Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite.

#1
Suite d'hier.
Pépère étant arrivé à Nevers après sa chute de l'hélicoptère.
Le Pépère en face de Toutblanc qui était toujours aux commandes de l'appareil s'était relevé aussi vite qu'il avait pu.
Il était dégoulinant d'eau souillée. Il fit le tour et il se dépêcha de revenir vers l'appareil en crânant.
- Pépère chat policier, les pattes en l'air, qui a volé cet hélicoptère. Ça va Toutblanc ? Quant à moi, je vais mettre une heure à sécher, mais, ceci étant, j'ai parfaitement maîtrisé la situation.
- Hé bien mon copain, tu as une odeur épouvantable sur toi.
- Oui, Pépère, tu n'aurais pas dû faire cette cascade.
- Oui, cela t'aurait évité de rouler sur le trottoir.
- Et de finir dans les eaux usées, chat chat chat.
- Oui Pépère et de traîner cette vilaine odeur.
- Ce n'est rien Toutblanc , je demeure propre malgré tout et je n'ai pas perdu mon prestige.
- Dis-moi, Pépère où vont ces eaux usées.
- Elles finissent à la rivière, Toutblanc.
- Ça fait de la pollution, c'est grave quand même.
- Tu sais mon copain, c'est arrivé à Mornay, nous avons eu une pollution alcoolique de la rivière.
- Comment cela est-il possible ?
- Hé bien, Mimine, c'est à cause d'une idée de ma love maîtresse que j'aime.
- Ha, bon, elle a jeté des produits dans la rivière ?
- Non Toutblanc, c'est un peu plus complexe que ça, c'est aussi à cause de mon varicelleux spasmophile de la rotule de l'oreille du nez.
- Ton histoire semble incroyable, Pépère, est-ce vrai, néanmoins !
- C'est la vérité vraie réelle pas fausse avérée vraie par l'huissier de la vérité pas fausse qui n'est pas un faux mensonge pas vrai.
Voilà comment ceci commençait.
Love messe arrive un après-midi et elle était toute contente se disant en vacances. Elle me regarda et s'exclama, Pépère, je vais boire une bière, aujourd'hui, c'est repos.
Je t'accompagne, s'était empressé de rajouter mon spéléologue de bouteilles à champagne chinois fait en Sibérie par des perroquets unijambiste.
Ce à quoi je lui répondis. Ça ne changera pas grand-chose ivrogne, tu en bois des baignoires par jour, alors une de plus ou de moins.
Elle disait à mon soûlard, de se préparer sur ses termes.
Prends un léger encas et de quoi boire, pas grand-chose, juste une dizaine de litres. Nous allons nous baigner à la rivière.
Elle me regardait en disant, Pépère cela te ferait du bien aussi. Ce à quoi je répondis, tant que tu y es dit que Pépère est sale, occupe toi de ta bouteille et lâche moi les moustaches. Puis, ils disparurent à la rivière et je me disais, Pépère prépare le harnais au cas où ton brontosaure édenté coucherait la voiture dans le fossé, en rentrant. Je ne fus pas embêté par la suite. Par contre le lendemain, nous avions une épidémie de soûlographie chronique collective sans que personne n'en trouve la cause. En fait, c'était à cause d'eux qui s'étaient baigné la veille voilà les amis.
- C'est incompréhensible, tu as saisi la chute, toi, Mimine.
- Pas plus que toi mon pauvre Toutblanc. Ton histoire est incompréhensible, Pépère.
Qu'est-ce qui te fait dire que c'était de leur faute.
- Oui, Pépère quel rapport entre une alcoolisation collective et une baignade à la rivière.
- Hé bien voilà, Toutblanc, la veille, elle avait mangé des courgettes nucléaires de mon père, uranium premier et ces courgettes-là font transpirer abondamment. Lui, il avait mangé une tourte aux raisins et alcoolisé au rhum à soixante-dix degrés. Quand, ils se sont baignés, ils ont encore picolé dix litres de vinasse et en suant dans l'eau, ils ont alcoolisé la rivière. Comme l'eau du village est puisée à cet endroit, tout le village, c'est retrouvé en état d'alcoolémie, voilà mes copains.
En face de la gare, Chatdore, Un-œil et Saturne attendaient toujours Pépère.
Le soleil se couvrit et Un-œil s'écria, ils ne vont pas nous voler le soleil aujourd'hui tout de même.
Saturne le regardait et s'empressa de rajouter ;
- C'est déjà arrivé et j'ai résolu le problème. D'ailleurs, je vais être décoré pour ça.
- Ha, bon, tu n'en as jamais parlé.
- Hé bien, Chatdore, écoute cette histoire en attendant Pépère qui n'arrive toujours pas.
Cela a commença au-dessus d'une ville américaine. Maple street, qui est d'ailleurs une marque de gâteaux inventés par mon frérot, pour l'anecdote. Donc, un matin, cette ville s'était vue plongée dans le noir. Cela était inquiétant et personne ne savait ce qui se passait. Puis progressivement, il fit de plus en plus noir et cela se mit à durer plusieurs semaines avant de s'agrandir à la ville voisine. Au bout d'un an, la zone couvrait des milliers de kilomètres carré. Quelque temps plus tard, je croisais dans un couloir de la régie en allant voir l'émission toutes griffes dehors d'Isidore, un scientifique qui était parti faire une émission sur le sujet.
Il me dit, mais vous êtes le frère du célèbre Pépère, le premier chat policier de France.
Oui, que je lui réponds, je suis Saturne et nous commencions à parler. Il m'apprit cet événement tenu secret de peur d'effrayer la planète. Chacun pensait à un événement extraterrestre. Ce fut comme ça que j'étais missionné pour enquêter sur ce phénomène. Je partis dans l'espace avec une fusée que Pépère avait récupérée à la NASA, elle était en panne et au rebut et il l'avait réparée. Arrivé dans l'espace, je trouvais la cause. Un énorme astéroïde était devant le soleil totalement immobile en train de prendre un bain de soleil. Ses copains astéroïdes venaient à côté de lui et quand j'arrivais là-haut, ils étaient déjà des centaines. Avec Pépère, le temps de trouver une solution, nous avions installé dans l'univers des miroirs pour renvoyer les rayons de soleil sur Mapple Street et ainsi sauver cette ville où il faisait déjà, moins soixante-dix degrés en dessous de zéro. Ensuite, nous fabriquions un filet avec Pépère et capturions les astéroïdes pour les emmener devant un autre soleil. Voilà Chatdore, pourquoi je vais être décoré.
- Hé bien mon copain, c'est un joli sauvetage, tu l'as mérité cette médaille.
IMG_20210701_101536.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
Suite d'hier.
Pépère étant arrivé à Nevers après sa chute de l'hélicoptère.
Le Pépère en face de Toutblanc qui était toujours aux commandes de l'appareil s'était relevé aussi vite qu'il avait pu.
Il était dégoulinant d'eau souillée. Il fit le tour et il se dépêcha de revenir vers l'appareil en crânant.
- Pépère chat policier, les pattes en l'air, qui a volé cet hélicoptère. Ça va Toutblanc ? Quant à moi, je vais mettre une heure à sécher, mais, ceci étant, j'ai parfaitement maîtrisé la situation.
- Hé bien mon copain, tu as une odeur épouvantable sur toi.
- Oui, Pépère, tu n'aurais pas dû faire cette cascade.
- Oui, cela t'aurait évité de rouler sur le trottoir.
- Et de finir dans les eaux usées, chat chat chat.
- Oui Pépère et de traîner cette vilaine odeur.
- Ce n'est rien Toutblanc , je demeure propre malgré tout et je n'ai pas perdu mon prestige.
- Dis-moi, Pépère où vont ces eaux usées.
- Elles finissent à la rivière, Toutblanc.
- Ça fait de la pollution, c'est grave quand même.
- Tu sais mon copain, c'est arrivé à Mornay, nous avons eu une pollution alcoolique de la rivière.
- Comment cela est-il possible ?
- Hé bien, Mimine, c'est à cause d'une idée de ma love maîtresse que j'aime.
- Ha, bon, elle a jeté des produits dans la rivière ?
- Non Toutblanc, c'est un peu plus complexe que ça, c'est aussi à cause de mon varicelleux spasmophile de la rotule de l'oreille du nez.
- Ton histoire semble incroyable, Pépère, est-ce vrai, néanmoins !
- C'est la vérité vraie réelle pas fausse avérée vraie par l'huissier de la vérité pas fausse qui n'est pas un faux mensonge pas vrai.
Voilà comment ceci commençait.
Love messe arrive un après-midi et elle était toute contente se disant en vacances. Elle me regarda et s'exclama, Pépère, je vais boire une bière, aujourd'hui, c'est repos.
Je t'accompagne, s'était empressé de rajouter mon spéléologue de bouteilles à champagne chinois fait en Sibérie par des perroquets unijambiste.
Ce à quoi je lui répondis. Ça ne changera pas grand-chose ivrogne, tu en bois des baignoires par jour, alors une de plus ou de moins.
Elle disait à mon soûlard, de se préparer sur ses termes.
Prends un léger encas et de quoi boire, pas grand-chose, juste une dizaine de litres. Nous allons nous baigner à la rivière.
Elle me regardait en disant, Pépère cela te ferait du bien aussi. Ce à quoi je répondis, tant que tu y es dit que Pépère est sale, occupe toi de ta bouteille et lâche moi les moustaches. Puis, ils disparurent à la rivière et je me disais, Pépère prépare le harnais au cas où ton brontosaure édenté coucherait la voiture dans le fossé, en rentrant. Je ne fus pas embêté par la suite. Par contre le lendemain, nous avions une épidémie de soûlographie chronique collective sans que personne n'en trouve la cause. En fait, c'était à cause d'eux qui s'étaient baigné la veille voilà les amis.
- C'est incompréhensible, tu as saisi la chute, toi, Mimine.
- Pas plus que toi mon pauvre Toutblanc. Ton histoire est incompréhensible, Pépère.
Qu'est-ce qui te fait dire que c'était de leur faute.
- Oui, Pépère quel rapport entre une alcoolisation collective et une baignade à la rivière.
- Hé bien voilà, Toutblanc, la veille, elle avait mangé des courgettes nucléaires de mon père, uranium premier et ces courgettes-là font transpirer abondamment. Lui, il avait mangé une tourte aux raisins et alcoolisé au rhum à soixante-dix degrés. Quand, ils se sont baignés, ils ont encore picolé dix litres de vinasse et en suant dans l'eau, ils ont alcoolisé la rivière. Comme l'eau du village est puisée à cet endroit, tout le village, c'est retrouvé en état d'alcoolémie, voilà mes copains.
En face de la gare, Chatdore, Un-œil et Saturne attendaient toujours Pépère.
Le soleil se couvrit et Un-œil s'écria, ils ne vont pas nous voler le soleil aujourd'hui tout de même.
Saturne le regardait et s'empressa de rajouter ;
- C'est déjà arrivé et j'ai résolu le problème. D'ailleurs, je vais être décoré pour ça.
- Ha, bon, tu n'en as jamais parlé.
- Hé bien, Chatdore, écoute cette histoire en attendant Pépère qui n'arrive toujours pas.
Cela a commença au-dessus d'une ville américaine. Maple street, qui est d'ailleurs une marque de gâteaux inventés par mon frérot, pour l'anecdote. Donc, un matin, cette ville s'était vue plongée dans le noir. Cela était inquiétant et personne ne savait ce qui se passait. Puis progressivement, il fit de plus en plus noir et cela se mit à durer plusieurs semaines avant de s'agrandir à la ville voisine. Au bout d'un an, la zone couvrait des milliers de kilomètres carré. Quelque temps plus tard, je croisais dans un couloir de la régie en allant voir l'émission toutes griffes dehors d'Isidore, un scientifique qui était parti faire une émission sur le sujet.
Il me dit, mais vous êtes le frère du célèbre Pépère, le premier chat policier de France.
Oui, que je lui réponds, je suis Saturne et nous commencions à parler. Il m'apprit cet événement tenu secret de peur d'effrayer la planète. Chacun pensait à un événement extraterrestre. Ce fut comme ça que j'étais missionné pour enquêter sur ce phénomène. Je partis dans l'espace avec une fusée que Pépère avait récupérée à la NASA, elle était en panne et au rebut et il l'avait réparée. Arrivé dans l'espace, je trouvais la cause. Un énorme astéroïde était devant le soleil totalement immobile en train de prendre un bain de soleil. Ses copains astéroïdes venaient à côté de lui et quand j'arrivais là-haut, ils étaient déjà des centaines. Avec Pépère, le temps de trouver une solution, nous avions installé dans l'univers des miroirs pour renvoyer les rayons de soleil sur Mapple Street et ainsi sauver cette ville où il faisait déjà, moins soixante-dix degrés en dessous de zéro. Ensuite, nous fabriquions un filet avec Pépère et capturions les astéroïdes pour les emmener devant un autre soleil. Voilà Chatdore, pourquoi je vais être décoré.
- Hé bien mon copain, c'est un joli sauvetage, tu l'as mérité cette médaille.
Afficher la pièce jointe 34204
Haha j'en ris encore
Gaby