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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Pépère continuait de fouiller le téléphone, mais aucun message ne parlait de ses saucissons.
- Hé bien, ça, c'est vraiment exceptionnel, il nous faudrait fêter ça d'un délicieux poulet nous autres, aucun message à Armand le croissant où Pauline la chocolatine.
Alors qu'est-ce que je pourrais bien envoyer comme message à love cerise.
Que j'ai délivré bec en zinc d'un, oups, non, je suis bec en zinc et je dois dire que Pépère m'a sauvé la vie.
Laissons tomber ça pour le moment Turbo arrive derrière moi.
Si un message, alors, qu'est-ce que je pourrais lui dire.
Je t'aime ma love maîtresse, j'attends tes bisous sur mes grosses joues, ps, à-jeun s'il te plaît, chat chat chat.
- Pépère, que fais-tu ici à découvert.
- Chalut Turbo, ne t'inquiète pas, je nous rends invisibles nous autres.
Tu vois le ventre sur patte qui arrive à sa cabane, tu vas courir derrière lui et faire comme si tu avais faim. Comme ça, il te donnera des croquettes devant le gourbi et tu pourras l'espionner.
Tu vas me rapporter tout ce qu'il fait. Normalement, il va ressortir pour chercher ça.
- Quoi donc, que va-t-il chercher ?
- Ce téléphone que j'ai en patte, il l'a perdu. Fais gaffe, il est bourré, il pourrait te tomber dessus. C'est comme ça qu'il a perdu son téléphone, en tombant par terre.
Turbo exécuta les ordres de Pépère et partit en courant derrière le poète.
L'homme vit arriver Turbo. Selon les ordres de Pépère, il tournait en rond dans les jambes de l'homme qui arrivait sur la plate-forme devant le chalet.
- Qui es-tu toi, mais tu as l'air d'être affamé, attends joli chat, je vais te donner des croquettes, nabon les croquettes, miam-miam.
Turbo le regardait d'un drôle d'air et repensait à ce que disait le Pépère.
- Mais Pépère avait raison, s'il dit miam miam, c'est qu'il sait le goût qu'elles ont et il doit les manger.
Pendant que l'homme le servait, le Pépère s'était caché derrière la voiture dans l'allée pour voir ce qui se passait.
- Pousse toi gentit chat, tu es un petit pot de colle visiblement, comme les autres, tu vas me faire tomber, pousse toi !
- Pépère avait raison méfions nous, qu'il ne nous tombe pas dessus nous autres.
Splash, bing, boom, badaboom...
Pépère se penchait de derrière la voiture et vit toute la scène.
- C'est malin, tu m'as fait tomber avec ma tasse de café que je viens de faire.
- Chat t'apprendra à ne pas être bourré, chat chat chat chat chat chat...
- Cela te fait rire, Pépère !
- Oui, soûlard, je suis plié en deux à en perdre mes moustaches. Écrit plutôt tu n'es pas sensé savoir que je t'observe et que je rie.
- Si, car j'entends le clavier rigoler au fur et à mesure que j'écris l'histoire.
- Hé bien, tu dois en tenir une bonne.
Je m'en vais terrasser un monstre et qu'est-ce que je vois en revenant d'où je suis, c'est la foire d'empoigne devant ton gourbi. Ça se voit que je ne suis plus là pour passer le balai, c'est honteux, il y a des croquettes partout.
Bon, une mise au point, s'impose, je pense à ce moment de l'histoire.
- Je suis tombé à cause de ce gentil chat noir, je t'assure, Pépère, et j'ai renversé la gamelle de croquettes.
- Mais oui, bien sûr, nous ne sommes pas dupes nous autres. Tu es complètement bourré, oui, et ta pseudo-tasse de café, nous savons bien ce qu'il y a dedans. Oui, nous sachons la veritude nous autres...
Chat chat chat chat chat chat chat, oui du café, mais un dé à coudre pour une tasse complète de rhum.
Au fait, je ne vois plus ma chatlauréane, qu'est-ce que tu en as fait. Je te préviens, tu as intérêt à me le retrouver. J'appelle le harnais immédiatement, oui, ne fais pas le malin.
- Mais, Pépère, je t'assure, tout est normal ici.
- Tais-toi, tu racontes n'importe quoi, demande à la fée Choûanne et tu verras que Pépère sait tout ce que tu fais par ses rapports. Tu pensais que c'était la fête et que tu allais dilapider mes saucissons sans que Pépère ne dise rien.
- Quels saucissons de quoi parles-tu ?
- Mes saucissons, que love colis, m'avait envoyé pour me remercier de l'avoir sauvé d'un boa.
Tu me prends pour une quiche, dans la poubelle, il y a des emballages de saucissons et la facture du musée de la viande, tu pensais que j'allais croire que c'étaient des feuillets pour étiquettes de vin.
- Mais non Pépère, je t'assure, tu imagines des choses.
-Oui, oui, c'est comme quand je suis parti deux jours au paradis l'an dernier qu'as, tu fais ?
- Rien, je t'ai rendu hommage.
- Oui, ça, je sais, mais tu comptais faire éditer mes poèmes et toucher le magot, car ceux-ci valent une fortune. Puis mon hélicoptère, ma voiture, ma chatlauréane, mon scooter et ma propre histoire écrite de ma patte était aussi un joli pactole non.
Voilà le résultat, maintenant, tu manges mes saucissons.
- Bon, Pépère, laisse moi écrire, d'abord, je suis parfaitement à-jeun contrairement à tes élucubrations.
- Bien sûr c'est pour ça que ce matin, tu t'es dit, et si je me tartinais les rotules à grands coups de pelle à billes pour aveugle et c'est pour ça que tu es par terre à présent.
En plus, les lecteurs ne sont pas dupes, hier encore.


Hier encore, j'étais à jeun
Je n'buvais pas de vin
Et je vivais ma vie
Faisant d'la poésie
Avec désinvolture
Mangeant d'la confiture
Sans pouvoir m'arrêter
De toute la tartiner,
Mais mes amours sont morts
Et j'ai changé d'essor
Et j'me turbine le groin
En picolant du vin
Et en mangeant des saucissons
Qui étaient dans un carton
Posté par love colis
Pour pouvoir me dire merci...


Chat chat chat chat chat chat chat, excuse moi, je me suis pris pour Chatznavour...


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GABY73

Maître Poète
#2
Pépère continuait de fouiller le téléphone, mais aucun message ne parlait de ses saucissons.
- Hé bien, ça, c'est vraiment exceptionnel, il nous faudrait fêter ça d'un délicieux poulet nous autres, aucun message à Armand le croissant où Pauline la chocolatine.
Alors qu'est-ce que je pourrais bien envoyer comme message à love cerise.
Que j'ai délivré bec en zinc d'un, oups, non, je suis bec en zinc et je dois dire que Pépère m'a sauvé la vie.
Laissons tomber ça pour le moment Turbo arrive derrière moi.
Si un message, alors, qu'est-ce que je pourrais lui dire.
Je t'aime ma love maîtresse, j'attends tes bisous sur mes grosses joues, ps, à-jeun s'il te plaît, chat chat chat.
- Pépère, que fais-tu ici à découvert.
- Chalut Turbo, ne t'inquiète pas, je nous rends invisibles nous autres.
Tu vois le ventre sur patte qui arrive à sa cabane, tu vas courir derrière lui et faire comme si tu avais faim. Comme ça, il te donnera des croquettes devant le gourbi et tu pourras l'espionner.
Tu vas me rapporter tout ce qu'il fait. Normalement, il va ressortir pour chercher ça.
- Quoi donc, que va-t-il chercher ?
- Ce téléphone que j'ai en patte, il l'a perdu. Fais gaffe, il est bourré, il pourrait te tomber dessus. C'est comme ça qu'il a perdu son téléphone, en tombant par terre.
Turbo exécuta les ordres de Pépère et partit en courant derrière le poète.
L'homme vit arriver Turbo. Selon les ordres de Pépère, il tournait en rond dans les jambes de l'homme qui arrivait sur la plate-forme devant le chalet.
- Qui es-tu toi, mais tu as l'air d'être affamé, attends joli chat, je vais te donner des croquettes, nabon les croquettes, miam-miam.
Turbo le regardait d'un drôle d'air et repensait à ce que disait le Pépère.
- Mais Pépère avait raison, s'il dit miam miam, c'est qu'il sait le goût qu'elles ont et il doit les manger.
Pendant que l'homme le servait, le Pépère s'était caché derrière la voiture dans l'allée pour voir ce qui se passait.
- Pousse toi gentit chat, tu es un petit pot de colle visiblement, comme les autres, tu vas me faire tomber, pousse toi !
- Pépère avait raison méfions nous, qu'il ne nous tombe pas dessus nous autres.
Splash, bing, boom, badaboom...
Pépère se penchait de derrière la voiture et vit toute la scène.
- C'est malin, tu m'as fait tomber avec ma tasse de café que je viens de faire.
- Chat t'apprendra à ne pas être bourré, chat chat chat chat chat chat...
- Cela te fait rire, Pépère !
- Oui, soûlard, je suis plié en deux à en perdre mes moustaches. Écrit plutôt tu n'es pas sensé savoir que je t'observe et que je rie.
- Si, car j'entends le clavier rigoler au fur et à mesure que j'écris l'histoire.
- Hé bien, tu dois en tenir une bonne.
Je m'en vais terrasser un monstre et qu'est-ce que je vois en revenant d'où je suis, c'est la foire d'empoigne devant ton gourbi. Ça se voit que je ne suis plus là pour passer le balai, c'est honteux, il y a des croquettes partout.
Bon, une mise au point, s'impose, je pense à ce moment de l'histoire.
- Je suis tombé à cause de ce gentil chat noir, je t'assure, Pépère, et j'ai renversé la gamelle de croquettes.
- Mais oui, bien sûr, nous ne sommes pas dupes nous autres. Tu es complètement bourré, oui, et ta pseudo-tasse de café, nous savons bien ce qu'il y a dedans. Oui, nous sachons la veritude nous autres...
Chat chat chat chat chat chat chat, oui du café, mais un dé à coudre pour une tasse complète de rhum.
Au fait, je ne vois plus ma chatlauréane, qu'est-ce que tu en as fait. Je te préviens, tu as intérêt à me le retrouver. J'appelle le harnais immédiatement, oui, ne fais pas le malin.
- Mais, Pépère, je t'assure, tout est normal ici.
- Tais-toi, tu racontes n'importe quoi, demande à la fée Choûanne et tu verras que Pépère sait tout ce que tu fais par ses rapports. Tu pensais que c'était la fête et que tu allais dilapider mes saucissons sans que Pépère ne dise rien.
- Quels saucissons de quoi parles-tu ?
- Mes saucissons, que love colis, m'avait envoyé pour me remercier de l'avoir sauvé d'un boa.
Tu me prends pour une quiche, dans la poubelle, il y a des emballages de saucissons et la facture du musée de la viande, tu pensais que j'allais croire que c'étaient des feuillets pour étiquettes de vin.
- Mais non Pépère, je t'assure, tu imagines des choses.
-Oui, oui, c'est comme quand je suis parti deux jours au paradis l'an dernier qu'as, tu fais ?
- Rien, je t'ai rendu hommage.
- Oui, ça, je sais, mais tu comptais faire éditer mes poèmes et toucher le magot, car ceux-ci valent une fortune. Puis mon hélicoptère, ma voiture, ma chatlauréane, mon scooter et ma propre histoire écrite de ma patte était aussi un joli pactole non.
Voilà le résultat, maintenant, tu manges mes saucissons.
- Bon, Pépère, laisse moi écrire, d'abord, je suis parfaitement à-jeun contrairement à tes élucubrations.
- Bien sûr c'est pour ça que ce matin, tu t'es dit, et si je me tartinais les rotules à grands coups de pelle à billes pour aveugle et c'est pour ça que tu es par terre à présent.
En plus, les lecteurs ne sont pas dupes, hier encore.


Hier encore, j'étais à jeun
Je n'buvais pas de vin
Et je vivais ma vie
Faisant d'la poésie
Avec désinvolture
Mangeant d'la confiture
Sans pouvoir m'arrêter
De toute la tartiner,
Mais mes amours sont morts
Et j'ai changé d'essor
Et j'me turbine le groin
En picolant du vin
Et en mangeant des saucissons
Qui étaient dans un carton
Posté par love colis
Pour pouvoir me dire merci...


Chat chat chat chat chat chat chat, excuse moi, je me suis pris pour Chatznavour...


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Pépère court toujours après ses saucissons hahaha
Amicalement et bonne fin d'après midi
Gaby