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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le Pépère trop impatient de savoir ce qui se passait à la cabane en l'absence de surveillance concrète, disparut pour se téléporter vers la cabane.
Grâce à magie, le temps était arrêté pour ses amis.
Il savait par Toutblanc que de nouvelles victuailles avaient été achetées récemment.
Pépère qui avait disparu devant ses amis était se retrouva devant la cabane où venait de sortir le poète sur la plate-forme.
En face, les Américains étaient en train d'observer le ciel et finirent par abandonner leurs recherches.
Ils partirent dans leurs tentes. Le poète tenta un appel pour essayer de retrouver le Pépère qui ne faisait que de venir et disparaître.
- Gamin, tu es là, viens manger les bonnes croquettes. Mais que fait-il, c'est étrange ça. Puis ce chat blanc tout à l'heure, c'est sûrement lui qui m'a volé ma saucisse.
Pépère le regardant de derrière les arbres invisible à ses yeux et finit par répondre.
- Tu n'as pas fini de me surveiller figure de cul de bouteille mal peigné. Les croquettes de la mère gendarme qui a perdu sa drogue dedans, tu peux t'en faire des toasts pour l'apéritif espèce d'alcoolique.
Tu veux que je te dise ce que font les gaillards en face. Ils sont en train d'analyser les crottes de la bougresse pour savoir si tu ne l'as pas trop polluée avec tes saloperies chimiques.
Bon ce n'est pas tout ça pendant que certains descendent des fûts de vin d'autre sont en mission, salut poivrot, je vais retrouver mes copains à Nevers, chalut poivrot.
Mais au fait, c'est vrai ça, Toutblanc à volé une saucisse tout à l'heure.
Mais où est-elle ?
S'il l'a mangé, nous allons tous mourir de faim nous autres. Enfin, les autres peut-être pas, mais moi tout seul oui. Si je ne nourris pas mon intelligence, ça peut être dramatique.
Mais j'y pense, où est mon petit, Fripouillet.
Je vais aller voir ce qu'il fait chez lui, des fois qu'il est besoin des conseils de son père.
Le Pépère se dépêchait, bien qu'il avait arrêté le temps pour ses amis à Nevers.
La saucisse était quelque part là-bas et c'était très urgent pour Pépère.
Il trouva Fripouillet dans la rue qui était en train d'attendre.
- Hé bien, mon papa, tu es venu me chercher.
- Non Fripouillet, je venais voir ce que faisait mon Indien déplumé du cheveu des amygdales de l'orteil de la troisième main.
Écoute, Fripouillet, tu es invité au barbecue de ce soir.
Avant que je ne te récupère en revenant de Nevers, tu démarreras ta première mission officielle pour le gouvernement par l'intermédiaire de l'un de ses représentants ton père.
Et pour te remercier, tu auras en attendant ta médaille, un bon poulet ce soir, pour toi tout seul.
Et attention pas un poulet rachitique élever à la sciure d'ozone et bourré de nitrate de césium de chez l'horreur price vendu par Jean-Pierre Coffre dans le rôle du pseudo boucher.
Pas non plus une pâle copie de René de chez l'aïeul nourri à la purée de kérosène enrichie d'uranium irakien vendu par Cyrille Tic-tac tout fraîchement estampillé boucher de la reine du grattez moi-là.
Non, rien de tout ça mon enfant, un bon poulet de Mercure élevé en plein air et gracieusement offert par ma supère maman fée Chouânne.
Elle arrive avec sa soucoupe et m'a promis de m'en emmener.
D'ailleurs, elle est déjà là, mais en mission de surveillance, c'est top secret, tu comprends Fripouillet.
- Il est si bon que ça le poulet qu'à amené, Chouânne.
- Ce n'est pas pour dire, Fripouillet, mais, même au musée de la viande de Sancoins, qui pourtant expose les œuvres les plus prestigieuses, il ne pourrait y trouver sa place. Les autres icônes auraient une allure indécente à ses côtés, et même René se suiciderait de le voir si beau.
- Il y en a aussi chez ton maître dans la cabane ?
-Non, ce poulet est réservé à Pépère.
Mon pauvre Fripouillet, si tu comptes aller à la cabane pour manger du poulet, tu vas être déçu.
Le bougre qui est dans ce bouge te dira, vient là mon gentil minet, miam miam et tu repartiras avec la ficelle et un os pour t'en faire, un collier, un tour de cou ou bien un scoubidou, oublie cette idée mon pauvre Fripouillet.
Pire même, il serait capable de t'accuser d'une chose que tu n'aies faite et que tu te retrouves en chat prison pour rien, comme il me fut arrivé une fois, il y a un moment de ça.
Fripouillet était perplexe devant cette information que venait de lui révéler son père. Et si cette mission était un danger pour lui, qu'on l'accuse de chatspionage ou autre chose.
- Tu as failli aller en chat-prison à cause de ton maître ?
- Ce n'est pas rassurant. Tu es sûr que je ne crains rien dans ma mission de le surveiller ?
- Pourtant, il n'a pas l'air dangereux !
- Oui, Fripouillet, il n'y paraît pas, mais cela m'est arrivé à cause d'Hector le castor, mais ma love maîtresse m'a sauvé la mise.
Ne t'inquiète pas Fripouillet, c'était aussi à cause d'un poulet qu'il venait de manger. Là, il vient d'aller chercher des victuailles à Sancoins et le temps qu'il les finisse tu ne crains rien, en plus c'est silencieux, pas comme un poulet.
- Du moment que je ne craigne rien, mais pourquoi dis-tu qu'un poulet est moins silencieux ?
Et pourquoi Hector le castor t'aurais fait avoir des ennuis.
- Hé bien, laisse-moi te raconter cette aventure hors du commun.
Donc, déjà pour commencer, à l'époque, mon bouchon de champagne tricéphale pour bouteille saoudienne avait décidé de me faire couper du bois avec une tronçonneuse.
Autant vous dire que je passais de sales journées tronçonneuse en pattes et que cela me déclencha de violents rhumatismes à ma pauvre hanche malade.
Ce fut à cette même période qu'arrivait dans le bois Hector le castor. Mon soûlard le rencontra un jour derrière son capharnaüm. Ce fut ainsi qu'ils sympathisèrent. Puis ce fut la bête qui me remplaçait à la corvée de bois. Il sciait les bûches avec ses grandes dents. Il s'en servait aussi pour lui faire déboucher ses bouteilles et décapsuler ses canettes.
En échange, il lui préparait des tartes aux écorces de pin et à la sciure de bois. La bête était ravie malgré ses tâches journalières.
Autant, vous dit, qu'enfin, j'avais la paix. Oui, j'en avais un peu ma claque de la tronçonneuse en patte tous les jours.
Un jour, je me dis profitons de ma convalescence et allons nous promener dans le bois. Je pensais retrouver ma love maîtresse qui avait décidé d'aller y ramasser des champignons nucléaires.
Ce fut alors que je me promenais que je fus attaqué par surprise par Totore l'alligator. Love képi était juste à porté de moustaches et j'étais sur le point de périr.
La suite demain...

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GABY73

Maître Poète
#2
Le Pépère trop impatient de savoir ce qui se passait à la cabane en l'absence de surveillance concrète, disparut pour se téléporter vers la cabane.
Grâce à magie, le temps était arrêté pour ses amis.
Il savait par Toutblanc que de nouvelles victuailles avaient été achetées récemment.
Pépère qui avait disparu devant ses amis était se retrouva devant la cabane où venait de sortir le poète sur la plate-forme.
En face, les Américains étaient en train d'observer le ciel et finirent par abandonner leurs recherches.
Ils partirent dans leurs tentes. Le poète tenta un appel pour essayer de retrouver le Pépère qui ne faisait que de venir et disparaître.
- Gamin, tu es là, viens manger les bonnes croquettes. Mais que fait-il, c'est étrange ça. Puis ce chat blanc tout à l'heure, c'est sûrement lui qui m'a volé ma saucisse.
Pépère le regardant de derrière les arbres invisible à ses yeux et finit par répondre.
- Tu n'as pas fini de me surveiller figure de cul de bouteille mal peigné. Les croquettes de la mère gendarme qui a perdu sa drogue dedans, tu peux t'en faire des toasts pour l'apéritif espèce d'alcoolique.
Tu veux que je te dise ce que font les gaillards en face. Ils sont en train d'analyser les crottes de la bougresse pour savoir si tu ne l'as pas trop polluée avec tes saloperies chimiques.
Bon ce n'est pas tout ça pendant que certains descendent des fûts de vin d'autre sont en mission, salut poivrot, je vais retrouver mes copains à Nevers, chalut poivrot.
Mais au fait, c'est vrai ça, Toutblanc à volé une saucisse tout à l'heure.
Mais où est-elle ?
S'il l'a mangé, nous allons tous mourir de faim nous autres. Enfin, les autres peut-être pas, mais moi tout seul oui. Si je ne nourris pas mon intelligence, ça peut être dramatique.
Mais j'y pense, où est mon petit, Fripouillet.
Je vais aller voir ce qu'il fait chez lui, des fois qu'il est besoin des conseils de son père.
Le Pépère se dépêchait, bien qu'il avait arrêté le temps pour ses amis à Nevers.
La saucisse était quelque part là-bas et c'était très urgent pour Pépère.
Il trouva Fripouillet dans la rue qui était en train d'attendre.
- Hé bien, mon papa, tu es venu me chercher.
- Non Fripouillet, je venais voir ce que faisait mon Indien déplumé du cheveu des amygdales de l'orteil de la troisième main.
Écoute, Fripouillet, tu es invité au barbecue de ce soir.
Avant que je ne te récupère en revenant de Nevers, tu démarreras ta première mission officielle pour le gouvernement par l'intermédiaire de l'un de ses représentants ton père.
Et pour te remercier, tu auras en attendant ta médaille, un bon poulet ce soir, pour toi tout seul.
Et attention pas un poulet rachitique élever à la sciure d'ozone et bourré de nitrate de césium de chez l'horreur price vendu par Jean-Pierre Coffre dans le rôle du pseudo boucher.
Pas non plus une pâle copie de René de chez l'aïeul nourri à la purée de kérosène enrichie d'uranium irakien vendu par Cyrille Tic-tac tout fraîchement estampillé boucher de la reine du grattez moi-là.
Non, rien de tout ça mon enfant, un bon poulet de Mercure élevé en plein air et gracieusement offert par ma supère maman fée Chouânne.
Elle arrive avec sa soucoupe et m'a promis de m'en emmener.
D'ailleurs, elle est déjà là, mais en mission de surveillance, c'est top secret, tu comprends Fripouillet.
- Il est si bon que ça le poulet qu'à amené, Chouânne.
- Ce n'est pas pour dire, Fripouillet, mais, même au musée de la viande de Sancoins, qui pourtant expose les œuvres les plus prestigieuses, il ne pourrait y trouver sa place. Les autres icônes auraient une allure indécente à ses côtés, et même René se suiciderait de le voir si beau.
- Il y en a aussi chez ton maître dans la cabane ?
-Non, ce poulet est réservé à Pépère.
Mon pauvre Fripouillet, si tu comptes aller à la cabane pour manger du poulet, tu vas être déçu.
Le bougre qui est dans ce bouge te dira, vient là mon gentil minet, miam miam et tu repartiras avec la ficelle et un os pour t'en faire, un collier, un tour de cou ou bien un scoubidou, oublie cette idée mon pauvre Fripouillet.
Pire même, il serait capable de t'accuser d'une chose que tu n'aies faite et que tu te retrouves en chat prison pour rien, comme il me fut arrivé une fois, il y a un moment de ça.
Fripouillet était perplexe devant cette information que venait de lui révéler son père. Et si cette mission était un danger pour lui, qu'on l'accuse de chatspionage ou autre chose.
- Tu as failli aller en chat-prison à cause de ton maître ?
- Ce n'est pas rassurant. Tu es sûr que je ne crains rien dans ma mission de le surveiller ?
- Pourtant, il n'a pas l'air dangereux !
- Oui, Fripouillet, il n'y paraît pas, mais cela m'est arrivé à cause d'Hector le castor, mais ma love maîtresse m'a sauvé la mise.
Ne t'inquiète pas Fripouillet, c'était aussi à cause d'un poulet qu'il venait de manger. Là, il vient d'aller chercher des victuailles à Sancoins et le temps qu'il les finisse tu ne crains rien, en plus c'est silencieux, pas comme un poulet.
- Du moment que je ne craigne rien, mais pourquoi dis-tu qu'un poulet est moins silencieux ?
Et pourquoi Hector le castor t'aurais fait avoir des ennuis.
- Hé bien, laisse-moi te raconter cette aventure hors du commun.
Donc, déjà pour commencer, à l'époque, mon bouchon de champagne tricéphale pour bouteille saoudienne avait décidé de me faire couper du bois avec une tronçonneuse.
Autant vous dire que je passais de sales journées tronçonneuse en pattes et que cela me déclencha de violents rhumatismes à ma pauvre hanche malade.
Ce fut à cette même période qu'arrivait dans le bois Hector le castor. Mon soûlard le rencontra un jour derrière son capharnaüm. Ce fut ainsi qu'ils sympathisèrent. Puis ce fut la bête qui me remplaçait à la corvée de bois. Il sciait les bûches avec ses grandes dents. Il s'en servait aussi pour lui faire déboucher ses bouteilles et décapsuler ses canettes.
En échange, il lui préparait des tartes aux écorces de pin et à la sciure de bois. La bête était ravie malgré ses tâches journalières.
Autant, vous dit, qu'enfin, j'avais la paix. Oui, j'en avais un peu ma claque de la tronçonneuse en patte tous les jours.
Un jour, je me dis profitons de ma convalescence et allons nous promener dans le bois. Je pensais retrouver ma love maîtresse qui avait décidé d'aller y ramasser des champignons nucléaires.
Ce fut alors que je me promenais que je fus attaqué par surprise par Totore l'alligator. Love képi était juste à porté de moustaches et j'étais sur le point de périr.
La suite demain...

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HI hi comme vous dites
Sacré Pépère
Amicalement
Gaby