Cochon roulait vers Sancoins et la femme à côté de lui n'arrêtait pas de faire des rots et des pets nauséabonds. Il n'était pas particulièrement heureux de l'avoir ramassé, car en plus, elle avait une haleine à faire fondre un glaçon sur place.
Elle le regardait avec curiosité et d'un seul coup elle se mit à se gratter avec frénésie.
- Dis, moi, Cochon, c'est quoi les bêtes dans ta barbe ?
- Qu'est-ce que tu racontes, quelles bêtes, qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Tu n'arrêtes pas de te gratter le museau alors je pense qu'il doit y avoir une sacrée culture là-dessus, ahou ahou.
- Écoute la vilaine, tu vas voir si Cochon a des poux. Tu t'es vu avec tes dents pourries et ton haleine qui va rendre mon camion irrespirable. Je te signale que je dors dedans alors s'il te plaît si tu pouvais te taire un peu te mettre un bouchon où je pense ça ne serait pas mal du tout.
- Écoute le jeunot, j'ai passé l'âge de me faire insulter, je vais te mettre un bourre-pif sur le groin et tu vas moins faire le malin.
- Hé bien, tu es polie en plus ça ne gâche rien. Non mais tu t'es vu, face de derrière hémorroïdaire de babouin. Tu vas descendre d'ici et vite fait, moi aussi, j'ai passé l'âge de me faire prendre pour un idiot de la sorte.
Allez, la vilaine dégage !
- En roulant pauvre nain, tu vas voir ce que tu vas voir.
La femme avait vu dans le vide-poche un marteau et elle s'en saisit et lui donna un coup sur le genou. Elle n'avait pas pensé qu'étant donné, que l'homme conduisait, il aurait pu perdre le contrôle de son camion.
C'est ainsi que par reflex, il lâcha le volant et essaya de lui enlever le marteau des mains.
Le camion se mit à faire le poisson avant de couper la route.
Couché sur le flanc, le véhicule gisait. Dans la cabine, le cochon était évanoui et la femme lui monta dessus pour être debout. Avec l'aide du marteau elle brisa le pare-brise jusqu'à faire un trou et s'enfuyait à travers champ. Sans le savoir elle allait à la rencontre des quatre évadés qui étaient en guenilles.
Sur le champ, proche de la mare à Coin-coin, c'était une victoire. Il ne restait plus qu'à dissimuler le véhicule de gendarmerie.
Elchaponne prit les commandes et donna ses ordres.
- Les amis, c'est excellent, les quatre malfrats ne sont pas prêt de revenir et je suis heureux de votre travail à chacun.
Nous sommes nombreux ici et nous risquons d'attirer l'attention sur nous, nous autres.
Je vais rester ici avec Isidore et Saturne va garder la palette.
Pêcheur et Coin-coin avec Un-œil, vous allez faire disparaître ce véhicule de gendarmerie. Pêcheur et Coin-coin connaissent les lieux, suis leurs indications Un-œil.
Lolo, Bibou, Sybage et Chatdore, allez attendre vers l'estrade dites à Chouânne que vous venez de ma part vous autres.
Fripouille et Avéame allez chez vous en attendant. Étant donné que vous êtes en face vous serez vite revenu pour le partage, dès que Pépère aura fait la répartition.
Toublanc, retourne chez tes maîtres qu'ils n'aient pas l'idée de venir par ici, ne sait-on jamais.
Chacun partit vers l'endroit qu'il lui était commandé, confiant en Elchaponne qui saurait les appeler dès que tout serait en place pour le partage.
Fripouille partit avec Avéame en premier, car il ne fallait pas que tout le monde parte en même temps pour éveiller les soupçons d'un éventuel curieux rodant dans les parages.
- Je suis content, mon chat love, tu m'as défendu avec courage et tes amis sont tous merveilleux.
- Merci ma chatmoureuse, c'est aussi bien que tu es resté cachée. Ça m'a fait plaisir de connaître Saturne le frérot à Pépère.
Tu as déjà vu le troisième volet de ma siamoise love, ma chatmoureuse ?
- Non mon chat love, tu l'as acheté ?
- C'est Isidore qui me l'a offert, il l'a eu avant les autres grâces aux producteurs de son émission toutes griffes dehors.
- Super, allons le regarder en attendant, mon chat love.
Bibou, Lolo, Sybage et Chatdore, partirent cinq minutes plus tard en direction de l'estrade et marchait en silence le cœur soulagé.
Toublanc, partit cinq minutes derrière eux et arriva pile au moment où son maître revenait juste en face du magasin où les poulets avaient enfin été tous ramassés, sauf bien sûr la palette dérobée.
Saturne reprit sa garde devant la palette et Isidore vint à côté d'Elchaponne.
C'est alors que Coin-coin, Pêcheur et Un-œil partirent en direction de la voiture de gendarmerie.
Pêcheur voulait conduire alors il s'installa au volant. Coin-coin se mit à côté pour le guider et Un-œil décida de s'occuper des pédales et du levier de vitesses.
- Toc toc toc, je suis le meilleur héron conducteur au monde toc toc toc, mon copilote est canard premier toc toc toc.
- Fle fle fle, je suis canard premier, fle fle fle, je copilote la voiture de ma love gendarme, fle fle fle.
Prends, premiere à droite, attention dans dix mètres une branche dépasse. Un-œil passe la troisième, fle fle fle. Pêcheur continue sur vingt mètres, attention cailloux sur le bord a treize mètres. Fle fle fle, deuxième à gauche, fle fle fle. Attention broussaille en approche, gare toi sous ce chêne. Un-œil débraye, passe au point mort, pêcheur passe sous les branches, stop. Canard premier t'a emmener où il fallait. Fle fle fle, prenons des branches et couvrons le véhicule, fle fle fle.
Les trois amis sortir de l'auto et la couvrir de broussailles en tous genres. Par sécurité et sous les ordres de Coin-coin, Pêcheur avait débranché la batterie.
Une fois leur travail terminé, ils reprirent par le chemin la direction de la mare à Coin-coin.
Le Pépère était enfin reparti vers la mare et vit au loin les quatre fuyards et comprit que quelques choses venant de se passer.
Il arriva sur le scooter avec Turbo derrière lui sur le porte-bagages.
- Hé bien, tu es seul avec Isidore, comment ça ce fait ?
Ha, je vois que tu as gardé la palette mon frérot, c'est excellent, tu es un véritable agent de la force de chatpolice.
Elchaponne expliqua à Pépère ce qui venait de se passer et où était chacun des chats ainsi que Bibou, Coin-coin et Pêcheur.
- Je suis fier de toi aussi Elchaponne et Isidore ne manquera pas de parler de tes exploits dans toutes griffes dehors. D'ailleurs, je serais l'invité spécial du premier prime time, alors je dirais avoir vu la scène. Malgré que cela ne soit pas dans mes habitudes de mentir ou de raconter des histoires, je dirais tout ce qui s'est passé en disant que c'est la vérité vraie qu'elle est réelle pas fausse et attestée par l'huissier de la vérité authentiquement vraie. Bon savez-vous combien de poulet sont sur la palette vous autres.
Le Pépère était devant la palette que Saturne avait découverte et il tremblait d'impatience comme un môme devant une tarte aux pommes.
- Oui, mon copain, nous le savons nous autres, nous les avons compté.
Je te rassure, tu étais déjà programmé pour mon premier prime time de toutes griffes dehors.
- Oui, mon frérot, je les ai recomptés avec Elchaponne juste avant que tu arrives, il y a cent vingt.
Le Pépère se mit à réfléchir et regarda, Isidore, saturne et Turbo.
- Donc en comptant mon copain Bibou et nous autres les chats nous sommes douze. Bon, je ferai apparaître avec ma magie une palette de poissons pour Pêcheur et Coin-coin.
Alors compte tenu que Fripouille rouille s'il est mouillé, et qu'Avéame est sa chatmoureuse qui compte une demi-part. Compte tenu que Un-œil voit à moitié, que Saturne est mon frérot mais qu'il sort de prison et qu'il ne peut pas trop mangé sous risque d'être malade, que Turbo me doit deux poulet pour l'avantage que je lui aie laissé à la course, qu'Elchaponne à bien dirigé les opérations en ayant copier sur une attaque que j'ai déjà faite, que Chatdore à des poils sans intelligence, que Bibou à les moustaches plus petites que moi, qu'Usidire à les yeux bleus. Donc, ça fait, hum, dix, en considérant que Pépère est le plus intelligent et le chef, ça fait dix poulets chacun.
Donc, Turbo m'en doit deux, ce qui veut dire que par solidarité chacun va aussi en donner deux. Alors huit poulets par douze donnes le QI d'une de mes moustaches donc, quatre-vingt seize poulets pour vous autres soit huit chacun et le reste pour moi c'est-à-dire vingt-quatre poulets.
Surtout, gardez bien les ficelles pour vos scoubidous qui vous rappelleront à jamais comme Pépère est bon et généreux.
Elle le regardait avec curiosité et d'un seul coup elle se mit à se gratter avec frénésie.
- Dis, moi, Cochon, c'est quoi les bêtes dans ta barbe ?
- Qu'est-ce que tu racontes, quelles bêtes, qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Tu n'arrêtes pas de te gratter le museau alors je pense qu'il doit y avoir une sacrée culture là-dessus, ahou ahou.
- Écoute la vilaine, tu vas voir si Cochon a des poux. Tu t'es vu avec tes dents pourries et ton haleine qui va rendre mon camion irrespirable. Je te signale que je dors dedans alors s'il te plaît si tu pouvais te taire un peu te mettre un bouchon où je pense ça ne serait pas mal du tout.
- Écoute le jeunot, j'ai passé l'âge de me faire insulter, je vais te mettre un bourre-pif sur le groin et tu vas moins faire le malin.
- Hé bien, tu es polie en plus ça ne gâche rien. Non mais tu t'es vu, face de derrière hémorroïdaire de babouin. Tu vas descendre d'ici et vite fait, moi aussi, j'ai passé l'âge de me faire prendre pour un idiot de la sorte.
Allez, la vilaine dégage !
- En roulant pauvre nain, tu vas voir ce que tu vas voir.
La femme avait vu dans le vide-poche un marteau et elle s'en saisit et lui donna un coup sur le genou. Elle n'avait pas pensé qu'étant donné, que l'homme conduisait, il aurait pu perdre le contrôle de son camion.
C'est ainsi que par reflex, il lâcha le volant et essaya de lui enlever le marteau des mains.
Le camion se mit à faire le poisson avant de couper la route.
Couché sur le flanc, le véhicule gisait. Dans la cabine, le cochon était évanoui et la femme lui monta dessus pour être debout. Avec l'aide du marteau elle brisa le pare-brise jusqu'à faire un trou et s'enfuyait à travers champ. Sans le savoir elle allait à la rencontre des quatre évadés qui étaient en guenilles.
Sur le champ, proche de la mare à Coin-coin, c'était une victoire. Il ne restait plus qu'à dissimuler le véhicule de gendarmerie.
Elchaponne prit les commandes et donna ses ordres.
- Les amis, c'est excellent, les quatre malfrats ne sont pas prêt de revenir et je suis heureux de votre travail à chacun.
Nous sommes nombreux ici et nous risquons d'attirer l'attention sur nous, nous autres.
Je vais rester ici avec Isidore et Saturne va garder la palette.
Pêcheur et Coin-coin avec Un-œil, vous allez faire disparaître ce véhicule de gendarmerie. Pêcheur et Coin-coin connaissent les lieux, suis leurs indications Un-œil.
Lolo, Bibou, Sybage et Chatdore, allez attendre vers l'estrade dites à Chouânne que vous venez de ma part vous autres.
Fripouille et Avéame allez chez vous en attendant. Étant donné que vous êtes en face vous serez vite revenu pour le partage, dès que Pépère aura fait la répartition.
Toublanc, retourne chez tes maîtres qu'ils n'aient pas l'idée de venir par ici, ne sait-on jamais.
Chacun partit vers l'endroit qu'il lui était commandé, confiant en Elchaponne qui saurait les appeler dès que tout serait en place pour le partage.
Fripouille partit avec Avéame en premier, car il ne fallait pas que tout le monde parte en même temps pour éveiller les soupçons d'un éventuel curieux rodant dans les parages.
- Je suis content, mon chat love, tu m'as défendu avec courage et tes amis sont tous merveilleux.
- Merci ma chatmoureuse, c'est aussi bien que tu es resté cachée. Ça m'a fait plaisir de connaître Saturne le frérot à Pépère.
Tu as déjà vu le troisième volet de ma siamoise love, ma chatmoureuse ?
- Non mon chat love, tu l'as acheté ?
- C'est Isidore qui me l'a offert, il l'a eu avant les autres grâces aux producteurs de son émission toutes griffes dehors.
- Super, allons le regarder en attendant, mon chat love.
Bibou, Lolo, Sybage et Chatdore, partirent cinq minutes plus tard en direction de l'estrade et marchait en silence le cœur soulagé.
Toublanc, partit cinq minutes derrière eux et arriva pile au moment où son maître revenait juste en face du magasin où les poulets avaient enfin été tous ramassés, sauf bien sûr la palette dérobée.
Saturne reprit sa garde devant la palette et Isidore vint à côté d'Elchaponne.
C'est alors que Coin-coin, Pêcheur et Un-œil partirent en direction de la voiture de gendarmerie.
Pêcheur voulait conduire alors il s'installa au volant. Coin-coin se mit à côté pour le guider et Un-œil décida de s'occuper des pédales et du levier de vitesses.
- Toc toc toc, je suis le meilleur héron conducteur au monde toc toc toc, mon copilote est canard premier toc toc toc.
- Fle fle fle, je suis canard premier, fle fle fle, je copilote la voiture de ma love gendarme, fle fle fle.
Prends, premiere à droite, attention dans dix mètres une branche dépasse. Un-œil passe la troisième, fle fle fle. Pêcheur continue sur vingt mètres, attention cailloux sur le bord a treize mètres. Fle fle fle, deuxième à gauche, fle fle fle. Attention broussaille en approche, gare toi sous ce chêne. Un-œil débraye, passe au point mort, pêcheur passe sous les branches, stop. Canard premier t'a emmener où il fallait. Fle fle fle, prenons des branches et couvrons le véhicule, fle fle fle.
Les trois amis sortir de l'auto et la couvrir de broussailles en tous genres. Par sécurité et sous les ordres de Coin-coin, Pêcheur avait débranché la batterie.
Une fois leur travail terminé, ils reprirent par le chemin la direction de la mare à Coin-coin.
Le Pépère était enfin reparti vers la mare et vit au loin les quatre fuyards et comprit que quelques choses venant de se passer.
Il arriva sur le scooter avec Turbo derrière lui sur le porte-bagages.
- Hé bien, tu es seul avec Isidore, comment ça ce fait ?
Ha, je vois que tu as gardé la palette mon frérot, c'est excellent, tu es un véritable agent de la force de chatpolice.
Elchaponne expliqua à Pépère ce qui venait de se passer et où était chacun des chats ainsi que Bibou, Coin-coin et Pêcheur.
- Je suis fier de toi aussi Elchaponne et Isidore ne manquera pas de parler de tes exploits dans toutes griffes dehors. D'ailleurs, je serais l'invité spécial du premier prime time, alors je dirais avoir vu la scène. Malgré que cela ne soit pas dans mes habitudes de mentir ou de raconter des histoires, je dirais tout ce qui s'est passé en disant que c'est la vérité vraie qu'elle est réelle pas fausse et attestée par l'huissier de la vérité authentiquement vraie. Bon savez-vous combien de poulet sont sur la palette vous autres.
Le Pépère était devant la palette que Saturne avait découverte et il tremblait d'impatience comme un môme devant une tarte aux pommes.
- Oui, mon copain, nous le savons nous autres, nous les avons compté.
Je te rassure, tu étais déjà programmé pour mon premier prime time de toutes griffes dehors.
- Oui, mon frérot, je les ai recomptés avec Elchaponne juste avant que tu arrives, il y a cent vingt.
Le Pépère se mit à réfléchir et regarda, Isidore, saturne et Turbo.
- Donc en comptant mon copain Bibou et nous autres les chats nous sommes douze. Bon, je ferai apparaître avec ma magie une palette de poissons pour Pêcheur et Coin-coin.
Alors compte tenu que Fripouille rouille s'il est mouillé, et qu'Avéame est sa chatmoureuse qui compte une demi-part. Compte tenu que Un-œil voit à moitié, que Saturne est mon frérot mais qu'il sort de prison et qu'il ne peut pas trop mangé sous risque d'être malade, que Turbo me doit deux poulet pour l'avantage que je lui aie laissé à la course, qu'Elchaponne à bien dirigé les opérations en ayant copier sur une attaque que j'ai déjà faite, que Chatdore à des poils sans intelligence, que Bibou à les moustaches plus petites que moi, qu'Usidire à les yeux bleus. Donc, ça fait, hum, dix, en considérant que Pépère est le plus intelligent et le chef, ça fait dix poulets chacun.
Donc, Turbo m'en doit deux, ce qui veut dire que par solidarité chacun va aussi en donner deux. Alors huit poulets par douze donnes le QI d'une de mes moustaches donc, quatre-vingt seize poulets pour vous autres soit huit chacun et le reste pour moi c'est-à-dire vingt-quatre poulets.
Surtout, gardez bien les ficelles pour vos scoubidous qui vous rappelleront à jamais comme Pépère est bon et généreux.