Ode à l'automne...
Les érables dorés commencent à rougir,
Sous la caresse des vents qui se lèvent,
Le soleil ravive mes anciens souvenirs
Éveillant en moi l'image d'un Joli rêve.
Ô! Toi automne, de mon enfance bénie...
J'imagine cette petite fille insouciante
Courant et gambadant, ignorant la vie,
Parmi tes feuilles blondes rougissantes.
Je la vois ramasser tes offrandes d'or,
A ses yeux d'enfant, si grand trésor,
En faire de belles couronnes feuillues,
Destinées à ceindre un front d'ingénue.
Mon âme s'éveille charmée en la saison,
Subjuguée, comme enivrée de senteurs,
S'en trouve ravie, devant tant de couleurs
Explosant avec joie, près de notre maison.
C'est le dernier regain de vie avant l'heure,
L'heure, où les vents d'automne pleurent,
Arrachant violemment, le luxe de ta parure,
Triomphal et ultime baiser offert à la nature...
Les érables dorés commencent à rougir,
Sous la caresse des vents qui se lèvent,
Le soleil ravive mes anciens souvenirs
Éveillant en moi l'image d'un Joli rêve.
Ô! Toi automne, de mon enfance bénie...
J'imagine cette petite fille insouciante
Courant et gambadant, ignorant la vie,
Parmi tes feuilles blondes rougissantes.
Je la vois ramasser tes offrandes d'or,
A ses yeux d'enfant, si grand trésor,
En faire de belles couronnes feuillues,
Destinées à ceindre un front d'ingénue.
Mon âme s'éveille charmée en la saison,
Subjuguée, comme enivrée de senteurs,
S'en trouve ravie, devant tant de couleurs
Explosant avec joie, près de notre maison.
C'est le dernier regain de vie avant l'heure,
L'heure, où les vents d'automne pleurent,
Arrachant violemment, le luxe de ta parure,
Triomphal et ultime baiser offert à la nature...
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