À l'épicerie, le pape regardait par la vitre quand l'épicière passa comme une furie.
- Hé bien, qu'à t'elle la vilaine elle ne s'est pas arrêté à son auberge, nous avons soif nous autres.
- Tu es incorrigible, vieux, sapajou, le ciel est en train de s'enflammer et toi, tu ne penses qu'à la culture en azote de ton foie. Tu veux que je te dise, tu es un ivrogne Vaticanteux et ça m'étonnerai que les portes du paradis te sois ouvertes un jour.
- Mêle toi te ta cornette vielle guenon poilue des oreilles, je dis ce que je veux. J'ai parfaitement remarqué le ciel figure toi, c'est sûrement Dieu qui fait un barbecue, je ne vois pas ce qu'il y a d'inquiétant.
Le président était toujours outré de la manière dont se parlaient les deux religieux.
Le ministre, smartphone en main était déjà en relation avec la tenante de l'épicerie pour savoir ce qu'il en était. Il répondit au pape et à sœur Mathilde.
- Ne vous inquiétez pas, ce n'a rien à voir avec Dieu. Les Américains qui sont sur la commune à la recherche d'extraterrestres ont mis le feu à une antenne. Ils ont utilisé un produit qu'ils pensaient être de l'eau pour éteindre les flammes. Malheureusement, ce n'en était pas et ils ont fait une immense fumée avec ce produit.
Voyez, il n'y a pas matière à s'en inquiéter. Monsieur le Pape, l'épicière n'est pas une vilaine, c'est une très belle femme, très douce.
Alors Coco, tu veux encore du grain, lol.
- Cocorico, oui, Coco veut encore du grain.
Le président regardait l'assemblée d'un air songeur.
- Ça me souvient en mémoire que grâce à mon cheveu antenne, j'ai aidé la NASA et me suis retrouvé au pôle Sud à cause de ça.
Tout le monde le regardait avec étonnement.
- Cocorico, qu'est-ce que c'est que cette histoire, cocorico.
- Oui, mon Manu, raconte nous ça, tes histoires sont passionnantes.
La sœur et le pape revinrent vers le comptoir verre en main. Ils voulaient aussi savoir l'histoire, mais surtout que le ministre leur serve un nouveau verre de vin.
- Hé bien voilà, je vous ai raconté comment j'ai aidé mon père en faisant l'antenne pour son poste de télévision.
Figurez-vous que durant ce moment où je captais les ondes TV, j'avais réussi à capter aussi des fréquences extraterrestres. Je m'explique, vous vous souvenez que je parlais vingt et une langues. Hé bien, une était inconnue de tout le monde. C'était en fait la langue martienne. J'ai subi des tests auprès des armées et ce sont eux qui l'ont découvert. C'est comme ça que je fus enrôlé dans une expédition au pôle Nord où avait été aperçu des soucoupes martiennes. C'est comme ça que je fus transformé en émetteur. Des cellules étaient sur mes mains qui recevaient un signal en français que je répétais en Martien, ensuite avec mon cheveu, je transmettais dans les airs, depuis un ballon dirigeable. Malheureusement, un jour, j'ai levé la tête un peu trop et j'ai percé le ballon. Celui-ci remplit d'hélium a explosé et j'ai été projeté dans la stratosphère. En apesanteur, j'ai gravité trois jours autour de la terre avant que les Martiens ne me repèrent . Ils m'avaient pris pour l'un d'eux à cause de mes signaux, c'est ainsi que je fusse ramassé. Quand ils comprirent que j'étais un Terrien, ils m'ont largué sur le pôle Sud se trompant de pôle, voilà l'histoire.
À Sancoins, c'était la fête, Fripouille avait enfin retrouvé sa chatmoureuse.
Pêcheur et Coin-coin s'en donnait à ailes joie sur la mare.
- Toc toc toc, enfin les pattes dans l'eau, toc toc toc, qu'est-ce que j'ai eu peur dans la voiture à Pépère, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais dire à ma love gendarme, qu'elle tire les oreilles à crapouillot, fle fle fle. Il paraît qu'il a peur des buses, fle fle fle.
- Toc toc toc, son maître l'appelle la fifille, toc toc toc.
À côté de la mare, Fripouille, Avéame, Elchaponne, Toublanc, Un-œil et Isidore attendaient toujours le Pépère pour faire le partage de la palette de poulets.
Les chats discutaient entre eux et c'est Isidore qui se mettant devant les autres commença à parler de Pépère.
- Mais que faut-il à la fin, serait-il en train de terrassé une panthère ou un t-rex avec son frère, Sarurne.
- Comment ça son frère ?
Qui t'a raconté ça ?
- Hé bien, Elchaponne, c'est lui-même qui m'a dit que c'était son frère qui avait été arrêté en iran suite à une mission. Chat chat où t'es ou as-tu mis ton mytho, chat chat où t'es, chat chat chat chat.
Isidore s'amusait a présent à imiter son copain.
- Alors, que vois-je, une palette de poulet, donc procédons à la moyenne compensée. En considérant qu'Un-œil voit la moitié de sa cuisse, qu'Elchaponne à déjà mangé la dinde du père Noël, que Fripouille vit de chatmour et d'eau fraîche, qu'Avéame pèse deux kilos de moins que Toublanc à des poils blancs qui demandent moins de vitamines, qu'Isidore doit garder la forme pour toutes griffes dehors. Ça fait donc, deux plus deux pour eux qui donne un demi et pour moi les poulets. Donc en moyenne compensée ça fait, les poulets pour moi et les ficelles pour vous, chat chat chat.
Les autres chat le regardaient et se mirent à en rire.
- Chat chat chat chat chatchat chatchat chat.
Saturne était amusé de l'histoire de Pépère du savon englouti.
- Hé bien, à t'écouter, il serait capable de manger, un loup, ou un cheval, chat chat chat.
- Oui, c'est vrai, il serait capable de l'engloutir, il mange même mes croquettes qu'il cache à côté de son lit sous prétexte que je déchire les sacs pour les voler. Au début quand, je suis arrivé chez lui, je n'en revenais pas. Déjà que pour arriver jusqu'ici pour ma mission de surveillance ça n'a pas été de tout repos et comme tu parlais de loup et bien, j'en ai terrassé un en venant chez lui.
- Ha oui, racontez-moi ça mon frérot ça m'intéresse, rajouta.
- Hé bien voilà Saturne, le jour où je suis arrivé, je me suis perdu dans un bois et j'avais énormément faim.
- Tu n'avais pas peur mon frérot ? S'inquiétait Saturne.
- Attends laisse moi finir donc dans le bois, j'ai vu un loup, oui une meute même, j'ai miaulé tellement fort que les arbres en perdaient leurs feuilles. Oui, il faut savoir que j'ai un miaulement de cent trente-sept décibels. D'ailleurs les rapaces ont même peur de mon miaulement hyper puissant, un jour j'ai paralysé un aigle de peur en miaulant.
- Ha oui quand même, c'est impressionnant mon frérot.
- Ce n'est pas méchant Saturne, donc un de la meute qui était plus téméraire, c'est approché, je lui ai donné un tel coup de patte qu'il n'avait plus de poil sur le dos. Il a eu la peur de sa vie et crois moi que les loups sont partis en pleurant devant un Pépère en colère.
- Mais quel est le rapport avec le poète et tes croquettes ? N'empêche que je suis extrêmement impressionné.
- Attends frérot, c'était pour que tu saches ma force avant de continuer. Ensuite, pour me calmer, j'ai mis un coup de pied dans un arbre, j'étais tellement énervé qu'il ait tombé par terre, ce n'est pas pour dire. Ensuite, j'ai repris mon hélicoptère et à quelques centaines de mètres de la rivière, d'en haut, j'ai vu un taureau dans un champ qui voulait faire du mal à une poule qui se promenait. J'ai atterri vite fait, devant lui, j'ai arraché le pieu métallique d'où il s'était détaché. Je précise que le piquet en question était un morceau de rail de chemin de fer, pour l'anecdote. Hé bien, j'en ai fait un nœud de cravate devant ses yeux, je peux t'assurer qu'il tremblait devant, le bougre. Enfin après, j'ai vu la clairière et suis arrivé chez mon râteau lyophilisé pour jardinier alcoolique. De suite, j'ai commencé ma mission de surveillance et me suis placé sur une chaise sous sa fenêtre. Je l'ai regardé par la vitre. Puis un chat errant est venu taper l'incruste, il est sorti lui donné des croquettes, il l'a appelé gamin et je me suis caché pour ne pas être repéré. Il est ensuite retourné écrire et par la vitre, je l'ai vu, il plongeait la main dans le sac et mangeait les croquettes, même qu'après quand l'autre chat est parti, il a été finir son bol, et le mien pas plus tard qu'il y a une semaine devant mes yeux. Figure toi qu'il dort avec le sac de croquettes à côté de son couchage. Tout ça pour me donner des cailloux à manger après, bref. J'ai l'ai surpris de nouveau vers onze heures manger une énorme tourte tout seul, je n'ai eu le droit que de manger des rogatons soit l'emballage en clair qu'il avait jeté devant sa porte, alors qu'est-ce qu'un savon pour lui.
- Hé bien, qu'à t'elle la vilaine elle ne s'est pas arrêté à son auberge, nous avons soif nous autres.
- Tu es incorrigible, vieux, sapajou, le ciel est en train de s'enflammer et toi, tu ne penses qu'à la culture en azote de ton foie. Tu veux que je te dise, tu es un ivrogne Vaticanteux et ça m'étonnerai que les portes du paradis te sois ouvertes un jour.
- Mêle toi te ta cornette vielle guenon poilue des oreilles, je dis ce que je veux. J'ai parfaitement remarqué le ciel figure toi, c'est sûrement Dieu qui fait un barbecue, je ne vois pas ce qu'il y a d'inquiétant.
Le président était toujours outré de la manière dont se parlaient les deux religieux.
Le ministre, smartphone en main était déjà en relation avec la tenante de l'épicerie pour savoir ce qu'il en était. Il répondit au pape et à sœur Mathilde.
- Ne vous inquiétez pas, ce n'a rien à voir avec Dieu. Les Américains qui sont sur la commune à la recherche d'extraterrestres ont mis le feu à une antenne. Ils ont utilisé un produit qu'ils pensaient être de l'eau pour éteindre les flammes. Malheureusement, ce n'en était pas et ils ont fait une immense fumée avec ce produit.
Voyez, il n'y a pas matière à s'en inquiéter. Monsieur le Pape, l'épicière n'est pas une vilaine, c'est une très belle femme, très douce.
Alors Coco, tu veux encore du grain, lol.
- Cocorico, oui, Coco veut encore du grain.
Le président regardait l'assemblée d'un air songeur.
- Ça me souvient en mémoire que grâce à mon cheveu antenne, j'ai aidé la NASA et me suis retrouvé au pôle Sud à cause de ça.
Tout le monde le regardait avec étonnement.
- Cocorico, qu'est-ce que c'est que cette histoire, cocorico.
- Oui, mon Manu, raconte nous ça, tes histoires sont passionnantes.
La sœur et le pape revinrent vers le comptoir verre en main. Ils voulaient aussi savoir l'histoire, mais surtout que le ministre leur serve un nouveau verre de vin.
- Hé bien voilà, je vous ai raconté comment j'ai aidé mon père en faisant l'antenne pour son poste de télévision.
Figurez-vous que durant ce moment où je captais les ondes TV, j'avais réussi à capter aussi des fréquences extraterrestres. Je m'explique, vous vous souvenez que je parlais vingt et une langues. Hé bien, une était inconnue de tout le monde. C'était en fait la langue martienne. J'ai subi des tests auprès des armées et ce sont eux qui l'ont découvert. C'est comme ça que je fus enrôlé dans une expédition au pôle Nord où avait été aperçu des soucoupes martiennes. C'est comme ça que je fus transformé en émetteur. Des cellules étaient sur mes mains qui recevaient un signal en français que je répétais en Martien, ensuite avec mon cheveu, je transmettais dans les airs, depuis un ballon dirigeable. Malheureusement, un jour, j'ai levé la tête un peu trop et j'ai percé le ballon. Celui-ci remplit d'hélium a explosé et j'ai été projeté dans la stratosphère. En apesanteur, j'ai gravité trois jours autour de la terre avant que les Martiens ne me repèrent . Ils m'avaient pris pour l'un d'eux à cause de mes signaux, c'est ainsi que je fusse ramassé. Quand ils comprirent que j'étais un Terrien, ils m'ont largué sur le pôle Sud se trompant de pôle, voilà l'histoire.
À Sancoins, c'était la fête, Fripouille avait enfin retrouvé sa chatmoureuse.
Pêcheur et Coin-coin s'en donnait à ailes joie sur la mare.
- Toc toc toc, enfin les pattes dans l'eau, toc toc toc, qu'est-ce que j'ai eu peur dans la voiture à Pépère, toc toc toc.
- Fle fle fle, je vais dire à ma love gendarme, qu'elle tire les oreilles à crapouillot, fle fle fle. Il paraît qu'il a peur des buses, fle fle fle.
- Toc toc toc, son maître l'appelle la fifille, toc toc toc.
À côté de la mare, Fripouille, Avéame, Elchaponne, Toublanc, Un-œil et Isidore attendaient toujours le Pépère pour faire le partage de la palette de poulets.
Les chats discutaient entre eux et c'est Isidore qui se mettant devant les autres commença à parler de Pépère.
- Mais que faut-il à la fin, serait-il en train de terrassé une panthère ou un t-rex avec son frère, Sarurne.
- Comment ça son frère ?
Qui t'a raconté ça ?
- Hé bien, Elchaponne, c'est lui-même qui m'a dit que c'était son frère qui avait été arrêté en iran suite à une mission. Chat chat où t'es ou as-tu mis ton mytho, chat chat où t'es, chat chat chat chat.
Isidore s'amusait a présent à imiter son copain.
- Alors, que vois-je, une palette de poulet, donc procédons à la moyenne compensée. En considérant qu'Un-œil voit la moitié de sa cuisse, qu'Elchaponne à déjà mangé la dinde du père Noël, que Fripouille vit de chatmour et d'eau fraîche, qu'Avéame pèse deux kilos de moins que Toublanc à des poils blancs qui demandent moins de vitamines, qu'Isidore doit garder la forme pour toutes griffes dehors. Ça fait donc, deux plus deux pour eux qui donne un demi et pour moi les poulets. Donc en moyenne compensée ça fait, les poulets pour moi et les ficelles pour vous, chat chat chat.
Les autres chat le regardaient et se mirent à en rire.
- Chat chat chat chat chatchat chatchat chat.
Saturne était amusé de l'histoire de Pépère du savon englouti.
- Hé bien, à t'écouter, il serait capable de manger, un loup, ou un cheval, chat chat chat.
- Oui, c'est vrai, il serait capable de l'engloutir, il mange même mes croquettes qu'il cache à côté de son lit sous prétexte que je déchire les sacs pour les voler. Au début quand, je suis arrivé chez lui, je n'en revenais pas. Déjà que pour arriver jusqu'ici pour ma mission de surveillance ça n'a pas été de tout repos et comme tu parlais de loup et bien, j'en ai terrassé un en venant chez lui.
- Ha oui, racontez-moi ça mon frérot ça m'intéresse, rajouta.
- Hé bien voilà Saturne, le jour où je suis arrivé, je me suis perdu dans un bois et j'avais énormément faim.
- Tu n'avais pas peur mon frérot ? S'inquiétait Saturne.
- Attends laisse moi finir donc dans le bois, j'ai vu un loup, oui une meute même, j'ai miaulé tellement fort que les arbres en perdaient leurs feuilles. Oui, il faut savoir que j'ai un miaulement de cent trente-sept décibels. D'ailleurs les rapaces ont même peur de mon miaulement hyper puissant, un jour j'ai paralysé un aigle de peur en miaulant.
- Ha oui quand même, c'est impressionnant mon frérot.
- Ce n'est pas méchant Saturne, donc un de la meute qui était plus téméraire, c'est approché, je lui ai donné un tel coup de patte qu'il n'avait plus de poil sur le dos. Il a eu la peur de sa vie et crois moi que les loups sont partis en pleurant devant un Pépère en colère.
- Mais quel est le rapport avec le poète et tes croquettes ? N'empêche que je suis extrêmement impressionné.
- Attends frérot, c'était pour que tu saches ma force avant de continuer. Ensuite, pour me calmer, j'ai mis un coup de pied dans un arbre, j'étais tellement énervé qu'il ait tombé par terre, ce n'est pas pour dire. Ensuite, j'ai repris mon hélicoptère et à quelques centaines de mètres de la rivière, d'en haut, j'ai vu un taureau dans un champ qui voulait faire du mal à une poule qui se promenait. J'ai atterri vite fait, devant lui, j'ai arraché le pieu métallique d'où il s'était détaché. Je précise que le piquet en question était un morceau de rail de chemin de fer, pour l'anecdote. Hé bien, j'en ai fait un nœud de cravate devant ses yeux, je peux t'assurer qu'il tremblait devant, le bougre. Enfin après, j'ai vu la clairière et suis arrivé chez mon râteau lyophilisé pour jardinier alcoolique. De suite, j'ai commencé ma mission de surveillance et me suis placé sur une chaise sous sa fenêtre. Je l'ai regardé par la vitre. Puis un chat errant est venu taper l'incruste, il est sorti lui donné des croquettes, il l'a appelé gamin et je me suis caché pour ne pas être repéré. Il est ensuite retourné écrire et par la vitre, je l'ai vu, il plongeait la main dans le sac et mangeait les croquettes, même qu'après quand l'autre chat est parti, il a été finir son bol, et le mien pas plus tard qu'il y a une semaine devant mes yeux. Figure toi qu'il dort avec le sac de croquettes à côté de son couchage. Tout ça pour me donner des cailloux à manger après, bref. J'ai l'ai surpris de nouveau vers onze heures manger une énorme tourte tout seul, je n'ai eu le droit que de manger des rogatons soit l'emballage en clair qu'il avait jeté devant sa porte, alors qu'est-ce qu'un savon pour lui.