Un poème en réponse à la chanson de Serge Reggiani "Il suffirait de presque rien"
Oublie ton âge
Oublie la différence d'âge
Mon printemps aime ton automne
Dessinons de belles images
Avant que l'hiver nous raisonne
Moi je préfère peu de temps
Passé avec toi mon amour
Que n'avoir pas de sentiments
Demeurant vide chaque jour
Je ne vois pas tes ans de plus
Seul le présent est important
Puis le futur est inconnu
Peut-être je mourrai avant
N'écoute pas les gens parler
Ils sont médisants et jaloux
Caresse-moi de tes baisers
Enlace-moi de tes mots doux
Laisse-moi partager ta vie
Ne rejette pas le désir
Conjuguons notre folle envie
Ne boudons pas notre plaisir
Passons ensemble notre temps
À savourer notre bonheur
À être heureux infiniment
Joie et jeunesse au fond du cœur
Faisons tous les deux ce voyage
Celui où les corps s'abandonnent
Oublie la différence d'âge
Mon printemps aime ton automne
Oublie ton âge
Oublie la différence d'âge
Mon printemps aime ton automne
Dessinons de belles images
Avant que l'hiver nous raisonne
Moi je préfère peu de temps
Passé avec toi mon amour
Que n'avoir pas de sentiments
Demeurant vide chaque jour
Je ne vois pas tes ans de plus
Seul le présent est important
Puis le futur est inconnu
Peut-être je mourrai avant
N'écoute pas les gens parler
Ils sont médisants et jaloux
Caresse-moi de tes baisers
Enlace-moi de tes mots doux
Laisse-moi partager ta vie
Ne rejette pas le désir
Conjuguons notre folle envie
Ne boudons pas notre plaisir
Passons ensemble notre temps
À savourer notre bonheur
À être heureux infiniment
Joie et jeunesse au fond du cœur
Faisons tous les deux ce voyage
Celui où les corps s'abandonnent
Oublie la différence d'âge
Mon printemps aime ton automne
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