Comme en pèlerinage en quelque lieu sacré,
Me ramènent mes pas, auprès de la cascade
Où tu m'es apparue, mon adorée naïade,
Telle nymphe des eaux, dans l'écume nacrée.
Le doux chant du torrent me rappelle ton rire,
et la mousse des bois, de tes yeux, l'émeraude.
Je te vois onduler, ô ma belle ribaude...
et je rêve de toi, fantasme et doux délire.
Ce fut le lendemain de ce terrible jour
Que j'ai croisé tes yeux, mon seul et tendre amour :
Tu paraissais heureuse, épanouie, charmeuse...
Un autre tu aimais et ta désespérance
T'a conduit à l'étang quêter la délivrance.
Ton spectre, je chéris, en sa grâce enjôleuse.
Me ramènent mes pas, auprès de la cascade
Où tu m'es apparue, mon adorée naïade,
Telle nymphe des eaux, dans l'écume nacrée.
Le doux chant du torrent me rappelle ton rire,
et la mousse des bois, de tes yeux, l'émeraude.
Je te vois onduler, ô ma belle ribaude...
et je rêve de toi, fantasme et doux délire.
Ce fut le lendemain de ce terrible jour
Que j'ai croisé tes yeux, mon seul et tendre amour :
Tu paraissais heureuse, épanouie, charmeuse...
Un autre tu aimais et ta désespérance
T'a conduit à l'étang quêter la délivrance.
Ton spectre, je chéris, en sa grâce enjôleuse.