Dans la voiture de Pépère avec calme et sans agitation pour ne pas le bousculer, Lolo qui avait repris ses esprits déplaça le Pépère sur le siège passager.
Il respirait normalement et semblait dormir.
- Hé bien, il pèse un poids phénoménal mon copain. Je comprends mieux le calcul de la moyenne compensée à présent. C'est un fut d'intelligence à lui tout seul à ce que je vois. Il a dû trop mangé et c'est endormi. Il a un malaise estomatéose, c'est certain. Il faut le conduire à Sancoins et voir avec Chouânne sa maman fée qui saura quoi faire.
- Toc toc toc, je vais conduire la voiture à Pépère toc toc toc, je sais la piloter, toc toc toc.
- Fle fle fle, Lolo, occupe toi de lui, fle fle fle, je vais actionner les pédales pendant que Pêcheur conduit, fle fle fle. Je connais la gendarmerie, fle fle fle, il n'y a aucun risque, fle fle fle.
Chacun des amis à Pépère était aux petits soins pour lui. Le pauvre Pépère lui n'arrivait pas à combattre son virus et dans son sommeil, il se revoyait à son arrivée chez le poète. C'était dix jours plus tôt. À l'époque, il le prenait pour un curé. Dans son rêve, il voyait ses amis comme il les connaissait aujourd'hui.
Il dormait tranquillement à côté de Chatdore et avait l'impression de ne pas le connaître dans son rêve...
- tu gardes ma cabane petit chat.
Lui dit l'homme qui avait l'air pressé. Il monta dans la voiture et commença à rouler en ouvrant une vitre. Pépère fit un saut en l'air.
- Ce n'est pas possible la musique, c'était la messe !!! La messe non !! Pépère était médusé merde un curé. Hé Chatdore, il te fait la messe le soûlard.
- Hé bien, tu me parles, je ne suis plus un chatcamain.
- Non mon copain, tu es mon coéquipier.
Il était couché sous un noyer et revint vers le chalet. Celui-ci était monté sur une estrade, il eut très peur.
- C'est sûrement inondable, ici mince.
- Oui mon général coéquipier, c'est inondable. L'hiver, il circule un ruisseau à cet endroit et des pieuvres y viennes réclamer de la vinasse au soûlard.
Il se demandait où était parti ce prêtre habillé en civile, il vit à l'entrée du terrain deux autres voitures, une quatre ailes vert pomme, et un coupé sport rouge et gris, il y alla pour inspecter de plus près. Deux jolis parterres de fleurs trônaient dans cet espace. Il se demandait bien chez quel genre de curé, il était. Le coupé lui plaisait bien, il imaginait le curé lancé à cent quatre-vingt kilomètres à l'heure avec de la musique techno à fond en soutane et il en rigolait tout seul.
- Hé bien, il n'a pas l'air de souffrir, vas-y Pêcheur, tu peux démarrer, je lui ai mis la ceinture. Ce n'était pas facile avec le maillot de bain.
Le Pépère était légèrement éveillé et se demandait ce qui se passait. Il était avec Chatdore et maintenant, c'est Lolo qui parlait à côté de lui. Il crut voir Pêcheur conduire sa voiture.
- Toc toc toc, je suis Choumapècheur, toc toc toc, champion de formule un, toc toc toc. Plus de risque, c'est moi qui conduit, toc toc toc, débraye, Coin-coin, yes, Choumapècheur au volant, toc tu es mon toc et quand tu me toques, je fais toc toc.
- Fle, je suis ton fle, et quand tu me dis freine, je fais fle fle, et quand tu me dis débraye, je fais fle fle fle.
- Pêcheur, volant en bec roulait vers sancoins en chantant avec son ami.
Lolo qui surveillait pépères vit que celui-ci s'éveillait et fit signe à Pêcheur de s'arrêter.
- Toc toc toc, je me gare ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, ne te met pas au fossé, fle fle fle.
- Toc toc toc, je suis sur le parking, toc toc toc, Pépère se réveille, yes, toc, tu es mon toc et quand tu me toques, je fais toc toc.
Pépère était entièrement réveillé, mais un peu chancelant.
- Ça va mon copain ?
- Oui, mon copain, ce n'est rien, j'ai été piqué par un frelogland chinois dans le bois. En plus, j'ai eu une crise d'estomatéose.
- Fle fle fle, Lolo l'avait bien dit, fle fle fle, c'est un médecin de bête, fle fle fle.
- Toc toc toc, il aurait pu travailler avec le chatmu, toc toc toc, il est aussi fort en médecine que je suis Choumapècheur, toc toc toc.
- Tu nous as fait peur mon copain, nous avons cru que tu avais fait un malaise.
- Non, ça va les copains. Pépère n'a jamais eu de malaise de sa vie. Même quand, je me suis retrouvé blessé le onze septembre après le sauvetage que j'ai fait. Même pendant mes treize heures d'opération, je suis resté conscient. C'est le frelogland qui m'a fait ça, saleté de bestiole. Hé oui Pépère encore victime de ses inventions.
- Toc toc toc, qu'est-ce que c'est que ça, toc toc toc.
- Fle fle fle, qu'est-ce que tu as inventé, fle fle fle.
- Hé bien voilà, je vais vous l'expliquer. Il y a longtemps de cela en Chine les forêts de chênes se sont vues se faire voler leurs nourrissons.
À l'époque, je travaillais là-bas dans un cabinet d'architecture sur le projet de la grande muraille.
Il faut savoir qu'à l'époque les habitants de la Chine faisaient de la farine pour le pain avec des glands de chêne.
Un jour, la production de farine se mit à se faire de plus en plus rare. Puis un matin, ce fut la catastrophe, plus de pain.
Chinois premier, vient me voir et me dit comme ça.
- Écoute Pépère, abandonne ce projet, car nous sommes contraint de quitter la Chine pour rejoindre l'Europe. Voilà, nous ne pouvons plus produire de farine et nous n'avons plus de pain.
Pire que ça nous ne pouvons plus faire de riz de synthèse, car c'est la même farine qui sert à sa composition.
- Je lui demande, comment faites vous la farine ?
- Avec des glands de chêne mon ami. Voilà les chênes se font voler leurs nourrissons et du coup la matière première du pain et du riz.
Pépère, roi de la langue de l'estomac, inventeur du poulet lyophilisé, que pouvons nous faire ?
- Je vais enquêter, que je lui aie répondu.
J'ai donc fait des recherches et j'ai trouvé les voleurs. C'étaient des poissons volants qui vivaient dans la mer qui volaient les glands pour fabriquer du ciment. Tout ça à cause d'un poisson volant portugais qui était venu en vacance en Chine et leur avait appris la technique du ciment de gland chêne. J'ai donc inventé grâce à ma maîtrise de la génétique, le frelogland. C'est un frelon qui se déguise en gland de chêne et se met aux bouts des branches des chênes. Les bestioles inoculent un sérum de l'oublie du ciment de chêne chez les poissons volants. En quelques mois, tout est rentré dans l'ordre, les poissons avaient tout oublié. Il y a un essaim de frelogland dans ce bois et je suis tombé dessus tout à l'heure. Le problème, c'est que sur le chat ça provoque une estomatéose, en clair un malaise bénin de l'estomac. Le problème, c'est que le mien est rempli d'intelligence et j'ai eu un malaise de l'intelligence.
- Toc toc toc, tu nous as fait peur, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai prié très fort sainte petites pattes, fle fle fle.
- Tu te sens mieux, tu vas pouvoir conduire mon copain.
- Oui, je suis indestructible.
Sous la cabane, Chatdore était toujours avec Bibou qui lui demandait ce que faisait le poète.
- Hé bien, il est en train de manger. Que veux-tu qu'il fasse d'autres.
- Tant qu'il ne nous mange pas, whouaf whouaf whouaf.
- Hé bien, Pépère m'a dit qu'une fois un soir de famine, il a failli passer dans le chaudron, mais je pense qu'il a menti.
- Whouaf, raconte moi ça mon copain ça m'intéresse.
- Hé bien, c'est un jour où tu étais chez le torturien à Sancoins à ce qu'il m'a dit.
Pépère était couché sur le canapé et dans la pièce voisine, il y avait du bruit et il se demandait ce que c'était.
- Qu'est-ce qu'ils trafiquent à côté, ils préparent la marmite pour Pépère où quoi se disait-il.
C'était le frère du poète qui allumait le feu et sa mère arrivant est passée à côté de Pépère avec indifférence puis s'assit et se mit à boire son café en le regardant comme un casse-croûte.
Il était outré qu'on l'ignore ainsi.
Il ne s'est d'ailleurs pas gêné de lui dire, hé alors femme, on passe devant l'un des plus grands héros de la planète, et même pas une caresse, je suis profondément ulcéré. Puis elle a demandé à son soûlard de fils s'il allait te chercher. Pépère se disait, et s'il nous faisait cuire l'un derrière l'autre en parlant de toi.
- Tu vas chercher le chien à quelle heure ? Qu'elle lui a demandé
- Vers neuf heures pourquoi. Je crois que Pépère est ravis.
- Il n'y en a que pour lui maintenant a-t-elle dit.
- Pépère à rétorqué, normal non, des chats comme moi, il n'y en a guère qu'est vu l'Irak et fait la guerre. Non mais !! Révérence.
Puis le soûlard a disparu de l'autre côté et s'est mis à parler à Momo pour le rassurer de l'arrivée du chien. Mimine qui était descendue était totalement indifférente à cette venue. Pépère se disait, si l'aristochat à peur ce n'est pas pour rien.
Pépère est parti vers la porte se disant fuyons de ce guet-apens, le poète est arrivé en courant derrière et a dit assez fort.
Vous ne le laissez pas sortir surtout. Et il l'a pris dans ses bras et le ramena sur le canapé pour l'amadouer, selon les dures de pépère. Il l'a même insulté lui disant, tu pèses ton poids mon gaillard dit donc. Dort un peu mon gamin, je vais chercher Bibou. Tu es mignon comme tout. En disant cela, il le caressait doucement. Pépère était furax et lui a répondu dit que je suis gros tant que tu y es non mais tu t'es vu feuille d'érable malnutrie à l'azote d'Uruguay. Bien sûr que je suis mignon, autant que tu es poivrot. Allez au lieu de parler va chercher Bibou. La soûlarde t'attend à l'auberge des moines, fait attention en rentrant si tu accidentes mon copain, je te mange en civet et oublie le harnais. Heu non oublie, tu n'as que des os, j'avais oublié. Momo partit vers la cuisine et le poète disparu avec.
Pépère s'est précipité vers la fenêtre pour le regarder partir. Il avait le téléphone à la main.
Dans la matinée, il s'est échappé, et le soûlard s'est dit méfiance, ce chat est célèbre.
Voilà mon copain, c'est Pépère qui m'a raconté ça.
- Whouaf, il a dit des bêtises en un moment de colère ça arrive. Whouaf tu es mon whouaf et quand je te whouaf je fais whouaf whouaf. Non, mon maître aime les animaux, whouaf.
Il respirait normalement et semblait dormir.
- Hé bien, il pèse un poids phénoménal mon copain. Je comprends mieux le calcul de la moyenne compensée à présent. C'est un fut d'intelligence à lui tout seul à ce que je vois. Il a dû trop mangé et c'est endormi. Il a un malaise estomatéose, c'est certain. Il faut le conduire à Sancoins et voir avec Chouânne sa maman fée qui saura quoi faire.
- Toc toc toc, je vais conduire la voiture à Pépère toc toc toc, je sais la piloter, toc toc toc.
- Fle fle fle, Lolo, occupe toi de lui, fle fle fle, je vais actionner les pédales pendant que Pêcheur conduit, fle fle fle. Je connais la gendarmerie, fle fle fle, il n'y a aucun risque, fle fle fle.
Chacun des amis à Pépère était aux petits soins pour lui. Le pauvre Pépère lui n'arrivait pas à combattre son virus et dans son sommeil, il se revoyait à son arrivée chez le poète. C'était dix jours plus tôt. À l'époque, il le prenait pour un curé. Dans son rêve, il voyait ses amis comme il les connaissait aujourd'hui.
Il dormait tranquillement à côté de Chatdore et avait l'impression de ne pas le connaître dans son rêve...
- tu gardes ma cabane petit chat.
Lui dit l'homme qui avait l'air pressé. Il monta dans la voiture et commença à rouler en ouvrant une vitre. Pépère fit un saut en l'air.
- Ce n'est pas possible la musique, c'était la messe !!! La messe non !! Pépère était médusé merde un curé. Hé Chatdore, il te fait la messe le soûlard.
- Hé bien, tu me parles, je ne suis plus un chatcamain.
- Non mon copain, tu es mon coéquipier.
Il était couché sous un noyer et revint vers le chalet. Celui-ci était monté sur une estrade, il eut très peur.
- C'est sûrement inondable, ici mince.
- Oui mon général coéquipier, c'est inondable. L'hiver, il circule un ruisseau à cet endroit et des pieuvres y viennes réclamer de la vinasse au soûlard.
Il se demandait où était parti ce prêtre habillé en civile, il vit à l'entrée du terrain deux autres voitures, une quatre ailes vert pomme, et un coupé sport rouge et gris, il y alla pour inspecter de plus près. Deux jolis parterres de fleurs trônaient dans cet espace. Il se demandait bien chez quel genre de curé, il était. Le coupé lui plaisait bien, il imaginait le curé lancé à cent quatre-vingt kilomètres à l'heure avec de la musique techno à fond en soutane et il en rigolait tout seul.
- Hé bien, il n'a pas l'air de souffrir, vas-y Pêcheur, tu peux démarrer, je lui ai mis la ceinture. Ce n'était pas facile avec le maillot de bain.
Le Pépère était légèrement éveillé et se demandait ce qui se passait. Il était avec Chatdore et maintenant, c'est Lolo qui parlait à côté de lui. Il crut voir Pêcheur conduire sa voiture.
- Toc toc toc, je suis Choumapècheur, toc toc toc, champion de formule un, toc toc toc. Plus de risque, c'est moi qui conduit, toc toc toc, débraye, Coin-coin, yes, Choumapècheur au volant, toc tu es mon toc et quand tu me toques, je fais toc toc.
- Fle, je suis ton fle, et quand tu me dis freine, je fais fle fle, et quand tu me dis débraye, je fais fle fle fle.
- Pêcheur, volant en bec roulait vers sancoins en chantant avec son ami.
Lolo qui surveillait pépères vit que celui-ci s'éveillait et fit signe à Pêcheur de s'arrêter.
- Toc toc toc, je me gare ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, ne te met pas au fossé, fle fle fle.
- Toc toc toc, je suis sur le parking, toc toc toc, Pépère se réveille, yes, toc, tu es mon toc et quand tu me toques, je fais toc toc.
Pépère était entièrement réveillé, mais un peu chancelant.
- Ça va mon copain ?
- Oui, mon copain, ce n'est rien, j'ai été piqué par un frelogland chinois dans le bois. En plus, j'ai eu une crise d'estomatéose.
- Fle fle fle, Lolo l'avait bien dit, fle fle fle, c'est un médecin de bête, fle fle fle.
- Toc toc toc, il aurait pu travailler avec le chatmu, toc toc toc, il est aussi fort en médecine que je suis Choumapècheur, toc toc toc.
- Tu nous as fait peur mon copain, nous avons cru que tu avais fait un malaise.
- Non, ça va les copains. Pépère n'a jamais eu de malaise de sa vie. Même quand, je me suis retrouvé blessé le onze septembre après le sauvetage que j'ai fait. Même pendant mes treize heures d'opération, je suis resté conscient. C'est le frelogland qui m'a fait ça, saleté de bestiole. Hé oui Pépère encore victime de ses inventions.
- Toc toc toc, qu'est-ce que c'est que ça, toc toc toc.
- Fle fle fle, qu'est-ce que tu as inventé, fle fle fle.
- Hé bien voilà, je vais vous l'expliquer. Il y a longtemps de cela en Chine les forêts de chênes se sont vues se faire voler leurs nourrissons.
À l'époque, je travaillais là-bas dans un cabinet d'architecture sur le projet de la grande muraille.
Il faut savoir qu'à l'époque les habitants de la Chine faisaient de la farine pour le pain avec des glands de chêne.
Un jour, la production de farine se mit à se faire de plus en plus rare. Puis un matin, ce fut la catastrophe, plus de pain.
Chinois premier, vient me voir et me dit comme ça.
- Écoute Pépère, abandonne ce projet, car nous sommes contraint de quitter la Chine pour rejoindre l'Europe. Voilà, nous ne pouvons plus produire de farine et nous n'avons plus de pain.
Pire que ça nous ne pouvons plus faire de riz de synthèse, car c'est la même farine qui sert à sa composition.
- Je lui demande, comment faites vous la farine ?
- Avec des glands de chêne mon ami. Voilà les chênes se font voler leurs nourrissons et du coup la matière première du pain et du riz.
Pépère, roi de la langue de l'estomac, inventeur du poulet lyophilisé, que pouvons nous faire ?
- Je vais enquêter, que je lui aie répondu.
J'ai donc fait des recherches et j'ai trouvé les voleurs. C'étaient des poissons volants qui vivaient dans la mer qui volaient les glands pour fabriquer du ciment. Tout ça à cause d'un poisson volant portugais qui était venu en vacance en Chine et leur avait appris la technique du ciment de gland chêne. J'ai donc inventé grâce à ma maîtrise de la génétique, le frelogland. C'est un frelon qui se déguise en gland de chêne et se met aux bouts des branches des chênes. Les bestioles inoculent un sérum de l'oublie du ciment de chêne chez les poissons volants. En quelques mois, tout est rentré dans l'ordre, les poissons avaient tout oublié. Il y a un essaim de frelogland dans ce bois et je suis tombé dessus tout à l'heure. Le problème, c'est que sur le chat ça provoque une estomatéose, en clair un malaise bénin de l'estomac. Le problème, c'est que le mien est rempli d'intelligence et j'ai eu un malaise de l'intelligence.
- Toc toc toc, tu nous as fait peur, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai prié très fort sainte petites pattes, fle fle fle.
- Tu te sens mieux, tu vas pouvoir conduire mon copain.
- Oui, je suis indestructible.
Sous la cabane, Chatdore était toujours avec Bibou qui lui demandait ce que faisait le poète.
- Hé bien, il est en train de manger. Que veux-tu qu'il fasse d'autres.
- Tant qu'il ne nous mange pas, whouaf whouaf whouaf.
- Hé bien, Pépère m'a dit qu'une fois un soir de famine, il a failli passer dans le chaudron, mais je pense qu'il a menti.
- Whouaf, raconte moi ça mon copain ça m'intéresse.
- Hé bien, c'est un jour où tu étais chez le torturien à Sancoins à ce qu'il m'a dit.
Pépère était couché sur le canapé et dans la pièce voisine, il y avait du bruit et il se demandait ce que c'était.
- Qu'est-ce qu'ils trafiquent à côté, ils préparent la marmite pour Pépère où quoi se disait-il.
C'était le frère du poète qui allumait le feu et sa mère arrivant est passée à côté de Pépère avec indifférence puis s'assit et se mit à boire son café en le regardant comme un casse-croûte.
Il était outré qu'on l'ignore ainsi.
Il ne s'est d'ailleurs pas gêné de lui dire, hé alors femme, on passe devant l'un des plus grands héros de la planète, et même pas une caresse, je suis profondément ulcéré. Puis elle a demandé à son soûlard de fils s'il allait te chercher. Pépère se disait, et s'il nous faisait cuire l'un derrière l'autre en parlant de toi.
- Tu vas chercher le chien à quelle heure ? Qu'elle lui a demandé
- Vers neuf heures pourquoi. Je crois que Pépère est ravis.
- Il n'y en a que pour lui maintenant a-t-elle dit.
- Pépère à rétorqué, normal non, des chats comme moi, il n'y en a guère qu'est vu l'Irak et fait la guerre. Non mais !! Révérence.
Puis le soûlard a disparu de l'autre côté et s'est mis à parler à Momo pour le rassurer de l'arrivée du chien. Mimine qui était descendue était totalement indifférente à cette venue. Pépère se disait, si l'aristochat à peur ce n'est pas pour rien.
Pépère est parti vers la porte se disant fuyons de ce guet-apens, le poète est arrivé en courant derrière et a dit assez fort.
Vous ne le laissez pas sortir surtout. Et il l'a pris dans ses bras et le ramena sur le canapé pour l'amadouer, selon les dures de pépère. Il l'a même insulté lui disant, tu pèses ton poids mon gaillard dit donc. Dort un peu mon gamin, je vais chercher Bibou. Tu es mignon comme tout. En disant cela, il le caressait doucement. Pépère était furax et lui a répondu dit que je suis gros tant que tu y es non mais tu t'es vu feuille d'érable malnutrie à l'azote d'Uruguay. Bien sûr que je suis mignon, autant que tu es poivrot. Allez au lieu de parler va chercher Bibou. La soûlarde t'attend à l'auberge des moines, fait attention en rentrant si tu accidentes mon copain, je te mange en civet et oublie le harnais. Heu non oublie, tu n'as que des os, j'avais oublié. Momo partit vers la cuisine et le poète disparu avec.
Pépère s'est précipité vers la fenêtre pour le regarder partir. Il avait le téléphone à la main.
Dans la matinée, il s'est échappé, et le soûlard s'est dit méfiance, ce chat est célèbre.
Voilà mon copain, c'est Pépère qui m'a raconté ça.
- Whouaf, il a dit des bêtises en un moment de colère ça arrive. Whouaf tu es mon whouaf et quand je te whouaf je fais whouaf whouaf. Non, mon maître aime les animaux, whouaf.
