parti avec son petit derrière lui.
- Ça va Fripouillet, tu es bien installé ?
- Oui, mon papa, très bien, alors l'histoire du monstre ?
- Oui, j'y viens, donc déjà pour situer la chose, c'était au même moment que Manu attrapait une oreillose et le pape une cheuveuose aiguë.
- Ha, mais qu'est-ce que c'est que ça encore.
- Hé bien, je t'expliquerai plus tard. C'est à cause des croquettes du commissariat. Ils les avaient confondues avec des amuse-gueules pour l'apéritif.
Donc j'étais parti chercher Lolo chez lui pour le ramener à Sancoins avec moi pour m'aider à porter des sacs de croquettes.
C'était après avoir terrassé le Fioulorex gigantus. Lolo eut la même réaction que toi et me disait quel monstre, que fait-il ici.
- Oui, que je répondis, je sais mon copain, c'est moi qui l'ai terrassé à coup de queue avant de passer te chercher.
Il était sidéré et voulait comme toi Fripouillet en savoir plus.
Je lui expliquais donc l'affaire pour qu'il la comprit.
Voilà, avant d'avoir été cherché Lolo, j'étais passé chez mon décorné du képi par des girafes d'Israël. À peine arrivé, je l'entendais râler, il parlait de rupture de stock chez Thauvin, j'en passe et des meilleurs.
Puis, il sortit de son gourbi et me vit et vint me voir. Il me demanda ce que je faisais et je ne préférais pas lui répondre qu'il s'occupa de sa vinasse et du monstre Android qu'il fabriquait à l'époque et que je savais renfermé dans son capharnaüm et attendant derrière la porte pour qu'on lui donna du métal à manger. Je répondis que j'allais à Sancoins et il me demandait de lui rendre un service.
Je me voyais déjà affublé du harnais pour aller récupérer love artichaut dans un fossé, tombé par là. Non pas du tout, il me répondit de passer au commissariat pour voir ma love maîtresse, pour qu'elle me ramenât les bonnes croquettes que soi-disant j'aimais, car il n'en avait plus du tout. Là encore, je préférais me taire que de lui répondre qu'il n'avait qu'à s'en faire un clafoutis de ses croquettes pourries.
En fait, Fripouillet, il te faut savoir qu'il dort avec le sac à côté de son lit et la nuit, il en mange à outrance.
- Ha bon mon papa, à ce point-là !
- Oui comme elles sont remplies de cocaïne ça compense le manque d'alcool, qu'est ce que tu veux, c'est un alcoolique.
Donc, je commençais à partir et pour me remercier, il lâchait le monstre, ou bien était-il passé au travers de la porte pour s'évader. Quoi qu'il en fut, je le terrassais à coup de moustache. Arrivé au commissariat, love képi n'était pas là, elle était partie chez Atac pour aller acheter de la villageoise. Je me disais Pépère ça sent le harnais.
Un gars vint à ce moment-là porter plainte contre un certain Ferry et je me disais, ça doit être l'inventeur des rails Ferry d'où le trafic ferryvière, bref. L'autre lui répondit, je ne sais pas écrire et le gars s'en allait en posant un caca devant la porte que l'on me fit nettoyer affublé d'un gilet orange de cantonnier, la honte.
Love vin arriva et me demandait ce que je venais faire ici.
Je ne préférais pas lui répondre, et toi, tu as retrouvé le chemin de la gendarmerie, bref. Elle me dit attend, j'appelle l'hôpital pour avoir des nouvelles d'Emmanuel pour son oreillose et savoir si le pape a pu faire une teinture pour éliminer ses cheveux violets.
Donc, elle appela l'hôpital et demanda à leur parler. Elle mit le haut-parleur et je reconnaissais leurs voix et leur disais bonjour. Ils me répondirent, salut Pépère comment vas-tu.
Là, le pauvre Manu, m'apprit qu'un œil lui poussait sur le front. C'était à cause des fameuses croquettes.
Elle raccrocha et se servit un verre de vin, le téléphone sonnait à nouveau. Elle mit le haut-parleur. C'était le directeur d'Intermarcher qui avait un problème avec un monstre à la station essence. Elle fit tomber son verre de vin et lui disant, je m'en fous et elle lui raccrochait au nez. Je partis donc voir avant de ramener les croquettes au soûlard. C'était bien le monstre que tu as vu sur la photo Fripouillet. La bestiole qui se nourrit de gazole et le salopard n'avait qu'une carte bleue expirée. Il s'était mis à racketter les automobilistes et je partis le voir. Le monstre alors m'attaquais et je le poursuivis jusqu'au centre-ville. Bien qu'il crachait du feu et envoyait des rayons laser avec ses yeux, je fis face au danger et je le terrassais à coup de queue voilà mon petit Fripouillet.


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Ha ha ha super
Quel sacré Pépère
Amicalement
Gaby