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Pépère le chat du poète. Suite. 25 novembre

#1
Momo répartit vers l'entrée du chemin. Il avait crainte que le bandit ait été ailleurs entre temps. Puis, il se rassura en se disant qu'il n'y avait qu'ici qu'il pouvait être tranquille, malgré qu'il eut l'imprudence de faire de la fumée avec le chauffage. Il reçu un message de Lolo pour l'avertir qu'ils arrivaient tous à son niveau d'ici peu. Momo en attendant en profitait pour admirer le ciel qui naissait doucement d'une maladive nuit d'hiver. Le brouillard sur l'aubépine des haies dessinait de longs spectre où le vent venait s'engouffrer sous ses robes. Il n'arrêtait pas de penser au petit chat qu'il avait aperçu dans la maison et au chien qu'il ne connaissait pas non plus.
À Sancoins Liettuje, était à nouveau seule. Leïlanne sillonnait l'univers en direction de vénus. Chouânne l'attendait déjà sur la planète inconnue. Elle en profitait pour visiter les petits frères et sœurs de son tigrou. C'est ici qu'ils furent déposés par une autre fée de Mercure, ils y avaient déjà des années. Elle était ravie de les revoir, et même s'ils ne savaient qu'elle fut leur maîtresse fut un temps, ils l'aimaient particulièrement.
À la brasserie, c'était la révolution. Le ministre était au téléphone avec le président. L'ordre d'une grève générale avait été décrété. Les manifestants pour se reconnaître étaient appelés à porter un gilet brin avec deux traits rouges dans le dos avec la mention( ss) pour l'acronyme de (sans secours). Les médecins voulaient des stéthoscopes en platines, les usagers de la routes des Porches 911, les familles françaises voulaient plus de moyens pour passer de cinq à dix télévisions par foyer de trois abonnements internet à huit, être enterrés gratuitement, les directeurs de supermarché vendre du Nutella à prix coûtant. Enfin, c'était la foire d'empoigne et chaque groupement y allait de sa soupe. Si bien que la situation fût absolument ingérable par le gouvernement. Le ministre ne savait pas comment faire et le barbecue ne pouvait être annulé, car selon le président cela risquait d'amener encore d'autres revendications. Le pape se frottait les mains et cela agaçait le ministre qui lui dit.
- Vous mon seigneur qui prônez la paix. Vous êtes ravi de voir des gens se quereller et se haïr, je ne comprends pas pourquoi.
- Hé bien, cet événement va augmenter la production d'armement que finance le Vatican. Oui, vous savez cela est très bénéfique pour nous. Les pays pauvres se meurent, nous prions pour eux et les visitons, ils nous font confiance comme messager de Dieu et nous faisons la quête en leur disant que Dieu les aidera. En échange, les pays industrialisés vendent des armes à leurs armées qui dépensent l'argent qui aurait pu les nourrir. Les gouvernements les montent l'un contre l'autre et ils se battent. Se réfugient dans l'espérance de Dieu, ilsprient et nous donne le fruit des quêtes. Nous, nous investissons dans l'armement ce qui nous permet derrière eux d'être la deuxième puissance économique mondiale. Alors là, avec ce mouvement, c'est un bon rendement pour nous. Je vais d'ailleurs cet après-midi faire une messe et la quête, cela me paiera mon essence et mon billet de retour lol.
- Monsieur le Pape vous êtes immoral.
- Que voulez-vous monsieur chacun ses intérêts, du moment que l'on ne fait de mal à personne.
Le ministre était outré de cette révélation du pape. Il n'osait plus sortir à présent, car il avait peur pour sa sécurité. Il trouva le numéro à Pépère sur sa chaîne internet et lui envoya un message.
Elchaponne était furax. Cela faisait une demi-heure qu'il était bloqué dans les embouteillages à cause du mouvement qui s'était déclaré. Le barrage était à l'entrée de Sancoins sous les ordres du brigadier Tatouvu qui avait promis de verbaliser les chauffeurs des camions qui tenteraient de passer pour ravitailler la ville. Néanmoins, il autorisa la livraison des liquides pour peu qu'ils soient alcoolisés. Il avait dit au manifestant qu'il ne pouvait les priver de remontant. Mais déjà, les participants parlaient de rompre le mouvement si le soir, ils n'avaient pas gain de cause, car les soldes débutaient le lendemain et personne ne voulait rater l'événement du début d'année.
Entre temps, le poète était rentré de Sancoins et il revenait à pieds de sa cabane pour aller chez sa mère. Il croisa une voiture et pensa dans sa tête. Mais c'est la grosse tête à Pépère. Lui demanda qu'on le laisse devant le chemin, car il disait qu'il devait aller chercher une paire de chaussures sèches les siennes étant mouillées et qu'un héros ne doit être indisposé à ce point. En réalité, c'est simplement qu'il avait faim et ne voulait pas partager ses poulets avec quatre chats. L'huissier se gara un peu avant le virage qui finissait la route avant le chemin boueux. Plus loin, Momo attendait et il ne pouvait pas voir l'auto à cause de la courbe. Le Pépère partit en courant, mais au bout de deux mètres engagé dans le chemin, il s'arrêta sachant que personne ne pouvait le voir. Il n'en pouvait plus et faisait des arf arf arf, vite de l'air arf arf arf, quel idée de courir comme ça. Il reprit son chemin et se dirigea au fond du terrain derrière le vieux fourgon qui servait pour ranger des outils. Il mangea un poulet entier en quelques minutes. Entre temps, le poète ayant oublié de prendre une bouteille d'eau qu'il devait remplir, était reparti vers la cabane. Il trouva bizarre de revoir cette automobile garée non loin de son chemin. En marchant, il pensa à un outil qu'il devait récupérer au fond dans le vieux fourgon. Le pépère avait fini son deuxième poulet et s'apprêtait à ouvrir une autre caisse. Une voix le fit sursauter.
- Hé bien Pépère qu'est ce que tu fais là. Tu as faim gamin, viens, je vais te donner des bonnes croquettes.
Heureusement les caisses sont invisibles pour mon soûlard se dit-il et Pépère le regarda méchamment.
- Qu'est-ce que ça peut te faire sac à vin. Une chance que les caisses te soient invisibles sinon tu aurais déjà mangé tous mes poulets. Et toi qu'est ce que tu fais ici, tu caches ta vinasse dans le fourgon certainement espèce de curé Argentin dégrossi à la messe d'Éthiopie. Tes croquettes pourries du commissariat remplies de produits hallucinogènes, tu n'as qu'à en faire des friandises pour ta soûlarde. Au fait, je t'informe que le harnais est en grève. Alors va t'occuper du monstre que tu élèves dans ton gourbi avec des saloperies chimiques et fiche moi la paix.
Il repartit en courant jusqu'à la grille du terrain, tandis que derrière lui le poète disait.
- Pépère, viens, Pépère, viens manger tes bonnes croquettes, humm, c'est pour qui les bonnes croquettes !
- Tu sais où tu peux les servir tes croquettes pourries, arf arf arf, à la table de ta soûlarde à l'apéritif arf arf arf...


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#2
Momo répartit vers l'entrée du chemin. Il avait crainte que le bandit ait été ailleurs entre temps. Puis, il se rassura en se disant qu'il n'y avait qu'ici qu'il pouvait être tranquille, malgré qu'il eut l'imprudence de faire de la fumée avec le chauffage. Il reçu un message de Lolo pour l'avertir qu'ils arrivaient tous à son niveau d'ici peu. Momo en attendant en profitait pour admirer le ciel qui naissait doucement d'une maladive nuit d'hiver. Le brouillard sur l'aubépine des haies dessinait de longs spectre où le vent venait s'engouffrer sous ses robes. Il n'arrêtait pas de penser au petit chat qu'il avait aperçu dans la maison et au chien qu'il ne connaissait pas non plus.
À Sancoins Liettuje, était à nouveau seule. Leïlanne sillonnait l'univers en direction de vénus. Chouânne l'attendait déjà sur la planète inconnue. Elle en profitait pour visiter les petits frères et sœurs de son tigrou. C'est ici qu'ils furent déposés par une autre fée de Mercure, ils y avaient déjà des années. Elle était ravie de les revoir, et même s'ils ne savaient qu'elle fut leur maîtresse fut un temps, ils l'aimaient particulièrement.
À la brasserie, c'était la révolution. Le ministre était au téléphone avec le président. L'ordre d'une grève générale avait été décrété. Les manifestants pour se reconnaître étaient appelés à porter un gilet brin avec deux traits rouges dans le dos avec la mention( ss) pour l'acronyme de (sans secours). Les médecins voulaient des stéthoscopes en platines, les usagers de la routes des Porches 911, les familles françaises voulaient plus de moyens pour passer de cinq à dix télévisions par foyer de trois abonnements internet à huit, être enterrés gratuitement, les directeurs de supermarché vendre du Nutella à prix coûtant. Enfin, c'était la foire d'empoigne et chaque groupement y allait de sa soupe. Si bien que la situation fût absolument ingérable par le gouvernement. Le ministre ne savait pas comment faire et le barbecue ne pouvait être annulé, car selon le président cela risquait d'amener encore d'autres revendications. Le pape se frottait les mains et cela agaçait le ministre qui lui dit.
- Vous mon seigneur qui prônez la paix. Vous êtes ravi de voir des gens se quereller et se haïr, je ne comprends pas pourquoi.
- Hé bien, cet événement va augmenter la production d'armement que finance le Vatican. Oui, vous savez cela est très bénéfique pour nous. Les pays pauvres se meurent, nous prions pour eux et les visitons, ils nous font confiance comme messager de Dieu et nous faisons la quête en leur disant que Dieu les aidera. En échange, les pays industrialisés vendent des armes à leurs armées qui dépensent l'argent qui aurait pu les nourrir. Les gouvernements les montent l'un contre l'autre et ils se battent. Se réfugient dans l'espérance de Dieu, ilsprient et nous donne le fruit des quêtes. Nous, nous investissons dans l'armement ce qui nous permet derrière eux d'être la deuxième puissance économique mondiale. Alors là, avec ce mouvement, c'est un bon rendement pour nous. Je vais d'ailleurs cet après-midi faire une messe et la quête, cela me paiera mon essence et mon billet de retour lol.
- Monsieur le Pape vous êtes immoral.
- Que voulez-vous monsieur chacun ses intérêts, du moment que l'on ne fait de mal à personne.
Le ministre était outré de cette révélation du pape. Il n'osait plus sortir à présent, car il avait peur pour sa sécurité. Il trouva le numéro à Pépère sur sa chaîne internet et lui envoya un message.
Elchaponne était furax. Cela faisait une demi-heure qu'il était bloqué dans les embouteillages à cause du mouvement qui s'était déclaré. Le barrage était à l'entrée de Sancoins sous les ordres du brigadier Tatouvu qui avait promis de verbaliser les chauffeurs des camions qui tenteraient de passer pour ravitailler la ville. Néanmoins, il autorisa la livraison des liquides pour peu qu'ils soient alcoolisés. Il avait dit au manifestant qu'il ne pouvait les priver de remontant. Mais déjà, les participants parlaient de rompre le mouvement si le soir, ils n'avaient pas gain de cause, car les soldes débutaient le lendemain et personne ne voulait rater l'événement du début d'année.
Entre temps, le poète était rentré de Sancoins et il revenait à pieds de sa cabane pour aller chez sa mère. Il croisa une voiture et pensa dans sa tête. Mais c'est la grosse tête à Pépère. Lui demanda qu'on le laisse devant le chemin, car il disait qu'il devait aller chercher une paire de chaussures sèches les siennes étant mouillées et qu'un héros ne doit être indisposé à ce point. En réalité, c'est simplement qu'il avait faim et ne voulait pas partager ses poulets avec quatre chats. L'huissier se gara un peu avant le virage qui finissait la route avant le chemin boueux. Plus loin, Momo attendait et il ne pouvait pas voir l'auto à cause de la courbe. Le Pépère partit en courant, mais au bout de deux mètres engagé dans le chemin, il s'arrêta sachant que personne ne pouvait le voir. Il n'en pouvait plus et faisait des arf arf arf, vite de l'air arf arf arf, quel idée de courir comme ça. Il reprit son chemin et se dirigea au fond du terrain derrière le vieux fourgon qui servait pour ranger des outils. Il mangea un poulet entier en quelques minutes. Entre temps, le poète ayant oublié de prendre une bouteille d'eau qu'il devait remplir, était reparti vers la cabane. Il trouva bizarre de revoir cette automobile garée non loin de son chemin. En marchant, il pensa à un outil qu'il devait récupérer au fond dans le vieux fourgon. Le pépère avait fini son deuxième poulet et s'apprêtait à ouvrir une autre caisse. Une voix le fit sursauter.
- Hé bien Pépère qu'est ce que tu fais là. Tu as faim gamin, viens, je vais te donner des bonnes croquettes.
Heureusement les caisses sont invisibles pour mon soûlard se dit-il et Pépère le regarda méchamment.
- Qu'est-ce que ça peut te faire sac à vin. Une chance que les caisses te soient invisibles sinon tu aurais déjà mangé tous mes poulets. Et toi qu'est ce que tu fais ici, tu caches ta vinasse dans le fourgon certainement espèce de curé Argentin dégrossi à la messe d'Éthiopie. Tes croquettes pourries du commissariat remplies de produits hallucinogènes, tu n'as qu'à en faire des friandises pour ta soûlarde. Au fait, je t'informe que le harnais est en grève. Alors va t'occuper du monstre que tu élèves dans ton gourbi avec des saloperies chimiques et fiche moi la paix.
Il repartit en courant jusqu'à la grille du terrain, tandis que derrière lui le poète disait.
- Pépère, viens, Pépère, viens manger tes bonnes croquettes, humm, c'est pour qui les bonnes croquettes !
- Tu sais où tu peux les servir tes croquettes pourries, arf arf arf, à la table de ta soûlarde à l'apéritif arf arf arf...


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Merci Daniel pour ce nouvel épisode.
Vous mettez de la poésie même dans l' histoire de pépère
J'attends la suite impatiemment.
Amicalement
Gaby