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Pépère chat.

#1
Sur la lune, les chats et les fées ayant profité du spectacle des mers lunaires décidèrent de rentrer sur Terre.
Isidore voulut s'approcher plus près des rochers qui émergeaient et déchira sa combinaison en se frottant dessus.
Tout le monde fut catastrophé de l'incident. Isidore était en danger et ses amis devaient aller au plus vite pour le ramener à la soucoupe sans qu'il manquât d'oxygène.
Le minet ne semblait pas indisposé et regardait ses amis avec étonnement. Ayant compris que de ce côté de la lune, il pouvait respirer sans assistance, il se débarrassa de sa combinaison de spationaute.
- Regardez mes amis, c'est chatbuleux, même sans ma tenue, je respire parfaitement.
Les autres n'en revenaient pas et à leur tour se débarrassèrent de leurs équipements.
- Ça alors, tu le savais Leïlanne qu'il y avait de l'oxygène de ce côté-ci de la lune.
- Pas plus que toi mon amie. Regarde nos amis à quatre pattes comme ils sont heureux de courir le long de la plage. Laissons les profiter de cette magie.
Idodore en tête, Elchatponne, Fripouille, Un-œil et Turbo marchait le long de l'eau en échappant de justesse à chaque fois, aux va-et-vient des vagues.
- Vous le saviez vous qu'il y avait de l'air ici ?
Tous répondirent à Isidore qu'ils l'ignoraient.
Seul Turbo ne disait rien ce qui étonnait Isidore.
- Tu le savais toi, Turbo, tu ne dis rien ?
- Oui les amis, car je suis déjà venu ici avec la Chalauréane à Pépère pour une mission. Je ne pouvais pas vous le dire avec ma combinaison. Je ne savais pas que nous allions de ce côté de la lune.
- Ha, bon, s'étonnèrent ses amis, mais qu'es-tu venu faire ici.
- Hé bien, je suis venu aider la NASA quand ils sont venus sur la lune, mais comme c'est top secret, je n'ai pas le droit d'en parler.
À nous tu peux nous le dire mon copain on nous sommes tes coéquipiers à présent.
- Oui c'est vrai Isidore, je vais vous raconter l'histoire.
Voilà, quand les Américains sont venus sur la lune, ils ont visité l'autre partie. Puis, ils sont venus ici et ont découvert les mers. Dans ces eaux vit un monstre qui les a capturés et que j'ai dû combattre.
À l'époque, j'étais encore à Paris et je revenais du sauvetage de ma cousine. Je travaillais à l'époque pour les services secret américains. J'ai été contacté par eux pour aller voir ce qui se passait ici, car les hommes ne donnaient plus signe de vie. J'ai donc pris la chalauréane à Pépère que je connaissais déjà à Trappes. Arrivé ici déjà, j'ai dû prendre un cachet pour la tête.
- Ha bon s'étonnèrent ses amis.
- Oui, car il avait déjà été à notre époque et je suis partie avec la maîtresse à Pépère qui était rattachée à cette mission, car étant gendarme, elle y avait été affectée. Je me suis donc payer la messe en boucle durant tout le voyage et elle chantait à tue tête les chants grégoriens que diffusait l'autoradio à galène. Arrivé ici, j'ai dû décharger la voiture qui était remplie de caisses de vins et d'outillage. Elle passait son temps sur son téléphone à prendre des photos pour les envoyer au soûlard. C'est alors qu'elle a été enquêté de son côté et a pris la fusée des Américains pour aller se dégourdir le moral à ce qu'elle m'a dit. En fait, elle était cramée et voulait profiter de la climatisation de la fusée pour se rafraîchir. Elle est revenue et nous avons été de ce côté. Comme par hasard, elle savait qu'il y avait de l'oxygène, car elle y a déjà habité. Oui mes amis, c'est une lunerienne, mais, ça vous ne le répéterez pas surtout, même à Pépère, car il n'en sait rien. C'est alors que des luneriens sont arrivés en bateau et lui ont dit qu'un monstre marin avait capturé les Américains. Grâce à mes pattes puissantes, comme pour ma cousine avec le train, j'ai couru sur l'eau. J'ai été jusqu'à l'île où était les captifs. Avant que le monstre ne revienne, j'ai équipé les hommes de skis nautiques. Ensuite, j'ai couru sur l'eau avec mes puissantes pattes et ramené les hommes. Le monstre qui était un requin venu de mars, je m'en suis occupé après. Voilà, j'ai sillonné la mer à sa recherche en courant sur l'eau. La bête m'ayant repéré a essayé de me rattraper et j'allais si vite que le monstre en a perdu ses nageoires et son aileron. Il a coulé et on ne l'a jamais revu. Voilà, ensuite, je suis rentré sur terre avec la chalauréane et c'est la maîtresse à Pépère qui a été médaillé.
- Hé bien, tu peux être fier de toi lui répondirent ses amis.
Derrière la cabane à cookie, l'un des Américains qui était parti pour enquêter sur François fut pris à partie par un habitant qui voulut lui faire goûter le vin local.
L'agent revint vers le campement où l'attendait son chef.
- Alors, j'attends le rapport de votre enquête depuis déjà, une heure, mais où étiez vous donc.
- J'ai, des révélations importantes à faire. Hic, j'ai tout bu et vu vous les raconter.
L'affaire est claire, l'homme, est bien un trafiquant d'armes et il cache des armes dans la cabane avec la damoiselle Adélaïde. Actuellement, il commande les fucking horse Android qui sont en train de dissimuler les armes avec de la paille en dansant le rap devant un chat noir et un chien russe espion. Je me suis approché doucement et personne ne m'a vu et j'ai bien compris le leurre. Figurez-vous qu'ils mettent des produits puants pour rendre l'endroit inapprochable. Faite attention mon commandant quand les hommes iront les arrêter. Je vous conseille de leur faire porter un masque à gaz. C'est peut-être des produits nocifs, ne sait-on jamais. Je pense que le chat Pépère nous a enfumé en nous racontant des sornettes et il est peut-être complice de la bestiole Android comme son maître qui a comme couverture celle de poète qui est l'homme à l'enceinte Bluetooth. De derrière la cabane, je les ai distinctement entendu parlé, le cheval parlait de bazooka et le poète parlait au téléphone de gaz sarin, certainement à un complice et l'homme à l'enceinte était armé d'un fusil-mitrailleur qu'il avait sur le dos et lui parlait de missile nucléaire et citait Pépère donc nous devrions prévenir le Pentagone, je pense.
Dit l'agent qui avait tout et rien vu, mais surtout trop bu.
- Écoutez, je vois ce que c'est vous êtes ivre, allez dans votre tente, je m'occuperai de vous plus tard.
Le commandant était outré du comportement de son homme qui plutôt que d'enquêter était parti s'enivrer.
Pendant ce temps à Nevers, sœur, Mathilde était en ligne sur snapchat avec le père Dominique et faisait attendre tout le monde. Elle avait décidé de remplacer le pape au volant et faisait attendre les autres en parlant très fort téléphone en main avec haut-parleur allumé.
- Oui mon père, qu'est-ce ce donc qu'il vous arrive, votre furoncle nasal à explosé et vous avec taché votre aube, lol.
- Sœur Mathilde, pouvez-vous arrêter de me manquer de respect s'il vous plaît, c'était pour savoir si vous aviez remis au pape mon prestigieux cadeau.
- Bon écoute, père Dominique, vieux croûton si tu n'avais pas mis ton nez dans l'endroit secret, tu ne l'aurais pas ton furoncle, deuxièmement ton cadeau ringard, je m'en fous totalement. Je suis à Nevers pour délivrer un ministre. Oui monsieur et j'ai à côté de moi cordon bleu premier. Le pape est juste derrière et va apprécier de savoir que tu es l'auteur de son cadeau immonde.
Sache que j'ai été victime d'une tentative d'enlèvement par des serviteurs de Dieux et un faux curé à essayé de m'assassiner à deux reprises. Alors comprends bien que le fait que, tu as des champignons sur les gants de boxe où une pustule sur ta grande écharde où même un myosotis sur le pif, je m'en contre fous, tu n'as qu'à mettre des gants mappa si tu as peur d'aller à la pharmacie. Salut vieux chameau, excuse moi, je suis énervée et ça soulage.
Le président n'en revenait pas décidément, sœur Mathilde était incorrigible.
Le Pépère lui était toujours avec ses amis quand un message de Chatdore arriva. Le Pépère semblait furax.
- C'est bien ce que je pensais, mon Italien, décoloré à l'acide citrique du grand nord, se fait une orgie alimentaire. Il est en train de manger une brioche pour dix personnes à lui tout seul et au sol, il y a un petit fut de vinasse. À ce train-là mes amis, je pense pouvoir dire adieu à mon saucisson et au bocal de cassoulet. Je suis tenu d'aller à Sancoins pour sauver le monde et pendant ce temps-là mon chameau irlandais buveur de jus de pamplemousse à l'uranium s'en met plein le ventre.

- Hé bien cela me rappelle une vilaine histoire avec mon alcoolique. Vous vous souvenez, je vous ai dit qu'il m'avait fait creuser le sol comme un manant. Lui pendant ce temps était au téléphone avec sa poivrote et ensemble ils faisaient un concours de rot en buvant de la bière. Moi pendant ce temps, je creusais, creusais, comme un pauvre diable. D'un coup, il raccroche, je me dis enfin, il va m'aider, pas du tout, il restait dans son bouge. Alors, je regarde par le carreau en agrippant mes griffes aux rebords et je le vois toujours le téléphone à la main. Hé, tu veux un coup de main, je viens de voir la grosse tête du Pépère par la vitre, attends, je vais voir, sont les seules paroles qu'ils aient dites. Il ouvre son taudis et dans l'entrebâillement je vois sur le bureau de délicieuses friandises, des Catisfactions et des Félix-bombom. Tu vois mon gentil minet qu'il me dit, c'est pour Pépère ça. Puis confiant, je retourne creuser, creuser. Ma tâche finie, je vais à la porte qui était restée ouverte et la stupéfaction à côté du bol les sachets vides et l'autre la main dans le sac la bouche encore pleine de croquettes, ils me dit, achend mon chentil minet, gloup, gloup, tiens des bonnes croquettes. Confiant, j'y vais et la désillusion à été totale des croquettes pourrie qu'il avait en stock depuis au moins trois ans. Ensuite, il sort et commence à préparer une potence avec de la ficelle. J'ai eu peur et je suis parti voir une autre maison où l'on me secourt. La brave femme de cette maison comprenant ma détresse m'offre un poulet. Je m'en vais vers chez mon alcoolique dans un coin tranquille pour ne pas susciter la jalousie du minet de la dame. Malheureusement, j'ai croisé sur ma route le sale individu qui me dit, hé Pépère viens mon gentil minet que je te caresse. Moi pauvre souffreteux en manque d'affection j'y vais et là il me saisit le poulet de la gueule et s'en fait une bouchée il l'a mangé avec les os je n'ai eu le droit qu'à la ficelle qui tenait les cuisses que j'ai longtemps gardé dans mes affaires par désespoir et dans l'espoir de lui faire manger un jour.
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Sur la lune, les chats et les fées ayant profité du spectacle des mers lunaires décidèrent de rentrer sur Terre.
Isidore voulut s'approcher plus près des rochers qui émergeaient et déchira sa combinaison en se frottant dessus.
Tout le monde fut catastrophé de l'incident. Isidore était en danger et ses amis devaient aller au plus vite pour le ramener à la soucoupe sans qu'il manquât d'oxygène.
Le minet ne semblait pas indisposé et regardait ses amis avec étonnement. Ayant compris que de ce côté de la lune, il pouvait respirer sans assistance, il se débarrassa de sa combinaison de spationaute.
- Regardez mes amis, c'est chatbuleux, même sans ma tenue, je respire parfaitement.
Les autres n'en revenaient pas et à leur tour se débarrassèrent de leurs équipements.
- Ça alors, tu le savais Leïlanne qu'il y avait de l'oxygène de ce côté-ci de la lune.
- Pas plus que toi mon amie. Regarde nos amis à quatre pattes comme ils sont heureux de courir le long de la plage. Laissons les profiter de cette magie.
Idodore en tête, Elchatponne, Fripouille, Un-œil et Turbo marchait le long de l'eau en échappant de justesse à chaque fois, aux va-et-vient des vagues.
- Vous le saviez vous qu'il y avait de l'air ici ?
Tous répondirent à Isidore qu'ils l'ignoraient.
Seul Turbo ne disait rien ce qui étonnait Isidore.
- Tu le savais toi, Turbo, tu ne dis rien ?
- Oui les amis, car je suis déjà venu ici avec la Chalauréane à Pépère pour une mission. Je ne pouvais pas vous le dire avec ma combinaison. Je ne savais pas que nous allions de ce côté de la lune.
- Ha, bon, s'étonnèrent ses amis, mais qu'es-tu venu faire ici.
- Hé bien, je suis venu aider la NASA quand ils sont venus sur la lune, mais comme c'est top secret, je n'ai pas le droit d'en parler.
À nous tu peux nous le dire mon copain on nous sommes tes coéquipiers à présent.
- Oui c'est vrai Isidore, je vais vous raconter l'histoire.
Voilà, quand les Américains sont venus sur la lune, ils ont visité l'autre partie. Puis, ils sont venus ici et ont découvert les mers. Dans ces eaux vit un monstre qui les a capturés et que j'ai dû combattre.
À l'époque, j'étais encore à Paris et je revenais du sauvetage de ma cousine. Je travaillais à l'époque pour les services secret américains. J'ai été contacté par eux pour aller voir ce qui se passait ici, car les hommes ne donnaient plus signe de vie. J'ai donc pris la chalauréane à Pépère que je connaissais déjà à Trappes. Arrivé ici déjà, j'ai dû prendre un cachet pour la tête.
- Ha bon s'étonnèrent ses amis.
- Oui, car il avait déjà été à notre époque et je suis partie avec la maîtresse à Pépère qui était rattachée à cette mission, car étant gendarme, elle y avait été affectée. Je me suis donc payer la messe en boucle durant tout le voyage et elle chantait à tue tête les chants grégoriens que diffusait l'autoradio à galène. Arrivé ici, j'ai dû décharger la voiture qui était remplie de caisses de vins et d'outillage. Elle passait son temps sur son téléphone à prendre des photos pour les envoyer au soûlard. C'est alors qu'elle a été enquêté de son côté et a pris la fusée des Américains pour aller se dégourdir le moral à ce qu'elle m'a dit. En fait, elle était cramée et voulait profiter de la climatisation de la fusée pour se rafraîchir. Elle est revenue et nous avons été de ce côté. Comme par hasard, elle savait qu'il y avait de l'oxygène, car elle y a déjà habité. Oui mes amis, c'est une lunerienne, mais, ça vous ne le répéterez pas surtout, même à Pépère, car il n'en sait rien. C'est alors que des luneriens sont arrivés en bateau et lui ont dit qu'un monstre marin avait capturé les Américains. Grâce à mes pattes puissantes, comme pour ma cousine avec le train, j'ai couru sur l'eau. J'ai été jusqu'à l'île où était les captifs. Avant que le monstre ne revienne, j'ai équipé les hommes de skis nautiques. Ensuite, j'ai couru sur l'eau avec mes puissantes pattes et ramené les hommes. Le monstre qui était un requin venu de mars, je m'en suis occupé après. Voilà, j'ai sillonné la mer à sa recherche en courant sur l'eau. La bête m'ayant repéré a essayé de me rattraper et j'allais si vite que le monstre en a perdu ses nageoires et son aileron. Il a coulé et on ne l'a jamais revu. Voilà, ensuite, je suis rentré sur terre avec la chalauréane et c'est la maîtresse à Pépère qui a été médaillé.
- Hé bien, tu peux être fier de toi lui répondirent ses amis.
Derrière la cabane à cookie, l'un des Américains qui était parti pour enquêter sur François fut pris à partie par un habitant qui voulut lui faire goûter le vin local.
L'agent revint vers le campement où l'attendait son chef.
- Alors, j'attends le rapport de votre enquête depuis déjà, une heure, mais où étiez vous donc.
- J'ai, des révélations importantes à faire. Hic, j'ai tout bu et vu vous les raconter.
L'affaire est claire, l'homme, est bien un trafiquant d'armes et il cache des armes dans la cabane avec la damoiselle Adélaïde. Actuellement, il commande les fucking horse Android qui sont en train de dissimuler les armes avec de la paille en dansant le rap devant un chat noir et un chien russe espion. Je me suis approché doucement et personne ne m'a vu et j'ai bien compris le leurre. Figurez-vous qu'ils mettent des produits puants pour rendre l'endroit inapprochable. Faite attention mon commandant quand les hommes iront les arrêter. Je vous conseille de leur faire porter un masque à gaz. C'est peut-être des produits nocifs, ne sait-on jamais. Je pense que le chat Pépère nous a enfumé en nous racontant des sornettes et il est peut-être complice de la bestiole Android comme son maître qui a comme couverture celle de poète qui est l'homme à l'enceinte Bluetooth. De derrière la cabane, je les ai distinctement entendu parlé, le cheval parlait de bazooka et le poète parlait au téléphone de gaz sarin, certainement à un complice et l'homme à l'enceinte était armé d'un fusil-mitrailleur qu'il avait sur le dos et lui parlait de missile nucléaire et citait Pépère donc nous devrions prévenir le Pentagone, je pense.
Dit l'agent qui avait tout et rien vu, mais surtout trop bu.
- Écoutez, je vois ce que c'est vous êtes ivre, allez dans votre tente, je m'occuperai de vous plus tard.
Le commandant était outré du comportement de son homme qui plutôt que d'enquêter était parti s'enivrer.
Pendant ce temps à Nevers, sœur, Mathilde était en ligne sur snapchat avec le père Dominique et faisait attendre tout le monde. Elle avait décidé de remplacer le pape au volant et faisait attendre les autres en parlant très fort téléphone en main avec haut-parleur allumé.
- Oui mon père, qu'est-ce ce donc qu'il vous arrive, votre furoncle nasal à explosé et vous avec taché votre aube, lol.
- Sœur Mathilde, pouvez-vous arrêter de me manquer de respect s'il vous plaît, c'était pour savoir si vous aviez remis au pape mon prestigieux cadeau.
- Bon écoute, père Dominique, vieux croûton si tu n'avais pas mis ton nez dans l'endroit secret, tu ne l'aurais pas ton furoncle, deuxièmement ton cadeau ringard, je m'en fous totalement. Je suis à Nevers pour délivrer un ministre. Oui monsieur et j'ai à côté de moi cordon bleu premier. Le pape est juste derrière et va apprécier de savoir que tu es l'auteur de son cadeau immonde.
Sache que j'ai été victime d'une tentative d'enlèvement par des serviteurs de Dieux et un faux curé à essayé de m'assassiner à deux reprises. Alors comprends bien que le fait que, tu as des champignons sur les gants de boxe où une pustule sur ta grande écharde où même un myosotis sur le pif, je m'en contre fous, tu n'as qu'à mettre des gants mappa si tu as peur d'aller à la pharmacie. Salut vieux chameau, excuse moi, je suis énervée et ça soulage.
Le président n'en revenait pas décidément, sœur Mathilde était incorrigible.
Le Pépère lui était toujours avec ses amis quand un message de Chatdore arriva. Le Pépère semblait furax.
- C'est bien ce que je pensais, mon Italien, décoloré à l'acide citrique du grand nord, se fait une orgie alimentaire. Il est en train de manger une brioche pour dix personnes à lui tout seul et au sol, il y a un petit fut de vinasse. À ce train-là mes amis, je pense pouvoir dire adieu à mon saucisson et au bocal de cassoulet. Je suis tenu d'aller à Sancoins pour sauver le monde et pendant ce temps-là mon chameau irlandais buveur de jus de pamplemousse à l'uranium s'en met plein le ventre.

- Hé bien cela me rappelle une vilaine histoire avec mon alcoolique. Vous vous souvenez, je vous ai dit qu'il m'avait fait creuser le sol comme un manant. Lui pendant ce temps était au téléphone avec sa poivrote et ensemble ils faisaient un concours de rot en buvant de la bière. Moi pendant ce temps, je creusais, creusais, comme un pauvre diable. D'un coup, il raccroche, je me dis enfin, il va m'aider, pas du tout, il restait dans son bouge. Alors, je regarde par le carreau en agrippant mes griffes aux rebords et je le vois toujours le téléphone à la main. Hé, tu veux un coup de main, je viens de voir la grosse tête du Pépère par la vitre, attends, je vais voir, sont les seules paroles qu'ils aient dites. Il ouvre son taudis et dans l'entrebâillement je vois sur le bureau de délicieuses friandises, des Catisfactions et des Félix-bombom. Tu vois mon gentil minet qu'il me dit, c'est pour Pépère ça. Puis confiant, je retourne creuser, creuser. Ma tâche finie, je vais à la porte qui était restée ouverte et la stupéfaction à côté du bol les sachets vides et l'autre la main dans le sac la bouche encore pleine de croquettes, ils me dit, achend mon chentil minet, gloup, gloup, tiens des bonnes croquettes. Confiant, j'y vais et la désillusion à été totale des croquettes pourrie qu'il avait en stock depuis au moins trois ans. Ensuite, il sort et commence à préparer une potence avec de la ficelle. J'ai eu peur et je suis parti voir une autre maison où l'on me secourt. La brave femme de cette maison comprenant ma détresse m'offre un poulet. Je m'en vais vers chez mon alcoolique dans un coin tranquille pour ne pas susciter la jalousie du minet de la dame. Malheureusement, j'ai croisé sur ma route le sale individu qui me dit, hé Pépère viens mon gentil minet que je te caresse. Moi pauvre souffreteux en manque d'affection j'y vais et là il me saisit le poulet de la gueule et s'en fait une bouchée il l'a mangé avec les os je n'ai eu le droit qu'à la ficelle qui tenait les cuisses que j'ai longtemps gardé dans mes affaires par désespoir et dans l'espoir de lui faire manger un jour.
Ha ha quel goinfre ce soûlard
Amicalement
Gaby