Devant la cabane de chasseur, le général contemplait l'œuvre de sœur Mathilde avec admiration.
Derrière lui, le Belge et le ministre ne voyaient pas trop ce qui se passait à l'intérieur.
- Nous aimerions bien savoir ce que c'est, une fois.
- Rassurez vous Monsieur le Belge, ce n'est que sœur Mathilde qui visiblement a neutralisé les bandits.
- Au nom du bouton rouge, sœur Mathilde, je vous décore de la médaille internationale du courage, en présence du président et de son ministre.
- Cocorico, mais où est-il le président, cocorico, il a disparu.
- Ha, c'est bien vrai ça, puis Pépère, mais est-il et son frère, non d'une frite, ils ont dû être kidnappés par le bandit qui n'est pas là. Je sais compter quand même et maintenant, j'en vois trois sur quatre.
Le Belge qui s'était penché en avant avait bien vu qu'il manquait une personne. La sœur sortie avec le pape qu'elle venait de libérer et le général intima aux autres de se taire, sur un ton très autoritaire.
- Dites moi ma sœur, comment avez vous fait pour les mettre dans cet état, il nous faut du renfort pour les rapatrier vers la brigade.
- Écoutez moi général, c'est avec cet appareil que je les ai cramées, lol.
- Oui, on se demande ce qu'elle fait avec un tel engin dans son sac la vieille guenon du Guatemala.
- Ho oui, je vois ce que c'est détention d'armes prohibée, je pourrais vous coller dix jours de bouton rouge pour ça.
Après concertation, il fut décidé d'attacher les bandits pour qu'ils ne s'échappent pas. Le problème étant que les liens n'étaient pas à disposition. Après avoir fouillé à eux tous fouillé la cabane, il ne fut découvert aucune ficelle ou corde.
- J'ai une idée mon général, nous n'avons qu'à prendre le bas de l'aube du vieux zèbre irlandais, il portera le kilt et puis c'est tout.
- Tu es gonflé la vieille et si j'attaque une pneumonie des genoux, comment je vais faire.
- Écoutez, c'est un ordre monsieur le souverain pontife, vous passerez un pantalon une fois revenu vers le camping-car.
C'est ainsi que le pauvre pape se fit dépouiller du bas de son aube.
Les bandits furent solidement attaché et la porte refermée. C'est en écoutant, les célèbres, on ne lâche rien ah où ah où,ah où, que les autres comprirent que les malfrats revenaient à eux. Le but maintenant était de retrouver le président, Pépère et Saturne qui demeuraient absent depuis déjà un long moment.
Le Pépère errait toujours au fond du bois avec Saturne et le président. Il devait se concentrer régulièrement sur le bord de la nationale où il avait arrêté le temps. Malheureusement à trop penser à manger il n'y avait plus fait attention.
C'est comme ça que celui-ci repris son cours et que les occupants de la camionnette de gendarmerie se retrouvèrent au moment où celui-ci fut arrêté avant qu'il n'avance d'une vingtaine de minutes. Personne ne se rendit compte de l'arrêt du cours du temps et le gendarme qui conduisait finissait de garer la Dacia derrière le scooter.
Derrière eux, François était toujours en train de jouer avec son enceinte Bluetooth et changea enfin de morceau.
- C'est lundi, ho ho dans mon lit, mal dormi, ho ho.
- C'est vrai quoi, je ne dors pas la nuit, je regarde des films. Le cavalier sans tête, oui, il est dans ce bois.
Ragoût lui restait silencieux et l'un des gendarmes s'énervait.
- Hé, le clown, tu vas couper ton bazar sinon, c'est moi qui vais faire le cavalier et c'est sur ta tête que va finir le Bluetooth.
C'est alors que Ragoût eut dans les fondements de sa malheureuse petite cervelle, une idée pour s'échapper. Il comptait assommer les gendarmes avec l'enceinte neutraliser François et s'enfuir avec le scooter vers Sancoins pour rejoindre le cochon jaune.
- À oui, vous êtes le cavalier, mais alors François, c'était vrai, vous m'embêter je vais rappeler Adélaïde, et puis boire un... Ha qu'est que c'...
Le pauvre François n'eut pas le temps de réagir qu'il venait de recevoir un coup-de-poing sur la nuque et tomba en avant en échappant l'enceinte que Ragoût rattrapa. La scène fut très rapide et le pauvre agent qui était devant et qui venait de se retourner n'eut pas le temps de voir arriver l'enceinte sur son front. Il se retrouva inanimé et tomba sur le siège. Le conducteur ne pouvait pas lâcher le volant, car il finissait sa manœuvre. Ragoût en profita pour lui arracher le taser qu'il portait à la ceinture. Le pauvre homme se gara en urgence et le temps de dégainer son arme, il se retrouva électrocuté par le taser.
- On ne lâche rien, ah où ah où, ah où ah où, à moi la liberté, tien le fou cadeau de Ragoût.
Il donna un coup de taser dans le genou de François qui se retrouva de nouveau inanimé alors qu'il revenait à lui.
Ragoût sortit du véhicule et monta sur le scooter.
- Alors pas d'affolement, comment marche cet engin. J'ai un peu de temps les autres sont dans le bois.
Le long de la mare, Pêcheur était quand même étonné que Chatdore fut le premier coéquipier de Pépère.
Coin-coin arrivait de sa promenade avec Dranac au même moment.
- Toc toc toc, je croyais que c'était Lolo son premier coéquipier, toc toc toc.
- Non, c'est moi, d'ailleurs, il arrive avec Sybage et Bibou, tu pourras lui demander.
- Fle fle fle, mais comment l'as tu connus, Pépère. Fle fle fle, moi ma love gendarme, je l'ai connu ici quand elle venait donner à manger aux petites pattes. Depuis, je la love beaucoup, et ma canard love, c'est Dranac.
- Je l'ai déjà raconté comment on s'est connu, chat chat chat.
- Fle fle fle fle, oui, mais moi, je ne connais pas l'histoire, fle fle fle fle.
- Hé bien, c'est simple, Dranac, c'est en Irak que je l'ai rencontré. Je menais une enquête parallèle sur son poivrot. Il était là-bas pour réceptionner des missiles nucléaires qui venaient de Russie. Pour l'accompagner sa comparse, s'était déguisée en marchande de sable mouvant.
- Marchande de sable mouvant, fle fle fle fle, qu'est que c'est que ça ?
Rétorqua Dranac étonnée.
- Hé bien, c'est du sable très fin que l'on dispose sur l'autre sable et il devient un aspirateur à humain. C'est comme ça que sont soûlard arrivait à semer ses poursuivants dans le désert. Ses complices posaient une pellicule de sable mouvant sur la route et l'armée Irakienne disparaissait dans la route, totalement engloutie. C'est lors d'un dîner avec un émir, organisé par Nicolas Sarkozy qui était le boss de la France à l'époque que j'ai rencontré Pépère et nous sommes devenus coéquipiers, après que je l'ai eu sauvé d'un attentat criminel.
Voilà maintenant, tu sais comment l'on s'est connu.
Et Pépère pendant ce temps-là, fanfaronnait devant Saturne et le président avec ses Nike qui avaient des leds dans les semelles. Il chantait pour oublier l'angoisse qui le tenait d'avoir oublié de penser à l'arrêt du temps le long de la route.
Il s'était un peu repéré et faisant semblant d'être perdu ramena le groupe vers la nationale pour voir ce qu'il s'y passait.
- Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat chat chat où t'es...
- Tu es aussi fort en chanson qu'en déguisement, dit donc min frérot.
- Oui, Pépère, mais cela ne nous dis pas où sont les autres et où nous sommes, ha, j'aperçois le camping-car, nous sommes revenus d'où nous sommes partis.
- Oui, mon frérot, je suis Pépère, j'suis une affaire, des chat comme moi, il y en a guère qu'ait vu l'Irak et fait la guerre.
Oui, pour les déguisements, j'assure à fond. Une fois, je me suis déguisé en sapin pour observer ma salade ukrainienne à la sauce tomate saoudienne. J'ai failli être tronçonné par des bûcherons, figure toi.
Et j'ai couru si vite que mes griffes s'étaient abîmées. Le salopard me les a affûtées avec la tronçonneuse sous l'œil de ma maîtresse et du boubou. Quel mauvais souvenir.
Derrière lui, le Belge et le ministre ne voyaient pas trop ce qui se passait à l'intérieur.
- Nous aimerions bien savoir ce que c'est, une fois.
- Rassurez vous Monsieur le Belge, ce n'est que sœur Mathilde qui visiblement a neutralisé les bandits.
- Au nom du bouton rouge, sœur Mathilde, je vous décore de la médaille internationale du courage, en présence du président et de son ministre.
- Cocorico, mais où est-il le président, cocorico, il a disparu.
- Ha, c'est bien vrai ça, puis Pépère, mais est-il et son frère, non d'une frite, ils ont dû être kidnappés par le bandit qui n'est pas là. Je sais compter quand même et maintenant, j'en vois trois sur quatre.
Le Belge qui s'était penché en avant avait bien vu qu'il manquait une personne. La sœur sortie avec le pape qu'elle venait de libérer et le général intima aux autres de se taire, sur un ton très autoritaire.
- Dites moi ma sœur, comment avez vous fait pour les mettre dans cet état, il nous faut du renfort pour les rapatrier vers la brigade.
- Écoutez moi général, c'est avec cet appareil que je les ai cramées, lol.
- Oui, on se demande ce qu'elle fait avec un tel engin dans son sac la vieille guenon du Guatemala.
- Ho oui, je vois ce que c'est détention d'armes prohibée, je pourrais vous coller dix jours de bouton rouge pour ça.
Après concertation, il fut décidé d'attacher les bandits pour qu'ils ne s'échappent pas. Le problème étant que les liens n'étaient pas à disposition. Après avoir fouillé à eux tous fouillé la cabane, il ne fut découvert aucune ficelle ou corde.
- J'ai une idée mon général, nous n'avons qu'à prendre le bas de l'aube du vieux zèbre irlandais, il portera le kilt et puis c'est tout.
- Tu es gonflé la vieille et si j'attaque une pneumonie des genoux, comment je vais faire.
- Écoutez, c'est un ordre monsieur le souverain pontife, vous passerez un pantalon une fois revenu vers le camping-car.
C'est ainsi que le pauvre pape se fit dépouiller du bas de son aube.
Les bandits furent solidement attaché et la porte refermée. C'est en écoutant, les célèbres, on ne lâche rien ah où ah où,ah où, que les autres comprirent que les malfrats revenaient à eux. Le but maintenant était de retrouver le président, Pépère et Saturne qui demeuraient absent depuis déjà un long moment.
Le Pépère errait toujours au fond du bois avec Saturne et le président. Il devait se concentrer régulièrement sur le bord de la nationale où il avait arrêté le temps. Malheureusement à trop penser à manger il n'y avait plus fait attention.
C'est comme ça que celui-ci repris son cours et que les occupants de la camionnette de gendarmerie se retrouvèrent au moment où celui-ci fut arrêté avant qu'il n'avance d'une vingtaine de minutes. Personne ne se rendit compte de l'arrêt du cours du temps et le gendarme qui conduisait finissait de garer la Dacia derrière le scooter.
Derrière eux, François était toujours en train de jouer avec son enceinte Bluetooth et changea enfin de morceau.
- C'est lundi, ho ho dans mon lit, mal dormi, ho ho.
- C'est vrai quoi, je ne dors pas la nuit, je regarde des films. Le cavalier sans tête, oui, il est dans ce bois.
Ragoût lui restait silencieux et l'un des gendarmes s'énervait.
- Hé, le clown, tu vas couper ton bazar sinon, c'est moi qui vais faire le cavalier et c'est sur ta tête que va finir le Bluetooth.
C'est alors que Ragoût eut dans les fondements de sa malheureuse petite cervelle, une idée pour s'échapper. Il comptait assommer les gendarmes avec l'enceinte neutraliser François et s'enfuir avec le scooter vers Sancoins pour rejoindre le cochon jaune.
- À oui, vous êtes le cavalier, mais alors François, c'était vrai, vous m'embêter je vais rappeler Adélaïde, et puis boire un... Ha qu'est que c'...
Le pauvre François n'eut pas le temps de réagir qu'il venait de recevoir un coup-de-poing sur la nuque et tomba en avant en échappant l'enceinte que Ragoût rattrapa. La scène fut très rapide et le pauvre agent qui était devant et qui venait de se retourner n'eut pas le temps de voir arriver l'enceinte sur son front. Il se retrouva inanimé et tomba sur le siège. Le conducteur ne pouvait pas lâcher le volant, car il finissait sa manœuvre. Ragoût en profita pour lui arracher le taser qu'il portait à la ceinture. Le pauvre homme se gara en urgence et le temps de dégainer son arme, il se retrouva électrocuté par le taser.
- On ne lâche rien, ah où ah où, ah où ah où, à moi la liberté, tien le fou cadeau de Ragoût.
Il donna un coup de taser dans le genou de François qui se retrouva de nouveau inanimé alors qu'il revenait à lui.
Ragoût sortit du véhicule et monta sur le scooter.
- Alors pas d'affolement, comment marche cet engin. J'ai un peu de temps les autres sont dans le bois.
Le long de la mare, Pêcheur était quand même étonné que Chatdore fut le premier coéquipier de Pépère.
Coin-coin arrivait de sa promenade avec Dranac au même moment.
- Toc toc toc, je croyais que c'était Lolo son premier coéquipier, toc toc toc.
- Non, c'est moi, d'ailleurs, il arrive avec Sybage et Bibou, tu pourras lui demander.
- Fle fle fle, mais comment l'as tu connus, Pépère. Fle fle fle, moi ma love gendarme, je l'ai connu ici quand elle venait donner à manger aux petites pattes. Depuis, je la love beaucoup, et ma canard love, c'est Dranac.
- Je l'ai déjà raconté comment on s'est connu, chat chat chat.
- Fle fle fle fle, oui, mais moi, je ne connais pas l'histoire, fle fle fle fle.
- Hé bien, c'est simple, Dranac, c'est en Irak que je l'ai rencontré. Je menais une enquête parallèle sur son poivrot. Il était là-bas pour réceptionner des missiles nucléaires qui venaient de Russie. Pour l'accompagner sa comparse, s'était déguisée en marchande de sable mouvant.
- Marchande de sable mouvant, fle fle fle fle, qu'est que c'est que ça ?
Rétorqua Dranac étonnée.
- Hé bien, c'est du sable très fin que l'on dispose sur l'autre sable et il devient un aspirateur à humain. C'est comme ça que sont soûlard arrivait à semer ses poursuivants dans le désert. Ses complices posaient une pellicule de sable mouvant sur la route et l'armée Irakienne disparaissait dans la route, totalement engloutie. C'est lors d'un dîner avec un émir, organisé par Nicolas Sarkozy qui était le boss de la France à l'époque que j'ai rencontré Pépère et nous sommes devenus coéquipiers, après que je l'ai eu sauvé d'un attentat criminel.
Voilà maintenant, tu sais comment l'on s'est connu.
Et Pépère pendant ce temps-là, fanfaronnait devant Saturne et le président avec ses Nike qui avaient des leds dans les semelles. Il chantait pour oublier l'angoisse qui le tenait d'avoir oublié de penser à l'arrêt du temps le long de la route.
Il s'était un peu repéré et faisant semblant d'être perdu ramena le groupe vers la nationale pour voir ce qu'il s'y passait.
- Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat chat chat où t'es...
- Tu es aussi fort en chanson qu'en déguisement, dit donc min frérot.
- Oui, Pépère, mais cela ne nous dis pas où sont les autres et où nous sommes, ha, j'aperçois le camping-car, nous sommes revenus d'où nous sommes partis.
- Oui, mon frérot, je suis Pépère, j'suis une affaire, des chat comme moi, il y en a guère qu'ait vu l'Irak et fait la guerre.
Oui, pour les déguisements, j'assure à fond. Une fois, je me suis déguisé en sapin pour observer ma salade ukrainienne à la sauce tomate saoudienne. J'ai failli être tronçonné par des bûcherons, figure toi.
Et j'ai couru si vite que mes griffes s'étaient abîmées. Le salopard me les a affûtées avec la tronçonneuse sous l'œil de ma maîtresse et du boubou. Quel mauvais souvenir.