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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Il posa sur le bureau un énorme pain au raisin qu'il était en train de manger en téléphonant bien qu'il ne fut que quatorze heures.
- Je te laisse mon amour, je te rappelle j'ai cru voir l'énorme tête de pépère derrière le carreau. Oui chérie ne t'inquiète pas.
Pépère était tellement pressé de voir les denrées à la cabane qu'il monta un stratagème avec Lolo. Celui ci devait venir gratter la porte pour forcer la mère du poète qui résidait ici à ouvrir la porte. Il fit comme son copain lui indiqua de faire, gratter une porte et ensuite fuir à l'autre et gratter pour la distraire le temps qu'elle ouvre l'autre. Il s'enfuit assez rapidement entre ses jambes dès que l'ouverture fut assurée. Il entendit derrière lui la femme qui pestait.
- Saleté de chat il m'aurait fait tombé.
Le frère du poète dans l'autre pièce avait ouvert en même temps.
- Qu'est-ce qui ce passe ici. Qui gratte la porte. Le chat dehors, le chat.
- Oui merde !!
- Le Pépère, il s'est sauvé.
- Oui merde, j'ai autre chose à faire que de m'occuper des chats.
Les deux portes claquèrent en même temps. Il arriva derrière le puit qui était dans la cour là où il avait demandé à Lolo de l'attendre.
- Youpiii copain tu es là. Comment tu vas.
- Ça pourrait aller mieux, on m'a fait une rhinoplastie. Je n'arrive pas à digérer l'anesthésie.
- C'est quoi ça ?
- C'est une opération du nez.
- Pourquoi on t'a fait ça mon copain.
- C'est à cause du morceau d'arc en ciel qui m'est rentré dans le nez. Tu te souviens quand on était dans l'hélicoptère.
- Oui je sais tu n'arrêtais pas d'éternuer.
- Oui j'ai été admis hier soir dans un état critique je ne pouvais plus respirer. Comme mon nez a déjà été fragilisé en Irak à cause des gaz quand je ramenais Junk sur mon dos vers l'hélicoptère c'était la catastrophe. J'ai été opéré par le Dr Cédric Kron le meilleur chirurgien esthétique de Paris. Dr a qui d'ailleurs dans le passé j'ai donné des cours à la faculté de médecine de Bordeaux.
- Hé bien dit donc, tu n'as pas mal.
- Non c'est la routine pour Pépère, dit moi plutôt des nouvelles de la cabane.
- Aux dernières nouvelles quand je l'ai laissé il était au téléphone avec la lune il mangeait et buvait un café.
- Ne t'y trompe pas Lolo c'est de la gnôle avec du café.
- Tu crois, peut-être pas quand même. En même temps il regardait une vidéo que la lune lui a envoyé sur le monde agricole.
- Le monde agricole, Diantre comme dirait Ferrari tu es sur !
- Oui j'ai entendu plusieurs fois le mot villageoise et les vignes couleurs bordeaux du ciel la terre et tout ça...
- je comprends mieux, la villageoise c'est un vin de soûlard, ils en vident des barriques tous les matins à l'auberge des moines. Tout à l'heure il a essayé de me donner une pillule il empestait la vinasse. D'un coup de moustache je l'ai terrassé, après vu qu'il tenait à peine debout je n'ai pas eu de mal. Sinon dis moi ce qu'il trafique maintenant.
- Il fait une cabane dans son terrain je crois qu'il m'a repéré.
- C'est malin ça allons voir le gaillard, enfin les étagères surtout.
Ils partirent ensemble vers le terrain. Pépère s'arrêta net en face de la clôture. Hé la jument où est elle je ne l'ai pas vu.
- Sûrement dans sa cabane pourquoi.
- Pour m'amuser je lui aurait bien offert un pet anesthésique aromatisé aux rogatons qu'on m'a forcé à manger.
- Ne soit pas méchant elle gentille Cookie.
- Oui tu as raison mon copain j'irai la voir tout à l'heure pour m'excuser d'hier.
Ils longèrent tous les deux la clôture et Pépère se dirigea sur la chaise pour regarder à travers la fenêtre.
- reste de l'autre côté Lolo si je suis repéré et qu'il ouvre la porte entre vite fait je partirai dans le fond du terrain pour la diversion et vole cette succulente saucisse. J'ai les crocs !!!
Le poète sortit rapidement et Lolo entra rapidement mais la porte se referma sur lui. Il était prisonnier n'ayant pas son Galaxy ace et comme il n'était pas très futé il ne savait pas quoi faire. Il se coucha derrière la porte tout penaud et attendit.
- Viens Pépère qu'est ce que tu fais la. Viens gamin.
- Va te faire voir soûlard va donc voir ta lune pour vider des barriques de villageoise. Arrête de crier comme ça ton haleine va tuer toute la forêt derrière moi par asphyxie.
Le poète se dirigeait vers le chat et arrivait sur l'hélicoptère. Non seulement il lui était invisible mais il était aussi immatériel ce qui eut pour effet qu'il passait à travers l'appareil en marchant. Pépère qui avait peur pour son engin était resté figé et se retrouva dans ses bras sans ne rien comprendre.
- Bandit, salopard lâche moi. J'ai faim, tu refoules du goulot mon salaud. Fait péter le bocal de cassoulet curé et la saucisse. Mais où est mon copain. Quel lache il a fuit. L'homme marchait rapidement et le ramenait à la maison.
- Ce n'est pas gentil ça gamin si ton état s'aggrave je devrais te ramener au plus vite chez le vétérinaire.
Il arrivait à la maison et en entrant dit à sa mère.
- Vous ne pouvez pas faire attention je vous ai dit de le garder ici au chaud.
- je n'y peux rien, un espèce de chat noir était derrière la porte il grattait j'ai ouvert et il m'a passé entre les jambes.
- Je le remets dans le canapé et faites attention maintenant. Vous avez sorti le chien qu'il fasse ses besoins.
Son frère prit la parole.
- Oui je l'ai emmener promener il ne bouge pas il est adorable.
Il répartit vers la cabane pour appeler son amour et la rassurer sur Pépère à qui il tenait déjà beaucoup.
Junk le regardait comme un air de dire que s'est-il passé.
- Toi aussi on t'a promené Pépère.
- Non j'ai du m'enfuir d'urgence suite à un message de la CIA.
- Ha bon pourquoi.
- J'ai été informé de représailles par leurs services. Lors de ma dernière mission au Koweït un groupe djihadiste à posé une balise GPS dans mon engin. Si j'avais su que cette invitation que j'ai faite me mettrais en danger un jour je ne l'aurais jamais cru. Donc je me suis enfuis par le trou de la cheminée. Arrivé la bas il y avait douze terroristes que j'ai neutralisé et enterré dans le bois. Tu verras un endroit où il y a au moins deux cents cinquante arbres arrachés c'est ici.
Pépère avait repéré cet endroit qui était les restes d'une terrible tempête.
- Quand même deux cents cinquante, je verrai quand j'irai.
- Oui peut-être plus d'un seul coup de souffle.


La suite très prochainement