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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Lolo sentait une odeur étrange et Pépère était aussi de son avis.
- Hé bien, ça sent le chaud par ici, que se passe-t-il ?
- Ma pauvre Sybage, je me le demande autant que toi et Lolo. C'est peut-être ma maîtresse ne sait-on jamais, qui ait allumé un feu. Si ça se trouve elle est en train de manger mes jolis saucissons au barbecue. La voiture a dû se retourner et pour effacer toute trace, elle doit faire brûler l'essence et en aura profitée pour manger ma nourriture. Quand je pense que mon lapin de garenne nourri aux carottes vinassées d'Afghanistan à oser me traiter de chatdultaire et que sa comparse mange mes victuailles ça me dépasse. Nous irons voir dès que j'ai des nouvelles de Chatdore. Que fait-il ce patte cassée, je n'arrête pas de lui envoyer des messages pour savoir ce qui se passe vers l'étang et il ne répond pas. À tous les coups, il s'est arrêté pour dormir, ce pantouflard.
- Je lui ai demandé de nous attendre dans la voiture.
- Oui, Lolo, mais c'est moi qui donne les ordres ici. Imagine qu'ils fassent du mal à la siamoise de Fripouille pendant que nous sommes à la recherche de Bibou. Si cela arrivait, je ne pourrais plus regarder mon intelligence dans une glace.
- Hé bien, je croyais que tu avais arrêté le temps là-bas mon copain.
- Oui, Pépère, c'est ce que tu m'as dit aussi en arrivant.
- Oui, mais je l'ai remis en marche, car si Bibou est dans ce secteur, nous ne le reverrons jamais, car il serait prisonnier du temps là-bas pendant que nous le recherchons ici. Voilà pourquoi j'ai fait ainsi.
Dit moi Lolo, tu es bien gentil, mais n'oublies pas une chose. Si mon tricéphale à six mains alcoolisées m'a traité de Bouboule, de voleur, de chatdultaire, c'est parce que tu as volé sous son nez ces dix délicieuses gaufres qui sont vendues à Sancoins en face du musée des viandes. Pour ces faits très graves contre ma personne, je pourrais l'emmener en justice et lui demander de forts dédommagement, alors comprends que je sois un peu agacé. Qui plus est, tu noteras que je t'ai rétribué largement d'une gaufre et que tu en avais certainement mangé avant. Selon la moyenne compensée, si j'avais mis dans mon équation ce paramètre, tu m'aurais dû deux gaufres en plus du morceau de blanc de poulet que tu me devais déjà. Tu trouveras d'autres chats avec autant de générosité que Pépère. Je m'en doutais, car tu avais encore l'image de tes pattes pleines de gaufres dans les yeux. Je n'ai rien dit et fait comme si de rien n'était. Malgré tout, tu as eu une gaufre et moi, j'ai été largement lésé sur les valeurs énergétiques que je dois donner à mon intelligence.
Chatdore pendant ce temps était parti vers l'étang où l'attendait Ainos qui avait besoin de lui pour l'aider à libérer la siamoise. Elle avait trouvé dans le mur de la pièce où elle était prisonnière, un parpaing à moitié descellé, mais n'arrivait pas à le tirer seule. Lolo, marchait prudemment et se retournait pour voir si le cochon ne s'était pas réveillé et qu'il se serait mis à le suivre. Dans l'auto à Pépère, Coin-coin et Pêcheur étaient seuls et parlaient entre eux.
- Toc toc toc, tu penses que Lolo va arriver à aider Ainos, toc toc toc, je ne suis pas rassuré, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est ma super love gendarme poète qu'il nous aurait fallu sous le bec, fle fle fle.
- Toc toc toc, et si nous y allions pour les aider, toc toc toc, nous serions quatre et ça serait plus facile, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui, mais nous devons garder la voiture, même si j'aurais aimé les aidé et aller me baigner dans l'étang, fle fle fle.
- Toc toc toc, il y a un monstre dans l'étang, toc toc toc, c'est très dangereux, toc toc toc.
- Fle fle fle, moi je n'ai pas peur des monstres des étangs et des mares et j'en ai même déjà combattu, fle fle fle.
- Toc toc toc, tu as déjà combattu des monstres, toc toc toc, tu ne m'en as jamais parlé, toc toc toc.
- Fle fle fle, laisse moi te l'expliquer mon copain, fle fle fle.
Voilà, c'était sur ma mare, il y a un moment de ça. Un jour, ma gentille gendarme, que j'aime, était venu me voir et avait donné du pain aux petites pattes. Elle avait ramassé ce pain dans un sac qui était devant la cabane du soûlard et l'a jeté vers la mare. Les petites pattes l'ont mangé et puis elle m'a fait un bisou sur le bec et s'en est allée vers le commissariat. Les oiseaux dans la soirée étaient revenus. Fle fle fle, chose bizarre, ils avaient grossis, fle fle fle. Progressivement, ils se sont transformés en canard. J'étais content, car j'avais plein d'amis, fle fle fle. Deux jours plus tard, je me suis rendu compte en allant au canal qu'il n'y avait plus un seul poisson. Je reviens vers la mare et tous mes amis avaient la tête dans l'eau, fle fle fle. Je trouvais ça étrange, alors je suis venu te voir et ton papa m'a dit que tu étais parti en Égypte pour rendre un service.
- Toc toc toc, oui, j'étais parti aider des amies hirondelles qui étaient attaquées au bord du Nil par des poissons à pince de crabe munis de dards de frelons asiatiques, toc toc toc, communément appelé le poisson frelon du Sahara.
- Fle fle fle, oui il ne m'avais pas donné plus de précision, fle fle fle.
Donc, en revenant vers ma mare, ils n'y avaient plus mes copains. J'ai remarqué qu'ils n'y avaient plus les vaches dans le champ d'à côté. C'est alors qu'ils sont tous sortis de l'eau et que j'ai compris que s'étaient eux qui avaient mangé les vaches. C'était devenu de canarex, un hybride entre le canard et le t-rex. Ils avaient des dents de crocodile et leurs ailes avaient en pointe des crochets de scorpion du pôle Nord. Fle fle fle, sans hésité, fle fle fle, je les ai combattu à coup de bec, de plume et de patte. Sur la cinquantaine de canarex aucun n'a échappé à ma punition, fle fle fle.
- Toc toc toc, tu es rudement fort mon copain, toc toc toc.
Mais comment ça se fait qu'ils se sont transformés en canarexs les oiseaux, toc toc toc, c'est effrayant, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui mon copain ce n'est pas pour rien que je suis aussi le coéquipier de Pépère, fle fle fle.
Hé bien, le sac avait été utilisé par le soûlard pour transporter des saloperies chimiques et de l'uranium, fle fle fle, ce sont les radiations qui ont transformé les petites pattes, fle fle fle, c'était affreux.
- Toc toc toc, je veux bien te croire mon copain, toc toc toc.
Dans la soucoupe, la chatte robot Enarpilodienne ne disait plus un mot. Les circuits électriques de sa pattes cassée en deux avaient fini par mettre le feu à son corps qui se consumait de l'intérieur. Étant donné qu'il y avait une vitre de séparation, Bibou ne risquait pas d'être asphyxié par les gaz relâchés dûs à la consummation du robot. Celui-ci finit par se liquidifier et mit le feu à la soucoupe qui était éventré en deux. La zone où était Bibou était toujours intacte, mais l'absence d'électricité avait coupé la pompe qui puisait l'oxygène. Le pauvre Bibou, avait, jappé, jappé, jappé, sans aucune réponse de qui que ce soit. L'engin volant brûlait doucement et le pauvre Bibou risquait...
Le métal de la soucoupe étant d'une matière extrêmement absorbante à la chaleur qu'il n'était pour l'instant pas en danger de brûler dans la soucoupe.
Néanmoins, il devait être secouru dans les quinze minutes à venir sous risque de périr.
De derrière le fourgon, le Pépère vit la fumée au loin. Avec sa magie, il regarda à travers les fourrés et vit la soucoupe. Toujours avec sa magie, il vit Bibou inanimé à travers.
- Vite, allons-y, ce n'est pas mon aubergine, c'est la chatte robot qui était venu kidnapper Bibou pour me faire du mal.
- Tu es certain mon copain, tu vois quelque chose.
- Oui, nous ne voyons rien nous autres !
- Hé bien moi avec mes yeux surpuissants, je vois à travers la matière. Malgré ma récente chirurgie, à cause de ce que vous savez, je n'ai pas perdu de capacité. Vite, mon copain est en danger, vite !
Les trois chats partirent en courant à travers les sapins qui étaient balancés par un vent assez violent ce jour-là.
Le Pépère, malgré son embonpoint...
- Hé, soûlard, c'est nécessaire ça ?
- Je t'aime mes grosses joues.
- Tu as de la chance, que j'aime l'aubergine, je t'aime ma love maîtresse. C'est bon soûlard, tu peux continuer.
Donc, le Pépère, malgré son embonpoint était devant ses amis qui tiraient la patte.
Il arriva vers la zone de la soucoupe et se retrouva juste devant. Les arbres étaient arrachés tout autour de la zone et l'un d'eux qui pendait dans le vide sous l'action du vent fini par tomber. Le pauvre Pépère n'eut pas le temps de le voir et se retrouva dessous.
- Vite, Lolo, Pépère est accidenté sous un arbre, j'ai peur vite, Lolo.
- J'arrive ma chatmoureuse.
Les deux chats étaient décontenancés. Devant eux un Pépère évanoui sous un arbre et quelques mètres plus loin la soucoupe qui se consumait, comment allaient-ils pouvoir arriver à s'en sortir.



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Cortisone

Maître Poète
#2
Lolo sentait une odeur étrange et Pépère était aussi de son avis.
- Hé bien, ça sent le chaud par ici, que se passe-t-il ?
- Ma pauvre Sybage, je me le demande autant que toi et Lolo. C'est peut-être ma maîtresse ne sait-on jamais, qui ait allumé un feu. Si ça se trouve elle est en train de manger mes jolis saucissons au barbecue. La voiture a dû se retourner et pour effacer toute trace, elle doit faire brûler l'essence et en aura profitée pour manger ma nourriture. Quand je pense que mon lapin de garenne nourri aux carottes vinassées d'Afghanistan à oser me traiter de chatdultaire et que sa comparse mange mes victuailles ça me dépasse. Nous irons voir dès que j'ai des nouvelles de Chatdore. Que fait-il ce patte cassée, je n'arrête pas de lui envoyer des messages pour savoir ce qui se passe vers l'étang et il ne répond pas. À tous les coups, il s'est arrêté pour dormir, ce pantouflard.
- Je lui ai demandé de nous attendre dans la voiture.
- Oui, Lolo, mais c'est moi qui donne les ordres ici. Imagine qu'ils fassent du mal à la siamoise de Fripouille pendant que nous sommes à la recherche de Bibou. Si cela arrivait, je ne pourrais plus regarder mon intelligence dans une glace.
- Hé bien, je croyais que tu avais arrêté le temps là-bas mon copain.
- Oui, Pépère, c'est ce que tu m'as dit aussi en arrivant.
- Oui, mais je l'ai remis en marche, car si Bibou est dans ce secteur, nous ne le reverrons jamais, car il serait prisonnier du temps là-bas pendant que nous le recherchons ici. Voilà pourquoi j'ai fait ainsi.
Dit moi Lolo, tu es bien gentil, mais n'oublies pas une chose. Si mon tricéphale à six mains alcoolisées m'a traité de Bouboule, de voleur, de chatdultaire, c'est parce que tu as volé sous son nez ces dix délicieuses gaufres qui sont vendues à Sancoins en face du musée des viandes. Pour ces faits très graves contre ma personne, je pourrais l'emmener en justice et lui demander de forts dédommagement, alors comprends que je sois un peu agacé. Qui plus est, tu noteras que je t'ai rétribué largement d'une gaufre et que tu en avais certainement mangé avant. Selon la moyenne compensée, si j'avais mis dans mon équation ce paramètre, tu m'aurais dû deux gaufres en plus du morceau de blanc de poulet que tu me devais déjà. Tu trouveras d'autres chats avec autant de générosité que Pépère. Je m'en doutais, car tu avais encore l'image de tes pattes pleines de gaufres dans les yeux. Je n'ai rien dit et fait comme si de rien n'était. Malgré tout, tu as eu une gaufre et moi, j'ai été largement lésé sur les valeurs énergétiques que je dois donner à mon intelligence.
Chatdore pendant ce temps était parti vers l'étang où l'attendait Ainos qui avait besoin de lui pour l'aider à libérer la siamoise. Elle avait trouvé dans le mur de la pièce où elle était prisonnière, un parpaing à moitié descellé, mais n'arrivait pas à le tirer seule. Lolo, marchait prudemment et se retournait pour voir si le cochon ne s'était pas réveillé et qu'il se serait mis à le suivre. Dans l'auto à Pépère, Coin-coin et Pêcheur étaient seuls et parlaient entre eux.
- Toc toc toc, tu penses que Lolo va arriver à aider Ainos, toc toc toc, je ne suis pas rassuré, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est ma super love gendarme poète qu'il nous aurait fallu sous le bec, fle fle fle.
- Toc toc toc, et si nous y allions pour les aider, toc toc toc, nous serions quatre et ça serait plus facile, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui, mais nous devons garder la voiture, même si j'aurais aimé les aidé et aller me baigner dans l'étang, fle fle fle.
- Toc toc toc, il y a un monstre dans l'étang, toc toc toc, c'est très dangereux, toc toc toc.
- Fle fle fle, moi je n'ai pas peur des monstres des étangs et des mares et j'en ai même déjà combattu, fle fle fle.
- Toc toc toc, tu as déjà combattu des monstres, toc toc toc, tu ne m'en as jamais parlé, toc toc toc.
- Fle fle fle, laisse moi te l'expliquer mon copain, fle fle fle.
Voilà, c'était sur ma mare, il y a un moment de ça. Un jour, ma gentille gendarme, que j'aime, était venu me voir et avait donné du pain aux petites pattes. Elle avait ramassé ce pain dans un sac qui était devant la cabane du soûlard et l'a jeté vers la mare. Les petites pattes l'ont mangé et puis elle m'a fait un bisou sur le bec et s'en est allée vers le commissariat. Les oiseaux dans la soirée étaient revenus. Fle fle fle, chose bizarre, ils avaient grossis, fle fle fle. Progressivement, ils se sont transformés en canard. J'étais content, car j'avais plein d'amis, fle fle fle. Deux jours plus tard, je me suis rendu compte en allant au canal qu'il n'y avait plus un seul poisson. Je reviens vers la mare et tous mes amis avaient la tête dans l'eau, fle fle fle. Je trouvais ça étrange, alors je suis venu te voir et ton papa m'a dit que tu étais parti en Égypte pour rendre un service.
- Toc toc toc, oui, j'étais parti aider des amies hirondelles qui étaient attaquées au bord du Nil par des poissons à pince de crabe munis de dards de frelons asiatiques, toc toc toc, communément appelé le poisson frelon du Sahara.
- Fle fle fle, oui il ne m'avais pas donné plus de précision, fle fle fle.
Donc, en revenant vers ma mare, ils n'y avaient plus mes copains. J'ai remarqué qu'ils n'y avaient plus les vaches dans le champ d'à côté. C'est alors qu'ils sont tous sortis de l'eau et que j'ai compris que s'étaient eux qui avaient mangé les vaches. C'était devenu de canarex, un hybride entre le canard et le t-rex. Ils avaient des dents de crocodile et leurs ailes avaient en pointe des crochets de scorpion du pôle Nord. Fle fle fle, sans hésité, fle fle fle, je les ai combattu à coup de bec, de plume et de patte. Sur la cinquantaine de canarex aucun n'a échappé à ma punition, fle fle fle.
- Toc toc toc, tu es rudement fort mon copain, toc toc toc.
Mais comment ça se fait qu'ils se sont transformés en canarexs les oiseaux, toc toc toc, c'est effrayant, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui mon copain ce n'est pas pour rien que je suis aussi le coéquipier de Pépère, fle fle fle.
Hé bien, le sac avait été utilisé par le soûlard pour transporter des saloperies chimiques et de l'uranium, fle fle fle, ce sont les radiations qui ont transformé les petites pattes, fle fle fle, c'était affreux.
- Toc toc toc, je veux bien te croire mon copain, toc toc toc.
Dans la soucoupe, la chatte robot Enarpilodienne ne disait plus un mot. Les circuits électriques de sa pattes cassée en deux avaient fini par mettre le feu à son corps qui se consumait de l'intérieur. Étant donné qu'il y avait une vitre de séparation, Bibou ne risquait pas d'être asphyxié par les gaz relâchés dûs à la consummation du robot. Celui-ci finit par se liquidifier et mit le feu à la soucoupe qui était éventré en deux. La zone où était Bibou était toujours intacte, mais l'absence d'électricité avait coupé la pompe qui puisait l'oxygène. Le pauvre Bibou, avait, jappé, jappé, jappé, sans aucune réponse de qui que ce soit. L'engin volant brûlait doucement et le pauvre Bibou risquait...
Le métal de la soucoupe étant d'une matière extrêmement absorbante à la chaleur qu'il n'était pour l'instant pas en danger de brûler dans la soucoupe.
Néanmoins, il devait être secouru dans les quinze minutes à venir sous risque de périr.
De derrière le fourgon, le Pépère vit la fumée au loin. Avec sa magie, il regarda à travers les fourrés et vit la soucoupe. Toujours avec sa magie, il vit Bibou inanimé à travers.
- Vite, allons-y, ce n'est pas mon aubergine, c'est la chatte robot qui était venu kidnapper Bibou pour me faire du mal.
- Tu es certain mon copain, tu vois quelque chose.
- Oui, nous ne voyons rien nous autres !
- Hé bien moi avec mes yeux surpuissants, je vois à travers la matière. Malgré ma récente chirurgie, à cause de ce que vous savez, je n'ai pas perdu de capacité. Vite, mon copain est en danger, vite !
Les trois chats partirent en courant à travers les sapins qui étaient balancés par un vent assez violent ce jour-là.
Le Pépère, malgré son embonpoint...
- Hé, soûlard, c'est nécessaire ça ?
- Je t'aime mes grosses joues.
- Tu as de la chance, que j'aime l'aubergine, je t'aime ma love maîtresse. C'est bon soûlard, tu peux continuer.
Donc, le Pépère, malgré son embonpoint était devant ses amis qui tiraient la patte.
Il arriva vers la zone de la soucoupe et se retrouva juste devant. Les arbres étaient arrachés tout autour de la zone et l'un d'eux qui pendait dans le vide sous l'action du vent fini par tomber. Le pauvre Pépère n'eut pas le temps de le voir et se retrouva dessous.
- Vite, Lolo, Pépère est accidenté sous un arbre, j'ai peur vite, Lolo.
- J'arrive ma chatmoureuse.
Les deux chats étaient décontenancés. Devant eux un Pépère évanoui sous un arbre et quelques mètres plus loin la soucoupe qui se consumait, comment allaient-ils pouvoir arriver à s'en sortir.



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Pépère coincé sous un arrêt. ... Comment va t'il s'en sortir
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby