Derrière le champ à Cookie, le brigadier, était furax. Il ordonnait aux Américains d'éteindre le feu et ceux-ci, non affolés étaient en train de laisser brûler la parabole.
- Au non de la loi, je vous donne l'ordre d'arrêter ce feu. Si vous n'obéissez pas, je vous porte le complice de capot blanc et vous dresse un procès-verbal.
L'un des hommes du pentagone qui parlait très bien le français lui répondit d'un air totalement décontracté.
- Écoutez moi camembert pinard, nous ne devons plus arrêter ce feu, il y aurait risque d'explosion.
Le brigadier était de plus en colère et ne savait plus où il en était, tant il était énervé.
- Au nom de la loi, je vous donne l'explosion de l'ordre de mettre le feu ou je vous dresse un capot blanc pour excès de vin.
Sa cousine le regardait et elle comprit qu'il était sur le point de perdre la raison.
- Lucien, calme toi, tu n'es plus maître de toi, laisse ces énergumènes et allons chercher le président qui saura gérer la situation.
- Écoute moi, frangine, nous n'avons pas besoin de cheveu bleu. Nous sommes assez parabole de loi pour faire valoir l'explosion du capot blanc. Je ne sais plus ce que je dis moi-même, excuse moi ma cousine, va me chercher à boire, j'ai soif !
C'est à ce moment qu'arriva derrière eux l'homme dont les gendarmes avaient embouti le mur. Il voulait avoir une explication avec le brigadier.
- Hé bien, c'est du beau, déjà que vous avez détruit mon mur et que ma maison risque de s'écrouler, maintenant vous asphyxiez toute la commune. Venez donc par là que je vous remette le képi à l'endroit gendarme de la foire aux vins d'occasions.
La cousine du brigadier malgré ses un mètre cinquante fonça sur l'homme et lui décrocha un coup de pied au derrière. L'homme surpris cru voir arriver sur lui une furie. Il sursauta en l'air et se retrouva derrière la voiture de la cousine du brigadier dont le coffre était resté ouvert. C'est alors qu'il vit une caisse de vin et s'en saisie. Il partit à une vitesse démente la jeter sur le feu. Le liquide tomba sur les boîtiers électriques qui étaient déjà en surchauffes. Ceux-ci sous l'action du liquide froid s'éventrèrent et les composants explosèrent. C'est comme ça que la haie pris feu et que le responsable du désastre pris de panique partit en courant.
Le pauvre Momo arrivait en face au même instant. C'est alors que Turbo qui s'était endormi derrière le noyer se réveilla.
- Maman moi peur, maman moi peur, s'écriait-il en courant autour de l'arbre.
Momo le vit et le regarda avec étonnement.
- Diantre, que de fariboles pour un vulgaire feu de broussaille. Ne, vous en inquiétez pas, de ce temps pluvieux, il sera vite circonscrit et arrêté par ces Marivaux que je vois en face. Mais que se passe-t-il donc à la fin en ces contrées qui étaient si calmes avant l'arrivée de ce trublion de Pépère. Mais, que vois-je, je n'y avait prêté attention, vous êtes Turbo, ce chat recordman dont les journaux télévisés nous ont venté les exploits, il n'y a guère de temps de cela. À ce qu'il ont dit, vous seriez plus rapide qu'un train. Savez vous ce qui s'est passé en face et d'où provient cette fumée, monsieur Turbo.
- Oui, je suis le chat le plus rapide au monde, je n'avais pas raconté d'histoire. Hé bien, je ne sais pas ce qui s'est passé en face, car je reviens d'une mission. Je m'étais posé là pour refroidir mes puissantes pattes qui étaient à un point de fusion.
Momo, l'écoutait avec intention, mais les réponses qu'il écoutait ne lui disaient pas ce qui se passait en face. C'est alors qu'il partit voir Cookie vers sa cabane.
C'est Lucie qui le reçut avec politesse.
- Hii, voilà mon méga love Momo, comment vas-tu ?
- Je me porte à merveille mon amie, mais dites moi quelle est donc cette fête foraine à ciel ouvert dont nous n'avons eu les bans.
C'est Cookie qui lui répondit très énervée.
- C'est un coup des Américains, hiii ces hommes veulent m'assassiner hiiii vite allez chercher Pépère qu'il fasse caca sous leur nez, hiii je n'en peu plus, hiii.
À Sancoins, le Pépère arrivait enfin vers le bar. Il était juste temps qu'il gare la voiture et qu'il lui redonne son aspect normal.
Le poète était juste en face de lui. Il se tenait à côté des gendarmes en se bouchant le nez tellement l'odeur était infecte.
Plus loin les hommes qui procédaient à l'analyse de la matière semblaient satisfaits de leur travail. L'un d'eux monta sur les marches du bar pour annoncer les résultats.
- S'il vous plaît, silence, s'il vous plaît, je vous informe qu'il n'y a aucun risque bactériologique. Vous n'avez aucune raison de vous inquiéter, la matière ne contient aucun virus transmissible à l'homme. Une bactérie d'origine Martienne se trouve dans la matière et nous pensions qu'elle était extraterrestre. Néanmoins, c'est avec un grand plaisir que nous vous annonçons que l'odeur va se dissiper et que vous ne courez aucun danger. Nous levons le périmètre de sécurité, vous pouvez tous vaquer à vos occupations favorites sans risque. Merci à tous de votre compréhension, nous ferons poser un compte-rendu détaillé sur les panneaux d'affichages municipaux.
Tout le monde regardait l'homme avec étonnement et l'un d'eux posa la question fatidique.
- Mais, dites nous, quelle est cette matière si elle ne représente aucun danger. Vous n'osez pas dire la vérité à vrai dire.
L'homme répondit du tac au tac.
- Écoutez tous, nous vous disons la pure vérité, la matière découverte n'a aucun risque de vous contaminer, c'est du caca de chat. Après, il est vrai que se soit l'un des plus mal odorant au monde, j'en conviens, je vous le répète vous ne courez aucun danger, c'est un caca de chat et le bougre est un sacré dégoûtant.
Le discours de l'orateur avait laissé le temps au Pépère de regagner sa petite auto avec Saturne. Il avait redonné l'apparence originelle à l'auto, mais il lui semblait avoir oublié quelque chose.
L'homme arrivait vers sa voiture qui était à côté de celle de Pépère. Saturne fut effrayé par sa présence, car il allait les découvrir.
- Mon frérot, nous sommes marrons, ton maître arrive sur nous. Il va nous ramener dans la voiture de messe dans l'odeur du gasoil.
- Ne t'inquiète pas, moi frérot, ma voiture lui est invisible, je te l'ai expliqué, souviens toi de la peinture du sous-marin du docteur costaud. Mais j'y pense, le pare-brise était cassé, vite, remettons le, en état.
Le poète était juste devant la voiture et regardait son pare-brise qui n'était plus cassé. C'est alors que sous ses yeux celui-ci repris son aspect. Durant la transition qui avait durée à peine trois secondes, la voiture du Pépère lui apparut. Durant l'opération de sa magie, Pépère sans le savoir était devenu visible.
Il n'en croyait pas ses yeux et prit son téléphone.
- Allô, chérie, oui toujours à Sancoins. Figure toi que je viens de voir mon pare-brise réparé et à côté de moi la fifille et mon chat errant, Saturne.
Oui, tu as raison, ça doit être la fatigue. Oui chérie, non, je vais manger un morceau.
Il raccrocha, monta dans sa voiture et il disparut.
Le Pépère rigolait autant qu'il le pouvait.
- Chat chat chat, alors galinette cendrée des vignes du bon Dieu, tu hallucines. Tu n'as qu'à retrouver la dame au saucisson qu'elle te serve un verre de rhum, si tu picolais un peu moins tu n'aurais pas des visions, chat chat chat.
- Hé bien mon frérot, j'ai eu peur moi. Ta peinture, qui rend invisible, est simplement géniale. Pourquoi tu appelles Costaud le docteur, je croyais qu'il était capitaine et marin.
- Non, c'est son prénom capitaine, il s'appelle Capitaine Costaud. Il est en effet médecin, et même un bon, j'ai été son enseignant.
- Ha bon, un médecin, mais que faisait-il sur les mers ?
- Hé bien, il était chirurgien plasticien écailleux.
- Qu'est-ce que c'est que ça, chirurgien plasticien écailleux ?
- C'est un chirurgien esthétique pour les baleines et les cétacés. Oui, certains requins ont parfois du mal à trouver une compagne requine où un dauphin une dauphine ou une baleine une ballerine. Des fois, les pauvres pris de désespoir se mettent à pleurer et risquent d'anéantir la race humaine.
- Je ne vois pas le rapport entre les cétacés qui pleurent et l'homme.
- Hé bien, peut-être ne le sais-tu pas, mais au début les mers étaient un tout petit étang. Les cétacés qui y vivaient se sentaient à l'étroit et par désespoir se sont mis à pleurer. Vois un peu le résultat aujourd'hui. Sans chirurgien plasticien écailleux, les mers pourraient nous engloutir. C'est moi qui est inventé cette spécialité, car avant que ça existe, c'était la lune qui buvait l'eau qui montait pour préserver les humains. Un jour, elle a eu des problèmes de tension et à dû arrêté. C'est comme ça que j'ai inventé cette spécialité. Je l'ai ensuite enseigné à mon ami costaud.
- La lune des problèmes de tension, tu es sûr de ça ?
- Bien sûr mon frérot, c'est ce qui fait que nous avons des marées. Oui, quand elle prend son cachet, elle souffle de soulagement et le souffle repousse la mer qui en profite pour monter durant sa période de faiblesse. Bon, allons voir la palette de mes amours.
- Au non de la loi, je vous donne l'ordre d'arrêter ce feu. Si vous n'obéissez pas, je vous porte le complice de capot blanc et vous dresse un procès-verbal.
L'un des hommes du pentagone qui parlait très bien le français lui répondit d'un air totalement décontracté.
- Écoutez moi camembert pinard, nous ne devons plus arrêter ce feu, il y aurait risque d'explosion.
Le brigadier était de plus en colère et ne savait plus où il en était, tant il était énervé.
- Au nom de la loi, je vous donne l'explosion de l'ordre de mettre le feu ou je vous dresse un capot blanc pour excès de vin.
Sa cousine le regardait et elle comprit qu'il était sur le point de perdre la raison.
- Lucien, calme toi, tu n'es plus maître de toi, laisse ces énergumènes et allons chercher le président qui saura gérer la situation.
- Écoute moi, frangine, nous n'avons pas besoin de cheveu bleu. Nous sommes assez parabole de loi pour faire valoir l'explosion du capot blanc. Je ne sais plus ce que je dis moi-même, excuse moi ma cousine, va me chercher à boire, j'ai soif !
C'est à ce moment qu'arriva derrière eux l'homme dont les gendarmes avaient embouti le mur. Il voulait avoir une explication avec le brigadier.
- Hé bien, c'est du beau, déjà que vous avez détruit mon mur et que ma maison risque de s'écrouler, maintenant vous asphyxiez toute la commune. Venez donc par là que je vous remette le képi à l'endroit gendarme de la foire aux vins d'occasions.
La cousine du brigadier malgré ses un mètre cinquante fonça sur l'homme et lui décrocha un coup de pied au derrière. L'homme surpris cru voir arriver sur lui une furie. Il sursauta en l'air et se retrouva derrière la voiture de la cousine du brigadier dont le coffre était resté ouvert. C'est alors qu'il vit une caisse de vin et s'en saisie. Il partit à une vitesse démente la jeter sur le feu. Le liquide tomba sur les boîtiers électriques qui étaient déjà en surchauffes. Ceux-ci sous l'action du liquide froid s'éventrèrent et les composants explosèrent. C'est comme ça que la haie pris feu et que le responsable du désastre pris de panique partit en courant.
Le pauvre Momo arrivait en face au même instant. C'est alors que Turbo qui s'était endormi derrière le noyer se réveilla.
- Maman moi peur, maman moi peur, s'écriait-il en courant autour de l'arbre.
Momo le vit et le regarda avec étonnement.
- Diantre, que de fariboles pour un vulgaire feu de broussaille. Ne, vous en inquiétez pas, de ce temps pluvieux, il sera vite circonscrit et arrêté par ces Marivaux que je vois en face. Mais que se passe-t-il donc à la fin en ces contrées qui étaient si calmes avant l'arrivée de ce trublion de Pépère. Mais, que vois-je, je n'y avait prêté attention, vous êtes Turbo, ce chat recordman dont les journaux télévisés nous ont venté les exploits, il n'y a guère de temps de cela. À ce qu'il ont dit, vous seriez plus rapide qu'un train. Savez vous ce qui s'est passé en face et d'où provient cette fumée, monsieur Turbo.
- Oui, je suis le chat le plus rapide au monde, je n'avais pas raconté d'histoire. Hé bien, je ne sais pas ce qui s'est passé en face, car je reviens d'une mission. Je m'étais posé là pour refroidir mes puissantes pattes qui étaient à un point de fusion.
Momo, l'écoutait avec intention, mais les réponses qu'il écoutait ne lui disaient pas ce qui se passait en face. C'est alors qu'il partit voir Cookie vers sa cabane.
C'est Lucie qui le reçut avec politesse.
- Hii, voilà mon méga love Momo, comment vas-tu ?
- Je me porte à merveille mon amie, mais dites moi quelle est donc cette fête foraine à ciel ouvert dont nous n'avons eu les bans.
C'est Cookie qui lui répondit très énervée.
- C'est un coup des Américains, hiii ces hommes veulent m'assassiner hiiii vite allez chercher Pépère qu'il fasse caca sous leur nez, hiii je n'en peu plus, hiii.
À Sancoins, le Pépère arrivait enfin vers le bar. Il était juste temps qu'il gare la voiture et qu'il lui redonne son aspect normal.
Le poète était juste en face de lui. Il se tenait à côté des gendarmes en se bouchant le nez tellement l'odeur était infecte.
Plus loin les hommes qui procédaient à l'analyse de la matière semblaient satisfaits de leur travail. L'un d'eux monta sur les marches du bar pour annoncer les résultats.
- S'il vous plaît, silence, s'il vous plaît, je vous informe qu'il n'y a aucun risque bactériologique. Vous n'avez aucune raison de vous inquiéter, la matière ne contient aucun virus transmissible à l'homme. Une bactérie d'origine Martienne se trouve dans la matière et nous pensions qu'elle était extraterrestre. Néanmoins, c'est avec un grand plaisir que nous vous annonçons que l'odeur va se dissiper et que vous ne courez aucun danger. Nous levons le périmètre de sécurité, vous pouvez tous vaquer à vos occupations favorites sans risque. Merci à tous de votre compréhension, nous ferons poser un compte-rendu détaillé sur les panneaux d'affichages municipaux.
Tout le monde regardait l'homme avec étonnement et l'un d'eux posa la question fatidique.
- Mais, dites nous, quelle est cette matière si elle ne représente aucun danger. Vous n'osez pas dire la vérité à vrai dire.
L'homme répondit du tac au tac.
- Écoutez tous, nous vous disons la pure vérité, la matière découverte n'a aucun risque de vous contaminer, c'est du caca de chat. Après, il est vrai que se soit l'un des plus mal odorant au monde, j'en conviens, je vous le répète vous ne courez aucun danger, c'est un caca de chat et le bougre est un sacré dégoûtant.
Le discours de l'orateur avait laissé le temps au Pépère de regagner sa petite auto avec Saturne. Il avait redonné l'apparence originelle à l'auto, mais il lui semblait avoir oublié quelque chose.
L'homme arrivait vers sa voiture qui était à côté de celle de Pépère. Saturne fut effrayé par sa présence, car il allait les découvrir.
- Mon frérot, nous sommes marrons, ton maître arrive sur nous. Il va nous ramener dans la voiture de messe dans l'odeur du gasoil.
- Ne t'inquiète pas, moi frérot, ma voiture lui est invisible, je te l'ai expliqué, souviens toi de la peinture du sous-marin du docteur costaud. Mais j'y pense, le pare-brise était cassé, vite, remettons le, en état.
Le poète était juste devant la voiture et regardait son pare-brise qui n'était plus cassé. C'est alors que sous ses yeux celui-ci repris son aspect. Durant la transition qui avait durée à peine trois secondes, la voiture du Pépère lui apparut. Durant l'opération de sa magie, Pépère sans le savoir était devenu visible.
Il n'en croyait pas ses yeux et prit son téléphone.
- Allô, chérie, oui toujours à Sancoins. Figure toi que je viens de voir mon pare-brise réparé et à côté de moi la fifille et mon chat errant, Saturne.
Oui, tu as raison, ça doit être la fatigue. Oui chérie, non, je vais manger un morceau.
Il raccrocha, monta dans sa voiture et il disparut.
Le Pépère rigolait autant qu'il le pouvait.
- Chat chat chat, alors galinette cendrée des vignes du bon Dieu, tu hallucines. Tu n'as qu'à retrouver la dame au saucisson qu'elle te serve un verre de rhum, si tu picolais un peu moins tu n'aurais pas des visions, chat chat chat.
- Hé bien mon frérot, j'ai eu peur moi. Ta peinture, qui rend invisible, est simplement géniale. Pourquoi tu appelles Costaud le docteur, je croyais qu'il était capitaine et marin.
- Non, c'est son prénom capitaine, il s'appelle Capitaine Costaud. Il est en effet médecin, et même un bon, j'ai été son enseignant.
- Ha bon, un médecin, mais que faisait-il sur les mers ?
- Hé bien, il était chirurgien plasticien écailleux.
- Qu'est-ce que c'est que ça, chirurgien plasticien écailleux ?
- C'est un chirurgien esthétique pour les baleines et les cétacés. Oui, certains requins ont parfois du mal à trouver une compagne requine où un dauphin une dauphine ou une baleine une ballerine. Des fois, les pauvres pris de désespoir se mettent à pleurer et risquent d'anéantir la race humaine.
- Je ne vois pas le rapport entre les cétacés qui pleurent et l'homme.
- Hé bien, peut-être ne le sais-tu pas, mais au début les mers étaient un tout petit étang. Les cétacés qui y vivaient se sentaient à l'étroit et par désespoir se sont mis à pleurer. Vois un peu le résultat aujourd'hui. Sans chirurgien plasticien écailleux, les mers pourraient nous engloutir. C'est moi qui est inventé cette spécialité, car avant que ça existe, c'était la lune qui buvait l'eau qui montait pour préserver les humains. Un jour, elle a eu des problèmes de tension et à dû arrêté. C'est comme ça que j'ai inventé cette spécialité. Je l'ai ensuite enseigné à mon ami costaud.
- La lune des problèmes de tension, tu es sûr de ça ?
- Bien sûr mon frérot, c'est ce qui fait que nous avons des marées. Oui, quand elle prend son cachet, elle souffle de soulagement et le souffle repousse la mer qui en profite pour monter durant sa période de faiblesse. Bon, allons voir la palette de mes amours.