Je souffre encore et toujours,
Je cours après l'illusion de l'amour,
Il prend, il se sert, comme si c'était acquis,
Comme posant sa main sur un terrain concquis.
De la blessure à la colère, il n'y a qu'une mince barrière,
Les nuits passent, rêve encore d'hier,
Si lasse, hélas, que les larmes ont pris un goût amer,
Mon coeur ressemble au plus froid des hivers !
Sans toi, l'asile de mon bonheur,
La flamme est comme éteinte, dénuée de chaleur.
Le temps appuie sur mes douleurs,
Tel une indifférence méprisant ma peur.
Je cours après l'illusion de l'amour,
Il prend, il se sert, comme si c'était acquis,
Comme posant sa main sur un terrain concquis.
De la blessure à la colère, il n'y a qu'une mince barrière,
Les nuits passent, rêve encore d'hier,
Si lasse, hélas, que les larmes ont pris un goût amer,
Mon coeur ressemble au plus froid des hivers !
Sans toi, l'asile de mon bonheur,
La flamme est comme éteinte, dénuée de chaleur.
Le temps appuie sur mes douleurs,
Tel une indifférence méprisant ma peur.